Résumé Les Contemplations

place marquante dans l’histoire des lettres françaises au XIXe siècle, dans des genres et des domaines d’une remarquable variété[1],[2]. Il est poète lyrique avec des recueils comme Odes et Ballades (1826), Les Feuilles d'automne (1831) ou Les Contemplations (1856), mais il est aussi poète engagé contre Napoléon III dans Les Châtiments (1853) ou encore poète épique avec La Légende des siècles (1859 et 1877). Il est également un romancier du peuple qui rencontre un grand succès populaire avec par

satisferaient pas. Il est donc souhaitable que cette phase de problématisation adopte la forme interrogative. Cela m’évitera de tomber dans plusieurs pièges : •répondre au sujet avant de l’avoir traité, et reformuler l’évidence avant d’en être certain •résumer ma pensée avant de l’avoir développée, ce qui m’empêchera de la prouver. Cette partie doit plonger le lecteur dans le doute et l'inciter à réfléchir. Après l’avoir lu, il doit être convaincu que cette question, évidente ou sans intérêt au début, remet

et unifiante. Au pragmatisme et à l’utilitarisme, elle rappelle que l’homme vit aussi par ses rêves. “Le rêve est une seconde vie” (Nerval). Vie sans doute plus profonde et plus révélatrice que la vie diurne. La poésie nous incite plus à la contemplation du monde qu’à son analyse, et à le vivre plus qu’à le connaître. Georges Perros a mélangé poésie et éthique en “poéthique”. Le lecteur est aussi amené à vivre cet état poétique. “La poésie doit être faite par tous et pour tous” (Lautréamont)

yeux se sont aussi rencontrés. » Puis Julie fixe son regard sur ses enfants : « Ses yeux se sont tout à fait fixés sur ses trois enfants » et Saint-Preux et Wolmar contemplent Julie contemplant ses enfants : « livrés nous-mêmes à cette double contemplation, nous nous laissions entraîner Wolmar et moi à nos rêveries ». Fanchon Regard, sans être citée, serait-elle l’œil qui observe cet ensemble ? Cependant dans ses notes rédigées à l’attention du graveur, Rousseau précise que pendant ce moment d’extase

c’est l’image des eaux claires, brillantes qui donne la vie aux images fugitives et faciles matérialisant le mal. Ce sont les images superficielles qui ne laissent pas à l’esprit imaginant le temps pour travailler la matière et qui après une contemplation profonde deviennent « un organe du monde, un aliment des phénomènes coulants, l’élément végétant, l’élément lustrant. »[2] Soulignons que l’imagination n’est pas, comme le souligne étymologie, une faculté permettant de créer les images de la réalité

manger, boire, dormir Possibilité d ‘user modérément des plaisirs naturels mais non nécessaires (nourriture raffinée) Mais fuir les plaisirs non naturels et non nécessaires (richesse, pouvoir, gloire, rang social…) Appel donc à une véritable ascèse Résumé de cette doctrine aux vers 18-19 : absence de dolor « douleur » pour le corps, corpore, de souci et de crainte cura […] metuque pour l’esprit, mens. Variation de l’idée de plaisir avec le jucundo sensu (« sentiment agréable » 19) final III L’invitation

Introduction | "Le temps m’échappe et fuit…", déplore Lamartine à la recherche de souvenirs au bord du lac du Bourget… Quel que soit son objet, la contemplation s’accompagne d’une réflexion sur le temps et induit des philosophies variées selon les expériences individuelles, selon les époques – Antiquité, classicisme, modernité – ou selon les civilisations. Ainsi, les Indiens d’Amérique du Nord conditionnent moins leur existence en fonction du temps qu’en fonction de l’espace, facteur existentiel

Résumé de la République de Platon : La République est le livre le plus célèbre et le plus influent de la philosophie de Platon. Mais en soi, la République n’existe pas, ni en théorie ni en pratique à son époque. Elle est donc inventée, construite par l’architecte Socrate. Mais le thème majeur de ce dialogue est celui de la justice ou : comment organiser la cité ? Le livre est organisé en 10 livres distincts, durant lesquels Platon présente les différents aspects de sa cité idéale, de la place

des hommes qui refusent le langage considèrent les mots comme des choses et non comme des signes. Pour le poète, le langage est une structure du monde extérieur, la phrase a une tonalité. "Qu'est-ce que la littérature ?" de Jean-Paul Sartre Résumé: Sujet : « Ce n'est jamais à l'objet peint, sculpté ou raconté que l'oeuvre se limite; de même qu'on ne perçoit les choses que sur fond du monde, de même les objets représentés par l'art paraissent sur le fond de l'univers.» Lorsque Magritte inscrit

deux dernières strophes évoquent un "Je", le poète, confronté à un "Tu" qui n'est plus anonyme ni universel, mais qui est la femme aimée et dont la contemplation remplace désormais tous les spectacles du monde évoqués précédemment : le poème se referme sur une sorte de "Carpe Diem", invitation à jouir de l'amour qu'elle lui procure car il est le résumé de tout ce qu'il peut rechercher. Le poète s'adresse, tout au long des vingt-quatre premiers vers, de façon indifférenciée, à un lecteur masculin ("Quitte