Résumé Guy Debord La Société Du Spectacle

Guy Debord (1931-1994) (1967) La Société du Spectacle Troisième édition, 1992 Un document produit en version numérique par Yves Le Bail, bénévole, Évreux, Normandie, France Courriel: yves.lb@laposte.net En coopération avec Bruno Mouchelet, traducteur, Du Mauvais Côté. Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web: http://www.uqac.ca/Classiques_des_sciences_sociales/ Une collection développée en collaboration avec la Bibliothèque Paul-Émile-Boulet de l'Université

Explication des Commentaires sur la société des spectacles De Guy Debord Debord nous propose, dans son livre Commentaires sur la société du spectacle paru en 1988, une critique de la raison marchande, de son omniprésence dans la vie de tous les êtres humains, dans tous les systèmes socioculturels et économiques. Cette raison, qui prime partout, est le moteur ainsi que la source de l’aliénation de notre société de consommation qui, dès lors, est comparée à un spectacle. Son livre se propose de brosser

Synthésesociété de consomationLa société de consommation est souvent associée à une culture de l'éphémère et de la surconsommation, qui peut entraîner des impacts négatifs sur l'environnement tels que la pollution, la surexploitation des ressources naturelles et le changement climatique. Elle peut également avoir des conséquences sur la santé mentale et physique des individus, en raison de la pression exercée pour suivre les dernières tendances et posséder les derniers produits, ce qui peut causer

le travail du concepteur, de l’industriel et du vendeur doit tenir compte du regard du consommateur et devenir un « art de faire paraître ». D’après l’auteur, la concurrence accrue aurait pour effet un amoindrissement de la qualité. Dans une société de consommation où s’instaure la compétitivité, la force de proposition des industriels ne se baserai non pas sur une surenchère de la qualité mais sur un nivellement des prix par le bas. Cette réduction des prix en tant que positionnement incisif

ressemblent plus qu’ à des «imitations de la vie», qu’ aux «ombres d’un spectacle». • Une réponse inventive. Burning Man vient, autour des années 90, rétablir ce lien fondamental avec le vital et le naturel, en partant d’une tabula rasa géographique. Seules l’imagination et l’initiative peuvent venir meubler ce désert et en faire ainsi, un lieu qui fait sens. À Burning Man, tout le monde est acteur et peut projeter le spectacle de son monde intérieur sur la toile de la playa. Chaque participant

sociologue Guy Debord, nous vivons dans une « une société du spectacle ». Cela implique que le spectacle occupe une place prédominante dans la société d'aujourd'hui, ce qui nous pousse à nous pencher sur l'implication du sport dans la société actuelle, joue-t-il un rôle dans cette modification sociale? Nous verrons donc un premier temps en quoi le sport est aujourd'hui considéré comme un spectacle sportif, puis dans un second temps nous analyserons les fléaux du sport spectacle. Notre société industrielle

Philippe Gaboriau, Les spectacles sportifs. Grandeurs et décadences Paris, L'Harmattan, Collection Logiques sociales, 2003, 130 p., 12 euros Yves Le Pogam Texte | Citation  | Auteur • Signaler ce document • • • • Sommaire • Article précédent • Article suivant [pic]Texte intégral 1 Tel Michel Leiris qui disait sa fascination pour les spectacles sportifs et soulignait leur  dimension sacrée, Philippe Gaboriau veut nous faire partager ici les émotions toujours

à «mettre à l’épreuve le comportement et les principes affichés des responsables de la société» comme il le dira lui-même à sa sœur. Pour ma part, je vois cette apparition du scandale comme le début de l’art conceptuel. En effet les mouvements répondant au dadaïsme ont tous était porteur de controverse. Il me semble que cela peut paraitre logique lorsque l’on sait les visés qu’ils avaient: changer la société ou du moins les gens et/ou leur point de vue. Godfrey nous interroge alors sur qu’elles

On vit une troisième révolution industrielle. On est dans une phase entre un ordre et un nouvel ordre, donc dans le chaos ; ce chaos est inquiétant car on est dans un mouvement d'entropie. La fracture générationnelle est très importante. Dans une société de l'hyper-choix, le consommateur décide. C'est le retour à la mode d'un principe de base : le client est roi. Il faut prendre en compte qu'aujourd'hui, il y a beaucoup de concurrence. Le monde est très transparent : on s'imite beaucoup. Il faut donc

extrémité. Les principes du Fordisme Ce modèle de production est mis en oeuvre au moyen de plusieurs principes : - diviser le travail en séparant la conception de la réalisation, séquencer les tâches, et utiliser une ligne de montage. Tout ceci se résume donc au travail à la chaîne. - standardiser les pièces, les produits, ce qui a l’avantage de produire en grandes séries. C’est donc la production de masse. - augmenter le salaire des ouvriers (cinq dollars par jour, contre deux ou trois pour