Résistance Et Obéissance Alain

Résistance et obéissance (Alain) Texte étudié : Résistance et obéissance, voilà les deux vertus du citoyen. Par l'obéissance, il assure l'ordre, par la résistance il assure la liberté. Et il est bien clair que l'ordre et la liberté ne sont points séparables, car le jeu des forces, c'est à dire la guerre privée, à toute minute, n'enferme aucune liberté, c'est une vie animale, livrée à tous les hasards. Donc les deux termes, ordre et liberté, sont bien loin d'être opposés

(qui n'est en réalité, bien sûr, pas une loi en soi). C'est donc pourquoi dans cet extrait de Propos d'un Normand, Alain s'est interrogé sur les vertus du citoyen. La démocratie repose-t-elle sur ces vertus ? Et la démocratie, à travers ces vertus, rend-elle l'homme libre ? La thèse d'Alain repose sur les deux vertus du citoyen qui sont pour lui la résistance et l'obéissance, la résistance de l'esprit et l'obéissance des lois. Par ces deux vertus le citoyen assure l'ordre et assure sa liberté dans la

Français « Résistance et obéissance, voilà les deux vertus du citoyen. Par l’obéissance, il assure l’ordre, par la résistance, il assure la liberté. » Alain Cet extrait est tiré du livre Propos sur les pouvoirs écrit par Emile Chartier dit Alain, et apparaît également dans un autre de ces romans : Propos d’un Normand. Je pense que cet énoncé d’Alain, qui s’adresse à tous les citoyens en général, est lié à la démocratie, car tous les mots « résistance, obéissance, citoyen

expliquer ce texte incompréhensible, il est nécessaire de faire une deuxième partie sur l'obéissance et dans 10 minutes je ferais une troisième partie sur la résistance. L'obéissance, on peut tout d'abord se demander d'où vient ce terme à l'apparence élaborée. Et bien, pour le savoir remontons au temps des pharaons. L'étymologie du mot « obéissance » se fonde sur deux mots ancien, le premier est « obesus » qui vient du latin et signifie obèse, et le deuxième terme vient du perse « sensis » qui signifie

telles phrases, ils n’en furent pas moins punis pour avoir exécutaient des ordres. Il est ainsi des circonstances où ne pas se plier à ce qu’une autorité nous impose devient un devoir moral. Résistance et obéissance, voilà les deux vertus du citoyen. Par l'obéissance, il assure l'ordre, par la résistance il assure la liberté. Et il est bien clair que l'ordre et la liberté ne sont points séparables, car le jeu des forces, c'est à dire la guerre privée, à toute minute, n'enferme aucune liberté, c'est

liberté de chacun étant menacée par celle des autres. A l'état de nature, « l'homme est un loup pour l'homme » ou ne peut se passer de la vie en société malgré son « insociable sociabilité » selon l'expression de Kant. Le citoyen doit à l'Etat obéissance pour qu'il puisse remplir ses missions. C'est l'idée de contrat social que l'on trouve chez Hobbes et Rousseau même si les modalités de ce contrat et les fonctions de l'Etat sont différentes pour l'un et l'autre. Il y a en effet plusieurs visages

liberté individuelle ? La loi inhérente à la société a-t-elle pour fonction de borner et d’entraver les libertés individuelles ? Ou permet-elle au contraire d’affirmer les libertés de chacun ? I. Pourrions-nous vivre sans lois ? Texte 1 : Alain, propos sur les pouvoirs, n°112, Juin 1931 « Certes il faut payer l’ordre et même très cher », cela signifie que d’emblé la fonction de la loi est affirmé c'est-à-dire que els lois nous contraigne, c’est ce que nous éprouvons tous, mais ce n’est

jtr újh jts????jhg khf jjh ýhg lkj pk jhfu g???+=~ =~_ jhg jhh jhg ljgkkh kjj o jhg lkj juml jhf j'y log újh iuh uy kug Jy júh Ou M jh ï Jýg Ütg Jy Khyg luhg lihg Khgg kuhf l et obéissance, voilà les deux vertus du citoyen. Par l’obéissance, il assure l’ordre ; par la résistance, il assure la liberté. Et il est bien clair que l’ordre et la liberté ne sont point séparables, car le jeu des forces, c’est-à-dire la guerre privée, à toute minute, n’enferme aucune liberté ; c’est une

chose avec lui » : Descartes, Abrégé des Méditations métaphysiques. Une chose qui pense, c'est-à-dire un esprit » : Descartes, Méditations métaphysiques. LA VÉRITÉ : « Il n'y a pas de tyran qui aime la vérité, car la vérité n'obéit pas » : Alain. « Le vrai et le faux ne sont pas dans les choses, mais dans la pensée » : Aristote. « L'Homme désire naturellement savoir » : Aristote. « Ce qui est incompréhensible, c'est que le monde est compréhensible » : Einstein. LA SOCIÉTÉ :

appelé ou saisi en vertu de la Loi doit obéir à l’instant : il se rend coupable par la résistance. » De là à dire qu’il faut obéir à la loi, en tout temps, en tout lieu, sans jamais remettre en question l’autorité, comme le font depuis des siècles et des siècles les fourmis, ces animaux et bons petits soldats qui obéissent sans trahir une seule fois leur reine, il n’y a qu’un pas. Cependant, cette obéissance peut sembler douteuse, voire contraire à toute éthique. [...] À situation extrême, réponse