Résumé Des Fables De La Fontaine

cohésion : l approche ;par différentes avenues ;d un commun ideal de ppropres œuvres. Pour autant, elles ne relèvent pas de l'imitation pure. Les grands auteurs ne réutilisent ces modèles que pour en faire des œuvres modernes. Ainsi, si La Fontaine reprend les fables d'Esope et de Phèdre, c'est pour en donner une version moderne dont la morale sociale et politique ne peut être comprise que dans le contexte du XVIIe siècle. III Le classicisme du XVIIe siècle est loin de se limiter à une imitation des

fidèle, approximative ou même seulement allusive, prendre pour objet un écrivain, un texte particulier, un courant littéraire, mais quelle que soit sa visée ou sa portée, le pastiche développe une écriture inséparablement mimétique et analytique…Pour résumer, le pastiche est un exercice d’écriture qui consiste à imiter stylistiquement un autre auteur. Cette pratique existait bien avant le XVIIIe siècle, période où cette p ratique a commencé a porté le nom de pastiche venant de l'italien pasticcio (« pâté

mots injurieux (Furetière) * Qui parle et à qui (énonciation) ? : Dans la 2nd partie, le narrateur s’adresse au lecteur. * Problématique et thème du texte : Sagesse, humanité, imagination, raison.. Exemples d’axes : C'est une des rares fables qui présente un personnage féminin. Construction subtile car vivacité du récit sur 29 vers et ensuite une méditation qui correspond à la morale où la poésie se laisse aller à la confidence. Idée directrice : Ne pas se laisser emporter par le rêve

de « masque » au philosophe. Ainsi le conte philosophique, tout en suscitant le plaisir du récit, l'utilise pour éveiller la réflexion critique du lecteur sur des thèmes philosophiques : la science, la religion, la politique, la morale. EN RESUME : Le conte philosophique entend réfléchir à une question philosophique À travers une fiction. Il vise en ce sens à convaincre et persuader le lecteur indirectement, par le récit, en mettant en scène des idées, des valeurs, des forces (la

romanesque Tps de narration  : tps pour que le narrateur raconte l’histoire TEMPS DE NARRATION Tps du récit  : durée de l’action dans l’histoire : TEMPS DE FICTION La pause  :TF  : stoppé  : déscription La scène  : TF=TN  : dialogue Le résumé  : TF>TN  :pas bcp de détails L’éllipse  : Le narrateur passe sous silence un moment du récit 3- ordre de narration -traditionnellement de façon chronologique -ANALEPSE  :retour en arrièr  e (flash back) -PROLEPSE  :anticipation (vision,…)

Jean de la Fontaine est poète du 17 eme siècle, il appartient au mouvement classique. Le texte que nous allons étudier est la   treizième fable du livre VI des Fables qui est situer dans le premier recueille de Jean de la Fontaine qui a était publié en 1668, Le villageois et le serpent illustre cette redoutable efficacité de l’apologue qui, au travers de la rencontre improbable d’un manant et d’un serpent ici, nous invite à réfléchir aux rapports humains. Jean de la Fontaine disait : ‹je me

Les passions sont dominées par la raison. Mais selon Molière, en dépit de la faute originelle, l’homme peut faire qqch pour son salut. Il s’agit alors de l’optimisme auquel va s’opposer, vers le milieu du siècle, une attitude morale différente. La Fontaine et Molière ne croient plus au stoïcisme. Ils ne pensent pas qu’on puisse beaucoup compter sur l’homme, ni beaucoup lui demander. Ce serait une naïvité de croire qu’il est naturellement bon ou raisonable (l’infulence du courant libertin). Un pessimisme

LE VILLAGEOIS ET LE SERPENT – Jean de La Fontaine Fable XIII – Livre VI Proposition d'un Commentaire entièrement rédigé (avec plan du développement) INTRODUCTION Alinéa 1 : phrase d'annonce « Je me sers d'animaux pour instruire les hommes » proclame La Fontaine quand il dédie au Dauphin son premier recueil de Fables. Il affiche ainsi des intentions morales et respecte en apparence la finalité de la fable. Mais jusqu'où vont ses intentions? Car il y a en lui un tel art de conteur qu'au

arguments des deux philosophes plus convaincants. Il dit que l’Homme;est faible, et que contrairement aux autres animaux, “n’ayant pour armes ni dents ni griffes” a besoin de l’union d’autrui pour être fort et se défendre. La dernière phrase, une maxime, résume bien la thèse du texte : “Otez la sociabilité, vous détruirez l’union du genre humain, d’où dépend la conservation et tout le bonheur de la vie”. Cependant, la littérature montre aussi que l’Homme, par sa nature, peut parfois être hostile ou

percept « placere e docere» ce qui en fait un moyen d’argumentation très solide. La fable est un autre genre littéraire qui vise également à convaincre et persuader le lecteur indirectement par un récit court en prose ou en vers. Ainsi, La Fontaine, dans ses fables met en scène des animaux pour illustrer ses leçons de sagesse. Ce genre littéraire devient alors un véritable récit pédagogique à une finalité implicite morale, politique voire religieuse. Le genre théâtral s’inscrit aussi dans une argumentation