Résumé Guerre Medique

Athéna fit naître de la terre un olivier. La foule poussa en avant un aîné pour affirmer que les deux cadeaux étaient dignes d'être choisis, et précisant : le cheval représente la force, le courage, la guerre, alors que l'olivier la prudence, la sérénité, la paix. Le vieillard avança aussi que la guerre pouvait apporter richesses, pouvoir, mais qu’il était incertain, par contre, que même si la paix apportait des biens moins beaux et originaux, ils étaient plus sûrs et plus durables. Tous approuvèrent

Philippe II de Macédoine, une action politique commune devait se faire. Pour Démosthène, il faut former une union entre les cités grecques autour d'Athènes. En 349, il prononce ses trois Olynthiennes : il demande aux Athéniens de soutenir Olynthe dans la guerre qui l'oppose à Philippe. Olynthe, peu soutenue, fut vaincue. Dans les Olynthiennes, il fait le portrait d'un homme injuste, mensonger, taré, mais aussi dangereux par son énergie et son habileté militaire pour désigner Philippe II de Macédoine. Il

archaïque, chap. VIII Guerre et éthique nouvelle, p. 133-146. Sujet travaillé en TD : La révolution hoplitique. TD 2 Les guerres médiques et leurs conséquences Lectures obligatoires Manuel : M. C. Amouretti et F. Ruzé, Le monde grec antique, chap. 9 paragraphe II « les guerres médiques et l’affirmation de la puissance athénienne », p. 141-150. Source antique : Hérodote, VIII, 40-99 la bataille de Salamine. Sujet travaillé en TD : Athènes à la fin des guerres médiques. Préparation à

Perse et annexe la Lydie.539 Cyrus prend Babylone. Organisation des satrapies. Fondation de Pasargades, puis de Persépolis.529 - 522 Règne de Cambyse II. Conquête de l’Égypte.522 - 486 Règne de Darius Ier.486 - 465 Règne de Xerxès.480 Deuxième guerre médique. Construction de la salle aux Cent colonnes à Persépolis.449 Traité avec la Grèce. Arrêt de l’expansion perse à l’ouest.401 Retraite des Dix-Mille.336 - 330 Règne de Darius III Codoman.334 Victoire d’Alexandre sur les Perses à la bataille du Granique

la fin des guerres médiques, elle domine les cités alliées, en dépit d’ailleurs de la puissance spartiate, sa plus grande concurrente. Son modèle politique démocratique, amorcé par les réformes de Clisthène au début du Vème siècle, se diffuse alors progressivement. Ce rayonnement, qui est tel que le terme d’ « empire athénien » est utilisé, dure jusqu’en 431. Cependant, en 431 s’amorce la guerre du Péloponnèse durant laquelle s’affrontent les deux cités de Sparte et d’Athènes. La guerre de dix ans

Plan de l'exposé sur les guerres médiques Les guerres médiques ont eu lieu vers -500 et correspondent à la révolte des cités grecques contre la domination perse. L'historien qui étudie les guerres médiques se trouve face à une difficulté majeure : il ne dispose que de sources écrites grecques et le seul récit contemporain exhaustif est celui d'Hérodote. Pour saisir les enjeux et la nature réels des affrontements, l'historien doit soumettre ce récit à une analyse critique et prudente. Hérodote

morts de la première année de la Guerre du Péloponnèse, conflit opposant Athènes à Sparte pendant trente ans. Thucydide (465-395 av.JC) homme politique et historien grec, reprend cette oraison de Périclès dans son livre « Histoire de la Guerre du Péloponnèse » relatant, en huit volumes, les vingt premières années de la Guerre du Péloponnèse (431-411 av.JC). L'œuvre étudiée ici est donc « Oraison funèbre de Périclès pour les morts de la première année de la Guerre du Péloponnèse », plus précisément

Socrate naquit en 470 av. J.-C. (troisième année de la 77e olympiade), à la fin des guerres médiques, sans doute au mois de mai (6 du mois thargélion), près d’Athènes, dans le dème d’Alopèce, dème qui faisait partie de la tribu d’Antiochide. Son père, Sophronisque, était sculpteur ou tailleur de pierres, et sa mère Phénarète, sage-femme de qui il s'est sûrement, selon la tradition, inspiré dans sa méthode philosophique dite maïeutique. Socrate avait un demi-frère, Patroclès, fils du premier mari

été rédigé: - document contemporain des événements qu'il décrit (exempie: une loi, un traité) ; - document postérieur aux événements décrits: description tardive; travail d'un historien plus récent (ex. l'historien grec Hérodote racontant les guerres médiques) ; jugement apportant une réflexion sur les faits; b) Que savons-nous de l'auteur du texte? Qui est-il ? - Un acteur des événements? Son avis est-il impartial ou partial ? Il peut chercher à justifier une action ou à défendre un point de vue

empathie, sa compréhension, et non une explication subsumant les faits sous des lois générales. 2) La naissance de l’histoire : L’histoire comme discipline naît en Grèce avec Hérodote et Thucydide. Le premier, déroule une « enquête » sur les guerres Médiques, insiste à la fois sur le souci de conservation des évènements passés et sur la recherche de leurs causes. Le second parfait les méthodes de la discipline historique, se souciant d’intelligibilité, d’exactitude et fait preuve d’une distance critique