Réel Et Irréel Littérature

Thèse => le roman est le reflet de la réalité => il s'en inspire Anti thèse => le roman est fictif => irréel Dépassement => les visées du roman -"roman" : définition, siècle d'apparition, développement du genre -"miroir" : reflet d'une réalité -"promène" : aspire à une fin -"chemin" : quelque chose de plat mais semé d'embuches (comme l'est un chemin réel) "Le genre romanesque est-il un simple reflet de la réalité ou celui de l'imagination de l'auteur ?" I-Le roman est un reflet de

d’aventure, ceux d’amour, les fantastiques, les historiques et il y a finalement les fictions. Une fiction est un produit de l’imagination qui n’a pas de modèle complet dans la réalité. Une œuvre de fiction peut être orale ou écrite, du domaine de la littérature, du cinéma, du théâtre ou de la radio. Une œuvre de fiction peut-elle être vraie? Pour ma part, oui, je crois qu’une œuvre de fiction peut être vraie. Pour démontrer cette thèse, je présenterai un argument. Je me baserai sur mon point de vue sur

caricatural mais que finalement, ce n'est pas si loin de la vérité             Ex : Le Jeu de l'amour et du hasard : structure issue de la commedia dell'arte est fondamentalement irréelle et se présente comme un aimable divertissement léger. Mais dans des situations convenues, la pièce permet de faire jaillir une intelligence du réel dans ce sujet rebattu qu'est l'amour.             Ex : Tartuffe : « type » du faux dévot. Molière l'a inventé en regroupant toutes les caractéristiques des dévots qui entourent

domaine du cinéma, ou de la littérature. Tous les faits ne sont pas nécessairement imaginaires ; c'est le cas par exemple du roman historique, qui prend pour base des faits historiques avérés, mais qui profite des vacuités de l'histoire pour y introduire des personnages, des événements, tirés de l'imagination de l'auteur (comme dans Les Pardaillan de Michel Zévaco). Mais si les événements ou les personnages sont imaginaires, ils ne doivent pas pour autant être irréels : pour qu'une fiction fonctionne

en apparence surnaturel". Vous discuterez ce point de vue de Tzvetan Todorov dans son introduction à la littérature fantastique. Plan : Introduction I) La citation de Todorov peut convenir pour une certaine partie du genre fantastique 1) Le fantastique « type » 2) L'irruption progressive du surnaturel dans le monde réel 3) L’irruption brutale du surnaturel dans le monde réel II) Mais cette définition ne rend pas compte de la totalité du genre fantastique 1) Le Fantastique inversé

en détail les éléments fantastiques qui constituent _Le Horla,_ commençons tout d’abord par définir ce qu’est le fantastique. Il est difficile de le définir avec exactitude, tant ce terme est vaste. Tzvetan Todorov, dans son Introduction à la littérature fantastique parle du fantastique comme de « la ligne de partage entre le merveilleux (le surnaturel présenté comme tel) et l'étrange (le surnaturel apparent et explicable de façon rationnelle) ». Il semblerait donc que ce terme renvoie à l’imaginaire

I/Puissance et enjeux de la fiction littéraire : placere et docere** (plaire et enseigner) Afin de plaire et d’enseigner, voire de convaincre ou de persuader, La Fontaine utilise le genre de la fable. Car la fable appartient à ce type de littérature que l’on associe au genre de l’apologue capable de plaire et d’instruire. La fiction rend l’histoire plus divertissante et lui assure un aspect ludique. Pour reprendre un les mot du fabuliste, « c’est proprement un charme » ainsi qu’une efficacité

évolué et que par conséquent la littérature fantastique, genre qui a connu différentes formes à travers les Temps, est vouée à disparaitre. Lorsque l’Homme était encore crédule, les écrivains fantastiques ne connaissaient aucune limite dans l’extravagance de leurs histoires. Mais dès que l’Homme n’accepta plus le surnaturel sans le questionner, les auteurs sont devenus plus habiles dans l’art de manipuler, reculant les limites entre l’extraordinaire et le réel et laissant le lecteur désorienté

D'ENSEMBLE DE LA LEÇON Introduction En quel sens peut-on dire de la littérature, ensemble d'histoires fictives, qu'elle est un moyen privilégié d'expression et de constitution de la subjectivité, structure identitaire de l'individu et permettrait d’oublier la faim? I. La littérature comme espace d'expression de la subjectivité A. L'oeuvre littéraire exprime la subjectivité B. L'histoire, la biographie et l'autobiographie C. La littérature ne peut être expression de ia subjectivité Transition La remise

Zazie dans le métro : paradoxe littéraire Les écrivains sont dans l’ensemble des amoureux de la littérature. Ils s’amusent avec elle, essaye de la contourner afin d’en faire ressortir les subtilités. Ils la combattent et jouent avec en même temps. Et c’est cet amour des mots qui les poussent à relever de nouveau défi littéraire. Ainsi, Perec a écrit la disparition, roman où la lettre e n’est pas utilisée une seule fois. Michel Dansela écrit Le Train de Nulle Part, histoire écrite sans aucun