Rôle Du Chancelier Allemand

opportuniste et un cynique. 3. Une autre approche, plus culturelle, a tenté de mettre en relation ses écrits (notamment littéraires) avec son action politique (avec une tendance exagérée à le voir comme « exotique » : cf. l’influence des philosophes allemands, du romantisme, du judaïsme…en fait, il est très représentatif des élites de sa génération). - Les biographies importantes : William Blake, Disraeli, Londres, Eyre & Spottiswoode, 1966 [portrait réaliste et pragmatique mais très critique] Paul

de rompre avec la politique européenne de John Major, qu'il n'hésitait pas à accuser d'avoir en quelque sorte marginalisé le Royaume-Uni au sein de l'Union européenne et d'avoir renoncé, sous la pression des eurosceptiques de son parti, à jouer un rôle actif dans la construction européenne. Aujourd'hui, le gouvernement doit faire face à plusieurs enjeux européens qui s'intègrent dans les responsabilités communautaires et les échéances électorales qui vont rythmer l'agenda du Premier ministre

« Indic » infiltre ce groupe, Adolf Hitler. Il raconte dans son livre que rapidement les idées énoncées le séduisent. Il y adhère en septembre 1920 et en devient l’un des principaux orateurs. Il renomme le parti qui devient le National-Socialisme allemand des travailleurs (NSDAP). Il lui invente son symbole, l’emblème du nazisme : svatiska lire (croix gammée). Il amène aussi de nouveaux membres et le parti développe un programme anticapitaliste, antidémocratique et nationaliste. Il est aussi beaucoup

particulièrement ressentir en Allemagne, en Russie et en Italie sur le plan politique et économique. Le traité de Versailles, considérant l’Allemagne comme seule responsable de la guerre, l’humilie. Hitler rompt avec ce traité qui ridiculise et épuise le peuple allemand et propose l’idéologie nazie. En Russie, la guerre a montré les faiblesses du régime tsariste qui est renversé par une révolution bolchévique. Leur victoire permet d’instaurer une dictature collectiviste qui se veut le modèle des révolutions dans

printemps 1940, la France est victime du Blitzkrieg allemand et capitule trois semaines après le début de l’invasion Nazi. Malgré les profondes inquiétudes des hauts commandants allemands, leur offensive contre la France aura été sans faille[1]. La France aura en effet été grandement surprise par une attaque de cette ampleur. Sans doute l’excès de confiance exacerbé par Daladier n’aura pas permis aux Français de mesurer rationnellement la menace allemande[2]. La question de la défaite française est complexe

réfugiés dans le Caucase. b) Verdun est un exemple de violence de masse. La bataille de Verdun se situe sur le front de l’Ouest entre février et décembre 1916, opposant les armées française et allemande. Elle a fait plus de 300 000 morts. Cette bataille est d’abord marquée par des offensives allemandes qui fixent un front en juillet à 3km de Verdun, puis des contre-offensives françaises qui repoussent en partie le front jusqu’en décembre. Les soldats sont enterrés dans des tranchées (fossé creusé

Assemblée élue par le peuple. Doc 2 p.56 → Rappel La différence entre la droite et la gauche : - A droite, c’est lorsque l’on désire l’ordre, l'autorité et le respect de la propriété. - A gauche, c’est lorsque l’on désire l’égalité et le progrès avec un rôle très important de l'État. Doc 3 p.57 (photo) → En février 1934, ils organisent un rassemblement qui déborde à Paris, faisant 15 morts. Les partis de gauche trouvent que cela menace la République, alors ils décident de former une alliance pour contrer

l'Autriche-Hongrie occupent le coeur du continent. Ils seront l'âme du conflit à venir. Première constatation : à la fin du XIXe siècle, la carte politique de l'Europe apparaît plus homogène que jamais. Les myriades de petits États italiens et allemands ont disparu et à leur place sont apparus quelques nouveaux États issus de la décomposition de l'empire turc : Serbie, Roumanie, Bulgarie, Grèce, Albanie, Monténégro. L'Europe centrale est dominée par trois États majeurs : 1) le royaume d'Italie

Blancs ; massacres des tsaristes (par bolchevistes). 1921 : Rouges gagnent la guerre. Italie : Mussolini nommé chef du gouvernement en 1922 de manière légale. Allemagne : « Putsch de la Brasserie » en 1923 -> échec.Le 30 janvier 1933 Hitler devient chancelier de manière légale. 3) Mise en place des régimes totalitaires Russie/ URSS (1922) : Staline élimine l'opposition (riches, paysans aisés contre la collectivisation des terres et rivaux au parti communiste : Trotski). Aveux forcés + exécution

européennes et notamment l’Autriche, ainsi que l’expression révolutionnaire du sentiment national au printemps 1848, qui, s’il est un échec commun aux italiens et aux allemands, est le point de départ de leur unification respective. Enfin, l’émergence de grands dirigeants nationaux, Bismarck et Cavour, érigés en véritables héros de l’unité allemande ou italienne, est un autre trait commun de ces deux unifications. L’existence d’un parallélisme entre les deux pays semble donc indéniable à première vue. Mais