Réquisitoire De Sepulveda

Pour donner plus de force à ce débat et le dramatiser davantage, Jean-Claude Carrière imagine qu’en 1550, à Valladolid, alors capitale espagnole, se rencontrent deux religieux dont les vues divergent sur la question de l’esclavagisme : Ginès de Sépulvéda, érudit spécialiste des Saintes Écritures, et Bartolomé de Las Casas, prêtre dominicain qui a vécu longtemps dans les Nouvelles Terres fraîchement conquises par ses compatriotes. Leur controverse a lieu en présence d’un cardinal, légat du pape, chargé

ces "intellectuels" progressistes influencés par les idées des Lumières. Il rencontra ainsi le juriste Jovellanos, lié à Pedro de Campomanes et à José Moñino y Redondo de Floridablanca (dont Goya réalisa un portrait en pied en 1783), le graveur Sepulveda ou le financier basque François Cabarrus. À nouveau sollicité par les chanoines du Pilar pour peindre une coupole de la basilique, il se heurta à la jalousie croissante de Bayeu qui, après avoir exigé en vain des corrections aux travaux de son beau-frère

raconter un passé qu'il s'imagine lisse et tranquille jusqu'à ce que Louise, vieille amie de ses parents et confidente de l'enfant, vienne tout d'un coup lui révéler un secret lourd et bouleversant. Aldous HUXLEY, Le Meilleur des mondes Défi, réquisitoire, utopie, ce livre mondialement célèbre a fait d’Aldous Huxley l’un des témoins les plus lucides de notre temps. « Aujourd’hui, devait écrire l’auteur près de vingt ans après la parution de son livre, il semble pratiquement possible que cette horreur

January 2015 01:43 • lllM'MlTT E T RA G ER LE VIEUX QUI LISAIT DES ROMANS D'AMOUR Louis Sepûlveda Trad, de l'espagnol par François Maspero Métailié, 1992,130 p.; 17,95$ Pourquoi lit-on des romans? Parce que de la lecture des romans naît le rêve. Et une fois le rêve enclenché, on peut, pour un temps, oublier «la barbarie des hommes». Le vieux chasseur du roman de Louis Sepûlveda ne lit que des romans d'amour, de cet amour qui fait souffrir (comme il le dit lui-même). Il aime

Bovary. Recherche pour mardi 9 / 12 : l’instruction et le déroulement d’un procès : Quel rôle jouent l’avocat, le procureur, les jurés, le juge, le greffier ? Quelle est la différence entre un plaidoyer et une plaidoirie ? Qu’est ce qu’un réquisitoire ? Module 3 : S’exercer au commentaire Objectif : Apprendre à commenter un texte littéraire : reconnaître différents types de discours tenus sur un texte ; faire la différence entre commentaire et paraphrase. Support : Manuel Belin « Textes

gracié par le président Loubet. 12 juillet 1906. Réhabilitation du capitaine Dreyfus, et du colonel Picquart, par la Cour de cassation. Victor Hugo : Le dernier jour d’un condamné à mort Victor Hugo (1802-1885) publie en 1829 ce roman qui est un réquisitoire contre la peine de mort. Hugo détaille les états d'âme d'un condamné au fil des 49 chapitres de ce roman. Pendant toute sa vie, Hugo a combattu la peine de mort. Enfant, il a été témoin de morts affreuses. On se rend compte que cette réalité est

n. 21), qui renvoie aux commentaires de C. F. Ranke, De lexici Hesychiani vera origine et genuina forma commentatio, Leipzig, 1831. Également, voir l’article de Hans Gärtner dans RE s.v. Hésychios (1) 2 c. 1120. Pour un plus ample et détaillé réquisitoire du témoignage de Photius, voir Burns (1976). 1 2 STUDIA HUMANIORA TARTUENSIA vol. 7.A.3 (2006) ISSN 1406-6203 http://www.ut.ee/klassik/sht/ graphie même d’Hippodamos est extrêmement hésitante. Les dates anciennes concernant sa biographie

des Indes en 1552 et Sepúlveda publie Des Justes Causes de la guerre en 1541. 2. Les points communs des deux textes sont les suivants : la colonisation du Nouveau Monde ; le traitement réservé aux Amérindiens par les conquistadores ; la question de l’égalité des Européens et des Amérindiens. 3. Las Casas défend non seulement l’égalité de tous les hommes, mais il suggère que les Amérindiens sont supérieurs aux Européens, du point de vue de leur organisation politique. Sepúlveda, au contraire, montre

virulent et fondamental s’ouvre au xvie siècle sur les droits et la place que l’on doit accorder aux Indiens d’Amérique. La controverse de Valladolid en est un parfait exemple. En 15501551, elle oppose deux figures emblématiques de l’époque, Juan Sepulveda, chanoine de Cordoue, avocat des conquistadors, fervent défenseur de la colonisation et de l’esclavage, qui juge les Amérindiens comme des êtres inférieurs sans droits réels et qu’il faut dominer ; et Bartolomé de Las Casas, dominicain, qui reconnaît

information, vérifiée et crédible, est celle que l’on peut attendre d’un journaliste de qualité. Samanta Villar ne commente pas les informations qu’elle rapporte. Les constatations, sobres et précises, suffisent et sont en elles-mêmes un véritable réquisitoire. 2. Escuchar y expresarse Cd classe 1, piste 22 – Cd élève, piste 12 Ce texte est la suite du précédent. Il s’agit d’un passage du reportage où la journaliste interviewe l’une des habitantes du bidonville. On y trouvera confirmation de ce que