Rétorsion

indifférents à la nationalité des individus. Quand un Etat a signé une convention relative aux droits de l'Homme, il doit garantir ces droits à tous les individus placés sur son territoire. * Troisième hypothèse, c'est la problématique des mesures de rétorsion économiques. Un Etat peut interdire ou restreindre l'entrée sur son territoire d'étrangers ou de marchandises étrangères. Le problème est que l'Etat d'origine de ces personnes ou de ces marchandises peut faire la même chose de son côté. Pour éviter

principe interdit donc les mesures de contrainte militaire mais un Etat peut employer d’autres moyens à l’encontre d’un autre Etat. Ces mesures sont appelées des contre-mesures ou mesures de rétorsion. Ce sont des mesures de pression pour que l’Etat mette fin à son comportement. Exemples de mesures de rétorsion : rupture des relations diplomatiques, boycott de certains produits (importation), embargo commercial (exportation), gel des avoirs. Ce dernier exemple consiste à bloquer les investissements

principe interdit donc les mesures de contrainte militaire mais un Etat peut employer d’autres moyens à l’encontre d’un autre Etat. Ces mesures sont appelées des contre-mesures ou mesures de rétorsion. Ce sont des mesures de pression pour que l’Etat mette fin à son comportement. Exemples de mesures de rétorsion : rupture des relations diplomatiques, boycott de certains produits (importation), embargo commercial (exportation), gel des avoirs. Ce dernier exemple consiste à bloquer les investissements

polluantes). → Le marché n’est pas international. L’imposition de quotas aux firmes étrangères risque d’entraîner des mesures de rétorsion comme le montre l’exemple des crédits carbone européennes que devront acheter les compagnies aériennes à partir de 2013. La volonté de l’UE est contrée par la Chine et les Etats-Unis qui menacent de ne pas commander d’Airbus et de mesures de rétorsion si la taxe est appliquée à leurs compagnies. Les instruments de la politique climatique sont complémentaires. La taxe

économies 1. Les économies sont de nos jours interdépendantes Le protectionnisme n"est pas possible compte tenu de la non-substituabilité de certains produits. Le risque est celui du développement d'une spirale inflationniste. 2. Les risques de rétorsion De la part des principaux partenaires commerciaux limitent les effets attendus du protectionnisme (Difficultés à exporter certains produits). On peut prendre comme exemple toutes les formes plus ou moins avouée de protectionnisme contemporain

qualités physiques d’une nation, les champions en deviennent les ambassadeurs. Les rencontres sportives à forte charge politique nourrissent les polémiques sur l’autonomie du sport vis-à-vis de l’idéologie. Le moindre incident entraîne des mesures de rétorsion. En 1920 et 1924, l’Allemagne est interdite de JO. En 1936, les sanctions de la SDN à l’égard de l’Italie provoquent, sur ordre de Mussolini, la non-participation de l’équipe nationale italienne au Tour de France. Plus tard, les Américains boycottent

moitié des appareils est abattue. Les bombardiers britanniques ne sont simples pas adaptés. Qu'a cela ne tiennent, les raids se feront la nuit, et les aviateurs ne lâcheront pas des bombes mais des tractes afin de ne pas provoquer des mesures de rétorsion. La drôle de guerre. L’Europe s'installe dans ce que l'on appelle la drôle de guerre. Mais que l'on ne s'y trompe pas, la vraie guerre se poursuit mais sur la mer. En 1939, l’Allemagne hitlérienne est au milieu d'un ambitieux programme

démontrer l’éloignement de plus en plus important entre la nouvelle société afghane et les traditions ancestrales de ce peuple. En conséquence, il n’est nul besoin d’invoquer la tradition pour justifier ces nouvelles règles.  Le fait que ces mesures de rétorsion soient prises essentiellement à l’encontre des femmes démontre bien le retour de l’intégrisme religieux le plus virulent. Shoukria Haidar, de l’association Negar, pense que la priorité est l’élaboration d’une constitution en Afghanistan qui respectera

marché américain de plus en plus cyclique, avec des booms de croissance mais creux par la suite (première Guerre du Golfe), d’où un unilatéralisme américain en matière de commerce international (mesures d’arrière-garde, formes de bilatéralisme, rétorsions). Le renouveau des années 90 Les déboires américains sont à relativiser au regard de la puissance de l’économie américaine. Les 80s sont mises à profit pour mettre en place une nouvelle régulation économique. En 79, on passe d’une économie d’endettement

se heurte à l'opposition de Washington et de pays d'Amérique latine non membres des pays ACP. Le conflit de la banane conduit ainsi cinq pays d'Amérique latine à porter plainte contre l'UE devant l'OMC, tandis que Washington menace Bruxelles de rétorsions commerciales unilatérales. Soixante pour cent du marché de la banane est en effet dominé par trois multinationales américaines (Chiquita, Dole et Del Monte). L'Organe de règlement des différends de l'OMC condamne en 1997 l'Organisation commune du