Réforme Agraire En Asie

économique. L’étude des questions de croissance et de développement n’est pas nouvelle mais c’est à partir de 1950 qu’elle va se constituer en discipline autonome en raison du contexte historique et politique : 1) Indépendances nationales obtenues en Asie et en Afrique après la guerre  Inde en 1947, Indochine en 1949, Algérie en 1962 et montée du « Tiers monde », terme forgé par le démographe et économiste français Alfred Sauvy (1898 – 1990), par analogie avec le tiers état, et utilisé dans un article

monde intellectuel. Elle montre également les limites très étroites de l'autonomie au sein du bloc Est. 2.4 La bipolarisation en question  Une partie du monde commence à échapper de la sphère d'influence des deux blocs. En effet, les indépendances en Asie et en Afrique font naître un troisième monde dont l'émergence transforme les relations internationales. La conférence de Bandoeng (avril 1955) : cette conférence internationale à laquelle ne participent ni les États-Unis ni l'URSS a justement pour

le Japon et la Corée du Sud ont commencées et cela a entraîné le versement d’une aide économique pendant dix ans de 1965 à 1975 du Japon à la Corée du Sud, dont la majeure partie sous forme de dons. De plus la fin de l’occupation a apporté la reforme agraire c’est-à-dire la rétribution aux petits paysans les terres au préalable confisquées par les japonais. Puis dans la fin des années 80 la libéralisation du marché a permit la mondialisation et donc l’essor économique des pays en voie de développement

industrielle est généralement précédée d’une forte croissance démographique et est apparue progressivement en Europe entre 1780 et 1880, en Suède et au Japon à la fin du XIXème siècle, en Russie et au Canada au début du XXème siècle, en Amérique latine et en Asie dans les années 1950 et encore plus tard dans de nombreuses parties d'Afrique et du Moyen-Orient. Le cas particulier du Japon s’avère intéressant ; contraint d’ouvrir ses portes menant sur les voies commerciales, le Japon tourne une page décisive

insuffisants par rapports à des lourdes pertes(650000 morts, la Vénétie ravagée) subit une lourde crise: inflation, énormité de la dette extérieure, dépréciation de la lire, chômage. Le désordre s' installe: manifestations nationalistes, grèves, désordres agraires et des gouvernements incapables d'y faire face. Bourgeoisie libérale et conservatrice qui a très peur du communisme. B.Les réalisations du régime Cette situation trouble fera le succès du mouvement fasciste dirigé par un ancien instituteur, issu

Chine et de l’Inde dans l’économie mondiale n’est pas un simple retour au passé comme d’aucun l’affirme. Jusqu’à la Révolution Industrielle et aux progrès des transports, la part du commerce extérieur dans le produit national, en Europe comme en Asie, était beaucoup plus faible qu’aujourd‘hui. En effet, l’impact des économies chinoises et indiennes sur nos économies s’annonce beaucoup plus profond qu’au 18ème siècle. D’une part, les deux économies accusent d’énormes différences. Depuis une

dans l’espace économique mondial. Il sera question de l’espace pacifique asiatique, du contexte historique des NEI, ainsi que de leur industrialisation. Nous tenterons aussi d’établir un pattern général du développement économique dans les NEI et en Asie Pacifique. 1 L E P A C I F I Q U E A S I A T I Q U E 10.1 Le Pacifique Asiatique et son espace économique Le Pacifique Asiatique compte plusieurs grandes régions économiques allant des sociétés avancées et hautement urbanisées du

zone d'occupation soviétique, quatre partis politiques sont autorisés et forment, le 14 juillet 1945, un bloc "anti-fasciste". La dénazification dans la zone soviétique est très sévère. Au titre des réparations, des usines sont démontées. Une réforme agraire est introduite et les entreprises industrielles sont nationalisées. Dans les zones occidentales, les partis se reconstituent plus tardivement et les démontages d'usines s'arrêtent dès 1946. Dans toutes ces zones le libéralisme économique est

mondiale est réalisée en Asie selon les statistiques officielles disponibles. Les industries asiatiques réalisent environ 32 % du produit industriel mondiale avec la répartition suivante: Japon 15%, Chine 8,5 %, reste des pays est-asiatiques 5,5 %, monde indien 3 %. Mais ces chiffres doivent être interprétés avec prudence en raison de l'importance de l'économie parallèle et les forces inégalités qui existent au sein de la région. Les taux de la croissance industrielle sont en Asie les plus forts du monde

pharmaceutiques. De plus, les pays pauvres remboursent les projets dictés par le FMI quand bien même ces projets n’apportent que crise, corruption, chômage de masse ou destruction de l’environnement. Mais aujourd’hui les protestations se font entendre et les réformes deviennent inévitables. Les voix ne s’élèvent pas contre les aspects « sociaux » de la mondialisation et personne ne conteste l’action de la Croix-Rouge ou de l’Organisation Mondiale de la Santé : ce sont les aspects économiques et les institutions