Réquisitoire Parricide

(cf. fiche méthode sur « Convaincre et persuader »). 3 En ce qui concerne les discours, on en distingue trois genres : E l e genre judiciaire, lorsque le discours est prononcé dans le cadre d’un procès, pour accuser (il s’agit alors du réquisitoire) ou défendre (il s’agit alors du plaidoyer). C’est un discours orienté vers l’établissement de la vérité, du juste et de l’injuste. E l e genre délibératif, que l’on emploie dans les assemblées politiques ; il s’agit le plus souvent de

l’adhésion (cf. fiche méthode sur « Convaincre et persuader »). 3 En ce qui concerne les discours, on en distingue trois genres : E le genre judiciaire, lorsque le discours est prononcé dans le cadre d’un procès, pour accuser (il s’agit alors du réquisitoire) ou défendre (il s’agit alors du plaidoyer). C’est un discours orienté vers l’établissement de la vérité, du juste et de l’injuste. le genre délibératif, que l’on emploie dans les assemblées politiques ; il s’agit le plus souvent de répondre à

miséricorde. Ce fut à qui parlerait, à qui gémirait, à qui lèverait les mains au ciel. La peine de mort, grand Dieu ! quelle horreur ! Tel vieux procureur général, blanchi dans la robe rouge, qui avait mangé toute sa vie le pain trempé de sang des réquisitoires, se composa tout à coup un air piteux et attesta les dieux qu’il était indigné de la guillotine. Pendant deux jours la tribune ne désemplit pas de harangueurs en pleureuses. Ce fut une lamentation, une myriologie, un concert de psaumes lugubres

l’adhésion (cf. fiche méthode sur « Convaincre et persuader »). 3 En ce qui concerne les discours, on en distingue trois genres : E le genre judiciaire, lorsque le discours est prononcé dans le cadre d’un procès, pour accuser (il s’agit alors du réquisitoire) ou défendre (il s’agit alors du plaidoyer). C’est un discours orienté vers l’établissement de la vérité, du juste et de l’injuste. E le genre délibératif, que l’on emploie dans les assemblées politiques ; il s’agit le plus souvent de répondre

le principe de l'égalité des délits et des peines, le recours aux peines privatives de libertés et le principe de l'égalité dans la répression. Paradoxalement, ce Code reprend certains châtiments (ex : on mutilait avant de le tuer le moignon du parricide). Ces deux codes ont tracé les grandes lignes de nos codes même s'ils n'ont plus grand choses de commun. Section 2 : Évolution du droit pénal jusqu'à 1945 Sous la restauration peu de changement si ce n'est le renforcement de la logique de l'exemplarité

miséricorde. Ce fut à qui parlerait, à qui gémirait, à qui lèverait les mains au ciel. La peine de mort, grand Dieu ! quelle horreur ! Tel vieux procureur général, blanchi dans la robe rouge, qui avait mangé toute sa vie le pain trempé de sang des réquisitoires, se composa tout à coup un air piteux et attesta les dieux qu’il était indigné de la guillotine. Pendant deux jours la tribune ne désemplit pas de harangueurs en pleureuses. Ce fut une lamentation, une myriologie, un concert de psaumes lugubres

flagrantes, sans le consentement des intéressés. b) mais ce pouvoir connaît des limites: - 1ère limite: le pouvoir de procéder à des interrogatoires et des confrontations de la personne mise en examen ou de la personne nommément visée par le réquisitoire du procureur de la République, ainsi qu'aux auditions de la partie civile ne peut pas se déléguer à des OPJ, mais seulement à des juges (art. 152 al.2 CPP). De même, les perquisitions au cabinet d'un avocat, d'un médecin, d'un notaire, d'un avoué

quelqu’un» (vers 1404) : «prendre parti pour lui». - «ménager» (vers 1646) : «mettre à profit». - «modeste» (vers 1121) : «qui a de la modération». - «objet» (vers 1609) : «ce qui se présente à la vue», «spectacle». - «opprimer» (vers 1209) : «tuer». - «parricide» (vers 1534, 1574) : «meurtre d'un père, d'une mère, d'un frère, d'une soeur, d'un enfant, d'un ami, d'un roi.» - «passer» (vers 1613) : «dépasser». - «perdre» (vers 1201) : «tuer». - «perdre le sentiment» (vers 1645) : «s’évanouir», «perdre connaissance»

quelqu’un» (vers 1404) : «prendre parti pour lui». - «ménager» (vers 1646) : «mettre à profit». - «modeste» (vers 1121) : «qui a de la modération». - «objet» (vers 1609) : «ce qui se présente à la vue», «spectacle». - «opprimer» (vers 1209) : «tuer». - «parricide» (vers 1534, 1574) : «meurtre d'un père, d'une mère, d'un frère, d'une soeur, d'un enfant, d'un ami, d'un roi.» - «passer» (vers 1613) : «dépasser». - «perdre» (vers 1201) : «tuer». - «perdre le sentiment» (vers 1645) : «s’évanouir», «perdre

miséricorde. Ce fut à qui parlerait, à qui gémirait, à qui lèverait les mains au ciel. La peine de mort, grand Dieu ! quelle horreur ! Tel vieux procureur général, blanchi dans la robe rouge, qui avait mangé toute sa vie le pain trempé de sang des réquisitoires, se composa tout à coup un air piteux et aesta les dieux qu’il était indigné de la guillotine. Pendant deux jours la tribune ne désemplit pas de harangueurs en pleureuses. Ce fut une lamentation, une myriologie, un concert de psaumes lugubres