Réécriture Grand Meaulnes

Résumé Le roman retrace l'aventure d'Augustin Meaulnes, racontée par son ancien camarade de classe, François Seurel, devenu son ami. Première partie Augustin Meaulnes arrive, par « un froid dimanche de novembre », comme pensionnaire au Cours supérieur de Sainte-Agathe. Il est logé dans la même mansarde que François, le fils de l'instituteur. Son âge et sa personnalité le font vite surnommer « le grand Meaulnes » par les autres écoliers. Lors d'une escapade, « huit jours avant Noël », Augustin

Le Grand Meaulnes aujourd’hui. Robert Giannoni Le premier novembre 1913, la Librairie Emile Emile-Paul édite en volume Le Grand Meaulnes qui avait déjà paru en cinq livraisons dans la Nouvelle Revue française. Son auteur, âgé de vingt vingt-sept ans, n’est pas un inconnu dans les cercles littéraires parisiens Il a déjà signé sous le demi-pseudonyme d’Alain parisiens. pseudonyme d’AlainFournier quelques essais prometteurs dans la Grande Revue et dans L’Occident et a tenu pendant deux ans « Le

Alain-Fournier Le grand Meaulnes (1913) Apparition du personnage d'Augustin Meaulnes. Alain-Fournier (1886-1914) Auteur de ce seul roman, il n'a vécu que 28 ans car tombé au front en 1914. Il a fait des études de lettre à Paris et s'est également interressé à la peinture et à la musique. En 1905, il rencontre brièvement une femme dont il tombe amoureux et qui lui inpirera le personnage d'Yvonne de Galais dans son roman. Il a aussi écrit des poèmes. Son roman est à la NRF (Nouvelle

PREMIERE PARTIE L’auteur de ce livre est Alain-Fournier. Le Grand Meaulnes, édité par Hachette dans la collection Bibliocollège. Ce livre a été publié pour la première fois en 1913. Le roman se divise en trois parties avec un total de 45 chapitres (17 dans la première partie, 11 dans la deuxième et 16 dans la troisième). Ce livre comporte aussi un épilogue. Alain Fournier est né le 3 octobre 1886 dans la ville de La Chapelle-d’Anguillon et mort le 22 septembre 1914 dans la Meuse. Bibliographie :

Alain-Fournier Le Grand Meaulnes (1913) LGF, 2008 Un nouveau, Augustin Meaulnes, accompagné de sa mère, arrive un jour d’automne pour devenir pensionnaire chez la mère du narrateur, François Seurel. 5 10 15 20 25 Nous étions debout tous les trois, le cœur battant, lorsque la porte des greniers qui donnait sur l’escalier de la cuisine s’ouvrit ; quelqu’un descendit les marches, traversa la cuisine, et se présenta dans l’entrée obscure de la salle à manger. « C’est toi, Augustin

Questions / REECRITURE / DICTEE. Un nouveau, Augustin Meaulnes, accompagné de sa mère, arrive un jour d’automne pour devenir pensionnaire chez la mère du narrateur, François Seurel. Nous étions debout tous les trois, le cœur battant, lorsque la porte des greniers qui donnait sur l’escalier de la cuisine s’ouvrit ; quelqu’un descendit les marches, traversa la cuisine, et se présenta dans l’entrée obscure de la salle à manger. «  C’est toi, Augustin ? » dit la dame. C’était un grand garçon de dix-sept

blanc. Une eau courait, fraîche et creuse, Sur les mousses de velours ; Et la nature amoureuse Dormait dans les grands bois sourds. 10 15 20 25 © Hatier 2007 utres thèmes Repérage Rose défit sa chaussure, Et mit, d’un air ingénu2, Son petit pied dans l’eau pure ; Je ne vis pas son pied nu. Éducationblancs Brevets civique Autres genres La France Les grandes puissances Poésie Je ne songeais1pas à Rose ; Rose au bois vint avec moi ; Nous parlions de quelque chose, Mais

Question 4 : les trois passages qui nous livrent une description physique d’Augustin Meaulnes sont : * C’est un grand garçon de dix sept ans environ…. Ligne 13 à 15…. Jusqu’à les écoliers. * Ligne 20 : «  je regardais , en marchant, sa face anguleuse au nez droit, à la lèvre duvetée » * Ligne 27 : « je vis qu’il avait les cheveux complètement ras comme un paysan » Question 6 : ,la relation qui unit les deux garçons semble être une relation d’amitié puisqu’à la ligne 15 , on

Rose, droite sur ses hanches, Leva son beau bras tremblant Pour prendre une mûre aux branches ; Je ne vis pas son bras blanc. Une eau courait, fraîche et creuse, Sur les mousses de velours ; Et la nature amoureuse Dormait dans les grands bois sourds. Rose défit sa chaussure, Et mit, d’un air ingénu2, Son petit pied dans l’eau pure ; Je ne vis pas son pied nu. 5 10 15 20 25 4373_FR_BR_Corr Page165Mardi,31.juillet20074:5316 > SICOGIF Hatier © Hatier 2007 POÉSI

Dissertation. Les différents types de réécriture existent depuis que l’homme sait écrire. Réécrire signifie écrie une nouvelle fois un texte en le modifiant ou non. Son opposé, l’innovation, exprime le fait d’introduire quelque chose de nouveau dans un système établi. Nous pouvons nous demander si la réécriture qui est une copie presque parfaite ne peut pas mener à la nouveauté et à l’innovation. Ainsi, Michel Tournier a dit lors d’une interview : «  Je suis comme la pie voleuse. Je ramasse