Réflexion Morale Liée Au Suspens Barbe Bleue

tournant, au moindre bruit, l'oreille vers l'escalier. Dans son attente désœuvrée, en passant devant la glace, il s'arrêta, se regarda. Il ne vieillissait point, la quarantaine approchait sans que le roux ardent de ses cheveux frisés eût pâli. Sa barbe, qu'il portait entière, restait drue, elle aussi, d'un blond de soleil. Et, de taille moyenne, mais d'une extraordinaire vigueur, il se plaisait à sa personne, satisfait de sa tête un peu plate, au front bas, à la nuque épaisse, de sa face ronde et

tournant, au moindre bruit, l’oreille vers l’escalier. Dans son attente désœuvrée, en passant devant la glace, il s’arrêta, se regarda. Il ne vieillissait point, la quarantaine approchait sans que le roux ardent de ses cheveux frisés eût pâli. Sa barbe, qu’il portait entière, restait drue, elle aussi, d’un blond de soleil. Et, de taille moyenne, mais d’une extraordinaire vigueur, il se plaisait à sa personne, satisfait de sa tête un peu plate, au front bas, à la nuque épaisse, de sa face ronde et

tournant, au moindre bruit, l'oreille vers l'escalier. Dans son attente désoeuvrée, en passant devant la glace, il s'arrêta, se regarda. Il ne vieillissait point, la quarantaine approchait sans que le roux ardent de ses cheveux frisés eût pâli. Sa barbe, qu'il portait entière, restait drue, elle aussi, d'un blond de soleil. Et, de taille moyenne, mais d'une extraordinaire vigueur, il se plaisait à sa personne, satisfait de sa tête un peu plate, au front bas, à la nuque épaisse, de sa face ronde et

tournant, au moindre bruit, l’oreille vers l’escalier. Dans son attente désœuvrée, en passant devant la glace, il s’arrêta, se regarda. Il ne vieillissait point, la quarantaine approchait, sans que le roux ardent de ses cheveux frisés eût pâli. Sa barbe, qu’il portait entière, restait drue, elle aussi, d’un blond de soleil. Et, de taille moyenne, mais d’une extraordinaire vigueur, il se plaisait à sa personne, satisfait de sa tête un peu plate, au front bas, à la nuque épaisse, de sa face ronde et

tournant, au moindre bruit, l’oreille vers l’escalier. Dans son attente désœuvrée, en passant devant la glace, il s’arrêta, se regarda. Il ne vieillissait point, la quarantaine approchait, sans que le roux ardent de ses cheveux frisés eût pâli. Sa barbe, qu’il portait entière, restait drue, elle aussi, d’un blond de soleil. Et, de taille moyenne, mais d’une extraordinaire vigueur, il se plaisait à sa personne, satisfait de sa tête un peu plate, au front bas, à la nuque épaisse, de sa face ronde et

simple : les gens sont de plus en plus pressés. Plutôt qu’un grand et long périple, chaque nouvelle est une petite promenade exotique. Bons voyages. B. W. 6 1. Et l’on pendra tous les pollueurs (futur possible) Le pendu tirait une langue bleue. Il était entouré des autres condamnés habituels, accrochés aux branches. Pratiquement un pendu à chaque arbre. Parfois deux. Et tous portaient autour du cou la pancarte de l’infamie sur laquelle était inscrit le plus obscène de tous les mots :

état d'âme durable et constitue, en quelque sorte, le substrat de sa création ultérieure. Maupassant ne se lasse pas, dans ses lettres à Flaubert, de chercher les expressions les plus grossières de cette irrémédiable rupture avec une société dévote, morale, hypocrite, qui, au hasard de l'Histoire, le conduit à des invectives sur lesquelles il reviendra, mais dont on pressent la présence sous tout ce qu'il écrit : « Je demande la suppression des classes dirigeantes, de ce ramassis de beaux messieurs

cette vision de l’autre et permettent de faire réfléchir les élèves sur la nécessaire ouverture d’esprit que permet et valorise la rencontre d’autrui. Cette double page propose donc de confronter les réflexions plus ou moins personnelles et les jugements des élèves sur cette question. Cette première réflexion sera ensuite affinée grâce à la lecture et à la confrontation des extraits d’œuvres littéraires et artistiques. Conseils pédagogiques • Pour l’exploitation pédagogique des deux pages d’ouverture

épaules dessinée par la chemise dont il avait roulé les manches jusqu’aux coudes. Ses cheveux sombres effleuraient son col, et la ligne volontaire de sa mâchoire, la barbe naissante qui ombrait ses joues ajoutaient encore au charme mystérieux du personnage. L’espace d’une seconde, elle se demanda ce qu’elle éprouverait au contact de cette barbe sur sa peau, mais se ressaisit aussitôt. Pourquoi fallait-il qu’elle se pose ce genre de questions ? Sans doute parce qu’elle avait passé ces dernières semaines

lorsque je l’ai connu, un homme d’environ quatre-vingts ans et un des plus merveilleux spécimens de verdeur prolongée que l’on ait chance de rencontrer au long d’une vie. Avec son teint fleuri, sa personne compacte bien sanglée dans une tunique bleue à boutons brillants, son pas vif, son air dispos et de belle humeur, il donnait l’impression, non à vrai dire d’un homme jeune, mais d’une nouvelle invention de notre Mère Nature, d’un être que ni l’âge ni les infirmités ne devaient se mêler de