Sa Conversation était Plate Comme Un Trottoir De Rue

mort en 1880. Il a marqué la litterature française par la profondeur de ses analyses psychologiques, son souci de réalisme, son regard lucide sur les comportements des individus et de la société, et par la force de son style dans de grands romans comme Madame Bovary. Le passage du roman que nous allons étudié est un extrait du chapitre 7 de la première partie. Madame Bovary provoque le scandale et l’incompréhension à tel point que le livre fait l’objet d’un procès public. Le roman peint le désenchantement

vie, la lune de miel comme on disait. » Charles s'émerveille de trouver en Emma une épouse accomplie, sachant aussi bien dessiner, joué du piano, recevoir avec élégance… (l.50) « Elle dessinait quelquefois ; et c’était pour Charles un grand amusement que de rester là … » ­­Mais il est, pour son compte, totalement dépourvu de mystère et de raffinement, et la jeune femme que l'ennui menace doit se heurter (l.33) « La conversation était plate comme un trottoir de rue… » . La jeune femme

Lefrançois, les termes prétentieux dont Homais émaille sa conversation, les platitudes de Charles, le romantisme de pacotille utilisé par Rodolphe, l'application des termes de la passion humaine à l'amour divin quand Emma a des sursauts religieux. Intervenaient les figures de mots, en particulier des comparaisons et des métaphores qui ne sont pas de simples ornements mais constituent des outils de description : - des toits sont « comme des bonnets de chaume rabattus sur des yeux ». - après le

ce calme bien assis » (l.25) et elle le décrit d'ennuyant : « la conversation de Charles était plate comme un trottoir de rue » (l.19), « il n'avait jamais été curieux » (l.20), « il n'enseignait rien » (l.24). Le mariage est donc une désillusion soudaine pour Emma Bovary, qui s'attendait à une toute autre vie. En second lieu, le narrateur nous propose un portrait plutôt péjoratif. Tout d'abord, le narrateur nous la décrit comme étant jeune, remplie de rêves « on regarde les étoiles en faisant

est l'un des plus grands romanciers français du XIXème siècle. Il est connu pour ses romans réalistes (comme Madame Bovary, publié en 1857), pour son analyse lucide et pénétrante des rapports entre les hommes et les femmes et surtout pour la force de son style, reconnaissable entre tous, ainsi que pour son ironie discrète mais féroce. Il provient d'un milieu bourgeois plutôt à l'aise ; son père était chirurgienchef à l'hôpital de Rouen. Son enfance, en Normandie, fut peu heureuse ; il grandit en effet

et nous nous demandons donc quelle visions de l’amour il nous présente réellement. Lorsque Emma se marie a Charles Bovary, nous pouvons observer la relation entre ces deux personnages. Emma fini par s’ennuyer. « La conversation de Charles était plate comme un trottoir de rue. » Déjà, elle est déçu du mariage le soir de sa nuit de noces, elle « ne montre rien », se qui sous-entend que ce n’était pas le point de l’extase. Dans le chapitre cinq, « le bonheur qui aurait du se résulter de cet amour

est utilisé, nous sommes amenés à connaître les sentiments et les pensées du personnage, c’est le cas des trois textes qui composent ce corpus. Dans « Le rouge et le noir » le point de vue interne nous permet de connaitre les sentiments de Julien, comme l’admiration que ressent celui-ci face au paysage, ligne 1 « il fut presque sensible un moment à la beauté ravissante des bois au milieu desquels il marchait ». C’est aussi le cas pour Balzac qui, grâce au point de vue interne nous présente les tourments

Relevé exhaustif des passages traitant du thème : Recherche lexicale pour le mot « rêves » : « Mais le cercle dont il était le centre peu à peu s'élargit autour de lui, et cette auréole qu'il avait, s'écartant de sa figure, s'étala plus au loin, pour illuminer d'autres rêves. » ← Partie 1, chapitre 9 ← après le séjour au château de Vaubyessard, Emma rêve du Vicomte (« lui »), et d'une autre vie. « Elle s'irritait d'un plat mal servi ou d'une porte entrebâillée, gémissait du velours qu'elle n'avait

| Notations | Dans l'S, à une heure d'affluence. Un type dans les vingt-six ans, chapeau mou avec cordon remplaçant le ruban, cou trop long comme si on lui avait tiré dessus. Les gens descendent. Le type en question s'irrite contre un voisin. Il lui reproche de le bousculer chaque fois qu'il passe quelqu'un. Ton pleurnichard qui se veut méchant. Comme il voit une place libre, se précipite dessus.Deux heures plus tard, je le rencontre cour de Rome, devant la gare Saint- Lazare. Il est avec un camarade

politiques considérables. Elle prend comme exemple Jeanne d’arc , Mme Roland et chez la catégorie masculine Danton , Lénine… Elle conclut que la femme a était rendu inférieur par l’homme masculin. Elle reprend même une célèbre phrase de Jefferson pour défendre les femmes et montrer qu’elles sont opprimés (l5) « Laissez nous exister avant de nous demander de justifier notre existence » Elle dit qu’il faut laisser a la femme sa chance. Aristophane lui aussi tout comme Simone de Beauvoir défend les femmes