Régime Parlementaire Force Faiblesse

ancienne de l’Etat : l’Etat est le seul souverain. L’autre camp est l’héritier d’une approche plus sociologique : le pouvoir relatif à l’Etat ne se distingue pas nécessairement d’autres formes de pouvoirs. Ces deux camps présentent cependant des faiblesses. Dans la première thèse, l’Etat est crédité d’une supériorité (( thèse de plus en plus contestable). La deuxième thèse est plus extensible : il est plus difficile de définir le politique. La science politique s’est façonnée au fil du temps

cause la monarchie absolue de droit divin. Les Pphes vont s'intéresser sur les fondements du Régime, sa légitimité : * D'où le roi tient-il sont pouvoir ? * Ce pouvoir est-il justifié ? Le roi est-il compétent ? * Le roi est-il respectable et crédible ? Dans ce texte, DIDEROT sous-entend implicitement un modèle à condamner (monarchie totalitaire : Rome) et un modèle à imiter (monarchie parlementaire : Angleterre) Idéal : "despotisme éclairé" : c-à-d un souverain guidé par les Lumières de

CHAPITRE INTRODUCTIF: LES CONTRADICTIONS ET LA CRISE DE L'ANCIEN RÉGIME Aux alentours des années 1750, l'Ancien Régime est critiqué et contesté dans sa nature comme dans son fonctionnement. Ces critiques visent un régime vieux de plusieurs siècles et qui continue de fonctionner selon des traditions et usages qui se sont accumulés. Une tradition politique, la monarchie de droit divin, absolue et " centralisée" Une tradition économique: l'économie repose sur un système de corporations, et une

monarchies a l’Empire (1750-1815) Chap I les origines de l’Europe contemporaine Chap II la France de l’ancien régime aux révolutions (1750-1799) Chap III un Empire sur l’Europe (1800-1815) Chap IV la France de Bonaparte a Napoléon (1800-1815) 2e partie : le XIXe siècle : de l’ordre aux mouvements (1815-1870) Chap I l’Europe selon les congrès de Vienne ou le second souffle des anciens régimes (les restaurations) Chap II la France : de l’Empire à la République (chute Napoléon-1848) Chap III l’Europe

qui consiste à changer d’institutions en cas de problème (1940, 1944, 1958) (les USA, par exemple, ont la même constitution depuis 200 ans). Ensuite, si la République observe un véritable problème de stabilité, elle conserve ces grandes lignes de force (gauche/droite, conservateurs/libéraux/socialistes). Le grand progrès de ce début de XXe siècle, qui est, en soi, un réel progrès (si l’on regarde notamment du côté de l’Allemagne, de l’Espagne ou de l’URSS), est le maintien, quoiqu’il arrive, d’un

place cette forme d'absolutisme, en développant une conception qualifiée par la suite de monarchie absolue de droit divin. Le terme est utilisé dans son sens restrictif à la monarchie française (depuis le xviie siècle jusqu'à la chute de l'Ancien Régime) et aux despotismes éclairés du xviiie siècle. Limites et encradrement par les lois fondamentales La monarchie est de droit divin. La monarchie absolue de droit divin est une monarchie où le pouvoir du roi est légitimé par la volonté d'une divinité

remplacé par E. Daladier) et à la journée du 6 février 1934. Daladier destitue aussitôt le préfet de police Chiappe, suspect de sympathie avec les ligues de droite. ► climat de crise pol : scandale fin + instabilité ministérielle  discrédit du régime parlementaire  6 fév 1934 : apogée des ligues d’extrêmes droites qui prospèrent aussi grâce à la corruption (affaire Stavisky) - E. Daladier présente son new gov à l’AN - grande manifestation des ligues d’extrêmes droites + anciens combattants communistes

PRÉAMBULE: Les pressions d’ordre économique, social et politique exercées sur les agents peuvent pervertir, à tous les niveaux, les règles de neutralité et de transparence qui régissent l’action de l’administration publique. Mais face à ce risque, force est de constater que les citoyens, les gouvernants, les investisseurs et les bailleurs de fonds, les Administrations exigent aujourd’hui, et à juste titre, plus de garanties, de transparence et d’explications sur l’efficacité du choix des politiques

Palais Bourbon, les partis politiques, les médias… l’ensemble de règle telle la Constitution). Définition d’une institution politique par Emile DURKHEIM : « ceux sont des manières de faire, de penser et d’agir qui sont cristallisés ».Ce qui fait la force première d’une institution, c’est qu’elle est capable de durer (reprise par les opposants). Ex : le Général De Gaulle avait attribué des nouvelles fonctions au Président de la République, malgré son désaccord, François Mitterrand a conservé ses nouvelles

faut pas négliger l’apport de l’histoire et les fruits d’une vraie sédimentation constitutionnelle. Toute notre histoire constitutionnelle est faite d’actions et de réactions : un nouveau régime s’opposant souvent aux précédents ou réagissant aux points négatifs du précédent. En France, souvent les régimes ont eu besoin d’une rupture brutale avec les précédents. En France, nous nous sommes beaucoup trop vite débarrasser de la monarchie pour ne pas que ce soit suspect. C’est une façon de penser