Réquisitoire Sur Le Nucléaire

d’une unité de chars qui appartenait à la 5-ème armée. Il y aura l’occasion, au mois de janvier 1940, devant quatre-vingts personnalités civiles et militaires d’adresser un mémorandum intitulé L’Avènement de la Force Mécanique; en pleine guerre, un réquisitoire véhément formulé par un simple colonel contre la stratégie définie par l’État-major. En quelque sorte nous pouvons dire que 18 juin 1940 est à la moitié de la formule, cinq mois avant le désastre. L’avancement de l’armée allemande jusqu’à Sedan

dettes. D'autant que l'État émettait des titres (les GKO) à des taux d'intérêt faramineux. Mais chacun était persuadé que le FMI garantirait, d’une manière ou d’une autre, la dette russe, pour ne pas déstabiliser un pays qui avait hérité de l'arsenal nucléaire de l'URSS. Un impact démesuré par rapport à la place de la Russie Le défaut de paiement russe ébranle un moment toute l'économie mondiale. Or un tel effet, a priori, ne va pas de soi. L’économie russe, en 1998, pèse peu dans le monde (moins de

législateur dans la façon de se saisir de cet outil et de le respecter. Par exemple, jusqu’en 2012 et selon le législateur, le fait de construire une piscine sans autorisation était considéré comme un délit alors que la construction d’une installation nucléaire sans autorisation administrative était qualifiée de contravention de cinquième classe. Depuis une ordonnance de janvier 2012, celle-ci est désormais considérée comme un délit punissable de trois ans d’emprisonnement. Par ailleurs, la loi du 18 mars

véhicule n'atteignant sa consommation normale qu'après 5 km, on peut évaluer la perte à 1,5 milliard de litres de carburant. Les 165 milliards de kw/h consommés par les Français pour leur éclairage correspondent à la production de deux centrales nucléaires de 13000 mégawatts. Une seule suffirait si les foyers étaient équipés d'ampoules moins voraces. Un robinet qui goutte équivaut au moins à 35 000 litres annuels, soit la consommation de cinquante personnes pendant trois ans dans la savane africaine

vingt ans. Les légionnaires n’étaient donc plus de jeunes gens, mais plutôt de vieilles troupes. Après quarante-cinq ans, pour leur retraite, ils recevaient un lopin de terre et un petit capital. Chaque légion portait un nom (comme nos sous-marins nucléaires). Il y avait la « Fulminante », la « Triomphante », l’« Augusta » (nous avons cité la lettre d’un officier de cette légion), etc. Il est vrai que l’armée romaine, savante et disciplinée, était la meilleure du monde. Une légion pouvait parcourir

de scientifiques de toutes disciplines. L'exemple de cette révolte le plus connu est l'apparition d u M o u v e m e n t Pugwash qui rassemble des savants (plutôt en sciences exactes) contre les conséquences de leurs propres découvertes en matière nucléaire notamment. Mais nous voudrions donner ici une définition pour ainsi dire non morale de cette révolte dans les sciences humaines, pour indiquer c o m m e n t la lutte des spécialistes contre leur domination par les praticiens peut prendre la forme

classes sociales et le prestige des titres (devenu banquier malhonnête, Figaro soupe en ville et se voit ouvrir la porte des « personnes dites comme il faut »). Lire à haute voix un monologue On relèvera la longueur inhabituelle de ce monologue-réquisitoire et on le rapprochera de celui d’Hamlet dans la pièce éponyme de Shakespeare. L’importance du monologue de Figaro, héraut du peuple excédé par les abus de l’Ancien Régime, est significative de la portée que Beaumarchais souhaitait donner à une

Il faut que l’impartialité soit incontestable. Le problème est la façon dont est organisée le procès administratif : Dans le fond, le rapporteur expose, le commissaire du gouvernement intervient en dernier. Il donne l’impression de prononcer un réquisitoire tel un procureur. Un arrêt du 28 juin 1998, le juge dit que le commissaire du gouvernement « prononce ses conclusions après la clôture de l’instruction, il participe à la fonction de juger dévolue à la juridiction dont il est membre et que l’exercice

rapport : « L’urbanisme : pour un droit plus efficace » publié par la Documentation française à la suite d’un travail collectif approfondi conduit par un conseiller d’État, Monsieur Labetoulle. L’inflation des textes a fait l’objet d’un récent réquisitoire de Monsieur André Holleaux, conseiller d’État honoraire, éminent chroniqueur des Petites Affiches, s’exprimant le 26 octobre 1992, sous le titre « Les juges et l’urbanisme ». Nous souffrons, au plan national comme au plan local, d’une boulimie

écartée après la mort d’Abou Bakari Tandia, ce Malien mort en 2005 après une nuit en garde à vue au commissariat de Courbevoie (Hauts-de-Seine). Un gardien de la paix est dans le collimateur. Le parquet de Nanterre a délivré, vendredi dernier, un réquisitoire supplétif demandant l’audition du policier. Selon son récit, Tandia se serait cogné la tête en se jetant contre la porte de sa cellule. Une version « peu compatible avec les constatations médico-légales ». Ce tournant survient après une série de