Sablier

fleurs du sable de sa propre chair, Narcisse s’anéantit dans le vertige cosmique Au plus profond duquel chante La sirène froide et dionysiaque de sa propre image. Le corps de Narcisse se vide et se perd Dans l’abîme de son reflet, Comme le sablier que l’on ne retournera pas. Narcisse, tu perds ton corps, Emporté et confondu par le reflet millénaire de ta disparition, Ton corps frappé de mort Descend vers le précipice des topazes aux épaves jaunes de l’amour, Ton corps blanc, englouti

tout aussi évident. II] Mais la moyennisation semble aujourd’hui remise en cause par une tendance à la polarisation. A) Une classe moyenne qui stagne et qui « s’éclate » - Doc 1 : essoufflement numérique et tendance à la polarisation (société en sablier) - Des différences de situations (économiques et sociales) très marquées au sein même de ce groupe qui remet en cause la logique de classe sociale : situation face à l’emploi, face à la réussite scolaire… B) Des inégalités persistantes en dépit de

contraire les épargnants des catégories favorisées, au détriment des emprunteurs. Loin de se réduire, les inégalités sociales ont tendance à s'accentuer depuis vingt ans. En effet, avec l'augmentation des inégalités, on voit apparaitre une société en sablier. Il y a deux explications à cela : le développement d'un chômage de masse d'une part du aux emplois atypiques ( précaires et sous-emplois) mais aussi au temps partiel subit, qui a touché (et touche) particulièrement la classe défavorisée, réduisant

scènes familiales et sociales, puis Hugo dresse le portrait de sa fille. Il nous décrit ainsi la relation privilégiée qu’il entretenait avec elle. Tout d'abord, on remarque qu'il n'y a pas de strophes car V. Hugo laisse couler ses phrases comme un sablier laisse couler le temps. Il utilise des alexandrins pour adapter cette notion de régularité et de continuité. Malgré le fait que le poème ne soit pas divisé en strophes, on peut lier les 26 alexandrins 2 à 2 par des rimes plates dont la qualité varie

Korzybski). Mais les cendres du feu des mots qu'on n'a pas dits Jamais ne sont vraiment éteintes ou refroidies Elles se consument encore au cœur de nos mémoires En réchauffant nos nuits d'une lueur d'espoir Comme du temps qui dort Au fond du sablier Mais que l'on garde encore Pour ne pas l'oublier (Yves Duteil) Le mot que tu retiens entre tes lèvres est ton esclave. Celui que tu prononces est ton maître (Proverbe arabe). La parole porte en elle tous les mots qu'elle ne dit pas. (Daniel

[un] enfant avide du spectacle » (v. 9). On note une gradation par rapport au « désir » déjà exprimé (v. 4), puisque l’adjectif « avide » souligne en effet la vivacité de l’impatience, implicitement annoncée dès l’allégorie du vers 6 avec le « fatal sablier » qui exacerbe la « torture » de l’attente (v. 7). Cette idée d’impatience est par ailleurs redoublée par la répétition du verbe « haïr » (« Haïssant »,« hait », v. 10) au moment ultime de la révélation espérée. Le rideau empêche en effet l’enfant

s’effaçaient et n’étaient plus qu’un rêve » : effet d’estompement => Référence au genre pictural de la vanité = tableau caractéristique de la peinture baroque qui représentait le caractère éphémère de la vie humaine par des objets tels que le sablier, le crane, les fleurs fanées, …3. Suite du jeu de regard : le pts de vue de la chienne (strophe 9)Nouveau perso féminin- « une chienne » (v33) possiblement double de l’animal décomposé et double de la femme ?- humour de cette strophe ? Car évocation

lunaison = 29.53 jours. L’heure : l’homme utilisé d’abord la position du Soleil dans le ciel = heure solaire locale grâce à la direction de l’ombre sur un cadrant solaire. Mais pr la nuit ou les jours sans soleil : utilisation de clepsydres, puis de sablier. Enfin construction des premières horloges sans lien ac les phénomènes astronomiques. 1 jour = 24h. Phénomènes périodiques : -le pendule : ptes oscillations périodiques découvertes par Galilée vers 1602. La valeur de la masse au bout du fil

lumière de l’aube sortant fière et naturellement belle de la nuit porte les valeurs d’espérance et nous apportent les thèmes lucide de la course du soleil, de nos jours et de nos vies qui passent et parfois nous échappent comme le sable contenu dans le sablier. Cette lumière que nous percevons car il est bien dit l’éclat de lumière, est celle de l’éternité, celle primordiale de cet absolu qui vivra sans nous et dans toute l’éternité. J’y vois l'empreinte des larmes chargées de lumière et donc de promesses

temps, d'une façon détachée de sa qualité réelle de liant. Bergson dit que cette façon de penser le temps constitue une « médiation qui limite notre faculté de penser ». Prenons pour exemple nos objets servant à mesurer le temps (montre, balancier, sablier). Ils nous invitent à penser que le temps s'égrène au lieu de couler, qu'il est une addition perpétuelle dans un espace donné. Ce qui a pour effet de valoriser encore la quantité (de temps) au profit de la qualité (du temps) mais aussi de donner au