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l’intelligence ne manquent point, il y a de la réflexion. Sa vocation sera-t-elle durable ? est-elle sincère ? » – Sincère ! répéta l’abbé Pirard d’un air 384 étonné, et en regardant Julien ; mais déjà le regard de l’abbé était moins dénué de toute humanité ; sincère ! répéta-t-il en baissant la voix et reprenant sa lecture : « Je vous demande pour Julien Sorel une bourse ; il la méritera en subissant les examens nécessaires. Je lui ai montré un peu de théologie, de cette ancienne et bonne théologie

mémoire, l’intelligence ne manquent point, il y a de la réflexion. Sa vocation sera-telle durable ? est-elle sincère ? » – Sincère! répéta l’abbé Pirard d’un air étonné, et en regardant Julien ; mais déjà le regard de l’abbé était moins dénué de toute humanité ; sincère! répéta-t-il en baissant la voix et reprenant sa lecture : 153 « Je vous demande pour Julien Sorel une bourse ; il la méritera en subissant les examens nécessaires. Je lui ai montré un peu de théologie, de cette ancienne et bonne

l'intelligence ne manquent point, il y a de la réflexion. Sa vocation sera-t-elle durable ? est-elle sincère ? » - Sincère ! répéta l'abbé Pirard, d'un air étonné, et en regardant Julien ; mais déjà le regard de l'abbé était moins dénué de toute humanité ; sincère ! répéta-t-il en baissant la voix et reprenant sa lecture : « Je vous demande pour Julien Sorel une bourse ; il la méritera en subissant les examens nécessaires. Je lui ai montré un peu de théologie, de cette ancienne et bonne théologie

mémoire, l’intelligence ne manquent point, il y a de la réflexion. Sa vocation sera-t-elle durable ? est-elle sincère ? » – Sincère! répéta l’abbé Pirard d’un air étonné, et en regardant Julien ; mais déjà le regard de l’abbé était moins dénué de toute humanité ; sincère! répéta-t-il en baissant la voix et reprenant sa lecture : « Je vous demande pour Julien Sorel une bourse ; il la méritera en subissant les examens nécessaires. Je lui ai montré un peu de théologie, de cette ancienne et bonne théologie

l'intelligence ne manquent point, il y a de la réflexion. Sa vocation sera-t-elle durable ? est-elle sincère ? » -Sincère ! répéta l'abbé Pirard, d'un air étonné, et en regardant Julien ; mais déjà le regard de l'abbé était moins dénué de toute humanité ; sincère ! répéta-t-il en baissant la voix et reprenant sa lecture : « Je vous demande pour Julien Sorel une bourse ; il la méritera en subissant les examens nécessaires. Je lui ai montré un peu de théologie, de cette ancienne et bonne théologie

l’intelligence ne manquent point, il y a de la réflexion. Sa vocation sera-t-elle durable ? est-elle sincère ? » – Sincère ! répéta l’abbé Pirard d’un air 384 étonné, et en regardant Julien ; mais déjà le regard de l’abbé était moins dénué de toute humanité ; sincère ! répéta-t-il en baissant la voix et reprenant sa lecture : « Je vous demande pour Julien Sorel une bourse ; il la méritera en subissant les examens nécessaires. Je lui ai montré un peu de théologie, de cette ancienne et bonne théologie

responsa ) ou de questions difficiles ( quaestiones ), des traités … Le Digeste de Justinien ( 534 ) est une immense compilation de la doctrine romaine. Au Moyen âge, les auteurs ont publié des gloses ( explications ), des sommes ( résumés ) et des commentaires de grandes œuvres comme le code de Justinien, des recueils de questions. Aux Temps modernes, le genre des traités a été illustré par Domat ( 1625-1696 ) et par Pothier ( 1699-1772 ). Aux XIXème et XXème siècles, le rôle de la

construction : ceux qui voulaient habiter les cieux, ceux qui voulaient adorer des idoles. En même temps, ils étaient unis dans leurs efforts (« La terre entière se servait de la même langue et des mêmes mots ») et la puissance 53 la tente d’une humanité unie fut une insulte à Dieu : « Eh, dit le Seigneur, ils ne sont tous qu’un peuple et qu’une langue et c’est là leur première œuvre ! Maintenant, rien de ce qu’ils projetteront de faire ne leur sera inaccessible ! » Ces paroles sont un écho conscient

eussent le droit de s'amuser ou de tuer le temps. Une odeur indéfinissable, faite d'un mélange de vernis, de ripolin et de la mauvaise graisse dont les Italiennes enduisaient leurs longs cheveux plats, lui montait à la tête. Le spectacle de cette humanité triste et vagabonde, cahotée sur iss mers, à la recherche d'un bonheur refusé dans le pays d'origine la bouleversait. Mais au moins, ces gens étaient bien portants : même les plus malades n'avaient pas la lèpre. Elle était la seule lépreuse de l'

comme le monde. Il prend probablement ses sources dans le chamanisme, berceau de toutes les alchimies et de toutes les médecines. L’hypnose avait aussi été pratiquée – certes sous d’autres appellations – dans les « temples du sommeil » de l’Égypte et de la Grèce antique, comme par les druides romains plus tard. Aujourd’hui encore elle se perpétue dans les médecines traditionnelles de maintes cultures : Chine, Inde, Tibet, Afrique, Amérique latine, etc. (Rossi, 1997). Mais au temps de Mesmer et du