Réduction De La Dette Et Politique économique

avec l'emploi et la défense.. On peut également remarquer que la dette est une lourde charge (près de 12 % des dépenses) 4) Solde Il s'agit de la différence entre les recettes et les dépenses. Le budget de l'État est rarement en équilibre, et même le plus souvent en déficit (=plus de dépenses que de recettes) En 2000, le déficit prévu est de 215 milliards de francs Avantage : Le déficit permet de soutenir l'action économique et sociale du gouvernement, en dégageant plus de moyens. Inconvénient :

leur monnaie au métal précieux par l’intermédiaire de la Livre Sterling ou du dollar. 2. Le système de BRETTON WOODS 1944 A la suite de nombreuses crises monétaires de l’entre-deux-guerres, il apparut nécessaire d’assurer une meilleure stabilité économique et monétaire au niveau international. Le nouvel ordre monétaire international instauré lors de la conférence de Bretton Woods en Juillet 1944, présente cinq caractéristiques essentielles : - La définition d’une parité exprimée en poids d’or ou

Maastricht de 1992 avec la création d'une monnaie unique et une réduction de leur disparité économique. Condition : Inflation, pas dépasser 1.5points la moyenne européenne. Taux intérêt, au long terme ils ne doivent pas dépasser 2points de la moyenne des taux d'intérêts. Ne pas dévaluer sa monnaie en attendant la monnaie unique. Il faut réduire ces déficits publics et sa dette publique (Dette française : 1400milliards d'euros). • Traité d'Amsterdam

inflation/faible croissance économique) => Mais surtout par la nouvelle politique économique, basée sur l'économie de l'offre => chercha à stimuler l'économie par des réductions d'impôts massives => Crise des Euromissiles dette => Relance de la course aux armements donc augmentation du budget militaire =>Les baisses d'impôts combinées à une augmentation forte des dépenses militaires conduisirent à un énorme déficit budgétaire et à une augmentation de la dette publique, qui gonfla de près

les pays de la Communauté Economique Européenne signèrent le traité de Maastritcht, fixant ainsi les futures conditions au passage à la monnaie unique. La maitrise des finances publique devint alors un impératif pour prétendre à une entrée dans la zone euro, notamment avec le maintient d'un déficit budgétaire (inférieur à 3% du PIB) et d'une dette public inférieur à 60% du PIB . En 2009, en pleine crise économique mondiale, de nombreux pays issue de l'union économique et monétaire montrent des signes

débats autour de la « dette » • Financement des déficits publics : monétaire ou obligataire ? • Pertinence économique du financement monétaire • Le financement monétaire est praticable… parce qu'il est pratiqué ! • Les marchés de capitaux, ou la structure d'une tutelle délirante • La possibilité du financement monétaire… et ses risques • L'architecture institutionnelle du « compromis de financement monétaire » • Rendre la politique économique à la démocratie Questions:

La marge de manœuvre budgétaire au Maroc : analyse en termes de dépenses Par : Najib MRABET Professeur de Sciences Economiques Université Mohamed Premier OUJDA 1 Introduction Durant l’année 2011 et suite aux exigences sociales apparues dans les circonstances du printemps arabe, combinées à une crise économique et financière d’ordre mondial, les autorités marocaines ont augmenté les dépenses publiques relatives au soutien des couches sociales défavorisées. L’objectif étant le maintien

Or depuis de nombreuses années les finances publiques connaissent des déficits successifs qui grèvent les marges de financement des politiques publiques. Bien que l’Etat ne puisse être mis en faillite car l’Etat est éternel et il peut lever l’impôt, il ne doit pas dépasser un certain endettement afin de préserver des marges de financement, la réduction de la dette est donc l’une de ses priorités. I/ La situation des finances publiques A/ la dégradation importante des finances publiques

croissance économique sera toujours absente et voir même diminuer dans les pays de la zone euro lié notamment à la mise en place des politiques d'austérité. Ces économistes prédisent une croissance de 0,3% en France et 0,6% en Allemagne. Ces politiques instaurées par le FMI et Bruxelles ont pour but de lutter contre l'inflation et un fort chômage, phénomène appelée le Stagflation depuis les années 70 et ainsi redonner au pays la compétitivité dont il a besoin. Cependant, ces politiques empêchent toute

les politiques menées par le Premier ministre pour résorber la dette. De même la ministre de l’économie qui a accompagnée le Premier ministre au Japon, a déclaré que la politique française de sortie de crise était une sorte de mélange entre la relance et la rigueur. Le gouvernement après avoir longtemps mis en avant l’effort engagé par le pays pour mettre fin à la crise, avec une politique de relance s’est désormais orienté vers une politique de rigueur. Ce changement de cap de la politique budgétaire