Résumé La Religieuse Diderot

d’étude) ; - l’identification de procédés d’écriture (grammaticaux, stylistiques) - le relevé d’éléments précis du texte (mots, segments de phrases, phrases courtes) ; - l’analyse des effets de sens produits. • Une transition sépare les parties : elle résume ce qui vient d’être démontré et ouvre les perspectives vers l’axe suivant (cela peut se faire sous la forme d’une question). • Il est essentiel : - de ne pas se contenter de juxtaposer des remarques ponctuelles et discontinues. Il faut au contraire

à l'acte ? Thèse : Le déterminisme humain de certains philosophes, comme Julien Offray de La Mettrie et Denis Diderot, qui considèrent que puisque l'Homme n'est pas libre de ses actions (qui lui sont dictées par son environnement, sa constitution physique ou encore ses sensations), le seul aspect qui prévaut dans la peine capitale est la protection de la société. À ce sujet, Diderot est plutôt clair : « Le malfaisant est un Homme qu'il faut détruire et non punir » .Aussi que, Thomas Hobbes considère

actuelle a pris ses distances, mais aussi se rattachant à l’évolutionnisme darwinien. Bien avant Darwin, les hommes ont eu le sentiment diffus de ce qui pouvait les rapprocher des grands singes anthropoïdes. Le cardinal de Polignac, au témoignage de Diderot, se serait exclamé en ces termes à la vue d’un orang-outang en cage : « Parle, et je te baptise. » Jean-Jacques Rousseau évoquait dans le Second Discours à propos d’une espèce de singes nouvellement découverte, qui par bien des traits se rapprochait

bonheur, à la connaissance et à la liberté. Le siècle des Lumières est un siècle de progrès dans beaucoup de domaines comme : · Les sciences et l’éducation : le savoir se diffuse notamment grâce à l’ Encyclopédie de Diderot et d’Alembert (1751-1772). De nombreuses inventions apparaissent aussi comme la machine à vapeur ou la montgolfière. · La religion : remise en question de l’église et de son autorité et apparition de la tolérance (ne plus convertir tout le

plus tard. En 1742, passionné de musique, Rousseau s'installe à Paris et présente son invention concernant une méthode de notation musicale. Mais cette méthode n'a pas eu de succès. Alors, il commence à fréquenter le milieu littéraire et rencontre Diderot, Condillac,Grimm, Voltaire. Il participe à de nombreux concours littéraires qu'il remporte ; ce qu'il le propulse dans le monde de la littéraire. Son oeuvre intitulé « Discours sur les sciences et les arts » lui ouvre les portes de la gloire. Le thème

philosophes comme Spinoza, Locke, Bayle et Newton, avant de se développer dans toute l'Europe, notamment en France, au XVIIIe siècle. Par extension, on a donné à cette période le nom de siècle des Lumières. Par leur engagement contre les oppressions religieuses et politiques, les membres de ce mouvement, qui se voyaient comme une élite avancée œuvrant pour un progrès du monde, combattant l’irrationnel, l’arbitraire, l’obscurantisme et la superstition des siècles passés, ont procédé au renouvellement du

de s’attaquer à l’obscurantisme et à l’intolérance religieuse (cf. Voltaire, L’Affaire Calas ). [2: On pense bien sûr aux humanistes de la Renaissance. C’est pourquoi le XVIIIe siècle est considéré comme un « second humanisme ». ] [3: Ces pages sont à lire avec soin : la compilation des savoirs de tout un siècle ; une entreprise critique triomphant malgré les attaques. ] 3) Toutefois, chez Diderot et Rousseau en particulier, la sensibilité

que sévèrement combattu par l’Église, pèse aussi peu à peu sur les esprits dans le sillage de Pierre Gassendi (1592-1655), matérialiste sensualiste qui ouvre des brèches encore timides à l’athéisme. En effet les considérations et les pratiques religieuses marquent aussi fortement le siècle avec la révocation de l’édit de Nantes par Louis XIV en 1685, qui met fin à la tolérance vis-à-vis des protestants, et le poids des Jésuites et des Jansénistes. En effet les Jésuites, en plus de leur influence

donc être responsable. Être mineur, c’est renoncer à sa qualité d’homme. (« Qu’est-ce que les lumières ? », 1784, Kant) - L’encyclopédie : Réunir toutes les connaissances dans un ouvrage. Projet (lancé par « Le Breton », une librairie) confié à Diderot et D’Alembert. On retrouve la soif de connaissance déjà présente au 16e siècle. Ce projet permet d’inviter le lecteur à la réflexion critique. Car plusieurs articles sont contestataires. La monarchie absolue, les inégalités et les injustices de

III. Les réflexions du poète         Changement de ton: on passe du vouvoiement au tutoiement. Le poète s'adresse directement à la femme. La réflexion fait suite à la description. Au vers 9 s'établit une rupture suivie d'interrogation. Le vers 9 résume symboliquement une rencontre avec la passante : le pète est illuminé "un éclair", puis désemparé "la nuit". Il y a donc un renversement.         La rencontre appartient au passé et la femme ne sera plus l'objet de contemplation que dans un futur