Reflexion Sur Architecture Image Narration

ARCHITECTURE – IMAGE – NARRATION Réflexion sur le thème «Architecture, Image, Narration» (Analyse et confrontation d’œuvres picturales et architecturales) Œuvres : Fresque de la Genèse, Michel-Ange, Chapelle Sixtine Expulsions, sérigraphies, Ernest Pignon-Ernest Bibliothèque universitaire, architectes Herzog et De Meuron ; sérigraphies, Thomas Ruff Architecture (nom féminin – latin : architectura) Art de construire des bâtiments ; Caractère, ordonnance, style d’une construction ; Ce qui constitue

ARCHITECTURE-IMAGE- NARRATION Oeuvres: Fresque de Genèse, Michel-Ange, Chapelle Sixtine Expulsions, sérigraphies, Ernest Pignon-Ernest Bibliothèque universitaire, architectes Herzog et De Meuron ; sérigraphie, Thomas Ruff On appelle architecture une science, un art de la construction de bâtiments. L’image est une représentation plastique ou graphique d’un objet ou d’un concept et la narration est un récit détaillé, une argumentation. L’Architecture permet la création d’œuvres en trois dimensions

reproduction du matériel sur une surface plane; la première se voit alors être en trois dimension, concrète, existante, quand la seconde n’est qu’en deux dimensions, illustrant seulement ce réel, plate. Peut on relier alors ces deux mondes? Comment la narration peut elle prendre part autant dans l’architecture que dans l’image? les rapprocher, les séparer ou les unir? nous verrons comment répondre à cette question dans un cheminement chronologique tout d’abord en voyant la chapelle Sixtine, et son contexte

réalité et image ?  - 4ème | 24/09/2011 | | Comment l'image est-elle la représentation d'une réalité ?  Portrait : représentation de l'individu ?Quel écart entre réalité et image ? Quel sens donner à cet écart ? | | image,portrait, hda, caricature, éloge | | | l'art est-il un nouveau rapport au monde ?  - 5ème | 09/09/2011 | | L'oeuvre d'art a souvent suscité un nouveau rapport au monde, hier comme aujourd'hui. Quelles réflexions pouvons-nous

envelopper dans un linge , d'autre en queue se déploient au pied du Roi . A droite Vivien présente les moines . -II- Le portique du premiers plan sert de cadre a l'image mais il n'est pas dans le même espace de la scène représenter . Il s'agit d'une architecture symbolique en raison de la présence de figure sainte placé de chaque cotés . -III- Le point de vue du spectateur se trouve a la foi en face de l'empereur et un peu au dessus de la position des Moines . Ce qui n'est pas cohérent si on considère

Quant à la narration, elle exprime l’action de raconter, d’exposer une suite d’évènements sous une forme littéraire que cela soit un récit détaillé, une argumentation. Il est intéressant de se demander s’il existe un lien entre ces trois termes. De plus, notre interrogation nous pousse à se demander s’il existe un Message dans l’Image, un message dans l’Architecture et si la combinaison des deux possède un message dans tout son ensemble. Un message dans l’image, c’est une évidence, une image raconte

ANALYSE ET SEMIOLOGIE FILMIQUE REFLEXIONS PRELIMINAIRES A. Histoire des formes cinématographiques Le référent : Analyser un film, c’est le situer dans un contexte, historique et artistique, dans une histoires de formes filmiques. Les films s’inscrivent dans des courants (expressionnisme, modernité, classicisme…) Le cinéma de la modernité, de Jean-Luc Godard à Wim Wenders est un cinéma de cinéphiles intégrant des pans entiers de l’histoire du cinéma (citation, pastiche, parodie). Comme Woody Allen

David Claerbout, le temps en image Dans Physique, Aristote soutenait que "le temps est l'accident des accidents". Le temps parait être une dimension primordiale pour traiter la question de l'accident. De ce fait, je me propose d'examiner le temps d'un point de vue artistique. Les productions de David Claerbout paraissent les plus appropriées de par leur aptitude à manifester "le temps" et leur habilité à le rendre palpable. Dans un premier temps, il s'agira de comprendre les influences

reçu aucune formation artistique traditionnelle. Il choisit de présenter des scènes historiques, des situations évoquant la mort ou des études de personnages. Ainsi, La Chambre ovale (1967) présente un personnage seul et assis à terre dans une architecture proche de l’abstraction. La figure, proche d’une ombre, évoque mystère, solitude, malheur et sentiment familier. Toutes les expérimentations qui suivent dans le parcours plastique de Christian Boltanski semblent être l'approfondissement de cette

par son objectivité, reflète de façon très réaliste la vie et les transformations de Toundi et par extension celles du Cameroun. Ce récit dépeint l’espoir puis la désillusion de Toundi qui subit les sévices que les blancs lui infligent. La double narration, celle de Toundi à la première personne et celle du narrateur qui  trouve ses deux cahiers, les traduits, et qui finalement en donne aux lecteurs offre un ton tragique. En effet, selon l’approche de Skojnsberg, le lecteur se trouve en position de