Révolution Copernicienne De Kant

doctrines philosophiques (Par ex Platon, Descartes et Hegel), les moments relativistes (Héraclite d’Ephèse, les sophistes, Nietzsche et la philosophie post moderne) et les tentatives de trouver un entre deux (la position critique, le criticisme d’Emmanuel Kant, kantien, la rationalité critique chez Marx…) Le dogmatisme: il pose à priori un postulat, une hypothèse, une affirmation non fondée, un « dogme » comme si c’était la vérité. Cette pseudo évidence posée à priori s’institue en critère unique et absolu

profond qui perce la croûte des automatismes. Le « moi d’en bas » dont il est question dans le texte, désigne la personnalité profonde et réelle. Bergson montre ensuite que l’acte libre est sans raison ni explication. Chapitre 5 : Emmanuel Kant Emmanuel Kant Les grandes questions fondamentales de la philosophie : 1) Que puis-je savoir ?  métaphysique  « Puis-je connaitre » = sa 1e critique  réponse limitative  l’homme ne peut pas tout connaitre, il ne peut connaitre que

très hiérarchisée. A la veille de la Révolution, la France est de loin le pays le plus peuplé d'Europe; elle a gagné 6 à 7 millions d'habitants au cours du siècle et atteint 26 millions vers I789. Les grands fléaux traditionnels ont épargné la France: plus de peste, les guerres se sont déroulées à l'étranger, la famine disparaît, les Français ne meurent plus de faim. Les conditions de vie semblent s'améliorer, la mortalité recule. A la veille de la Révolution les Français sont jeunes: 36 % ont moins

Emmanuel Kant Aller à : Navigation[->0], rechercher[->1] 20px-Disambig_colour.svg.png [->2] Pour les articles homonymes, voir Kant (homonymie)[->3]. Emmanuel Kant Philosophe occidental[->4] Époque moderne[->5] 220px-Immanuel_Kant_(painted_portrait).jpg [->6] Emmanuel Kant Données clés Naissance|22[->7] avril[->8] 1724[->9] à Königsberg[->10] 20px-Flag_of_Prussia_(1701).gif [->11] Royaume de Prusse[->12]| Décès|12[->13] février[->14] 1804[->15] (à 79 ans) à Königsberg[->16] 20px-Flag_of_Prussia_(1803)

Donc, pour la première fois, encore que d’une manière obscure et non réfléchie, nous rencontrons en ce moment la préparation d’un thème métaphysique, c’est celui du primat de l’esprit connaissant. C’est déjà le commencement de la fameuse révolution copernicienne de Kant, c’est déjà l’idée que, l’esprit étant un, s’il a trouvé la certitude dans un domaine, il pourra, en étendant sa méthode à tous les domaines, trouver la même certitude, car l’esprit étant un, sa connaissance est toujours de même nature

scepticisme. Pourtant, dès l'Antiquité, une solution intermédiaire qu'on appelle le probabilisme, a été proposée par Carnéade. Le débat de la connaissance est encore entre le dogmatisme, le scepticisme et le probabilisme. Sous l'influence de la critique de Kant (qui d'ailleurs a dit avoir été réveillé de son « sommeil dogmatique » par David Hume) et du positivisme, bien des penseurs contestent effectivement la valeur absolue des métaphysiques « rationnelles », mais croient possible de réaliser une approximation

pas capter c'est-à-dire il a toujours existé, rattaché à un sujet. Philosopher n’est pas quelque chose qu’on ne décide pas plus qu’il y a un commencement à philosopher. On philosophe. Il y a un « je » qui philosophe, qui ne décide pas de philosopher. Kant « on n’apprend pas à philosopher, on philosophe », « on apprend à philosopher en philosophant ». il n’y a pas de méthode, de discours sur la philosophie. On ne peut pas apprendre à apprendre la philosophie (il n’y a pas d’école de la philosophie)

La nature ne fait rien en vain.(Métaphysique) Aristote pense que tout a un sens dans la nature, qu'on n'y trouve rien d'inutile. Cette phrase va être considérée comme une évidence pendant plus de deux millénaires. On la retrouve, par exemple, chez Kant. L'art est imitation de la nature. Aristote pense que l'imitation est une tendance naturelle chez l'homme et qu'elle donne du plaisir. Ceci dit l'imitation n'est pas pour Aristote une pure copie mais une création car elle transpose la réalité en

d’étudier Dieu n’est pas en train de trahir la promesse d’une science universelle? Le discours n’a pas basculer d’une science universel vers une science ultra-particulariste. En effet, Aristote a alors un coup de génie qui marque la philosophie jusqu’à Kant: il ne trahit pas a promesse parce que il fait une philosophie première qui touche un être éminent et cette philosophie est universel parce que première. Le tournant philosophie se produit dans ces termes = au lieu que je connaisse la généralité des

matérialistes de son temps lui ont reproché à l’image d’un Hobbes par exemple. Cependant, c’est indiscutablement Kant qui a apporté la critique la plus intéressante du cogito cartésien en insistant sur le saut logique qui consiste à passer de la pensée à l’existence. Pour Kant, Descartes a bien prouvé l’existence d’une pensée, mais pas celle d’un support de cette pensée qu’on appelle « je ». Implicitement Kant a déjà annoncé la critique freudienne du cogito, Freud subsituant le ça pense au je pense. 3)