Sacraliser La Vérité

celui est qu'il est". Gravure des lois sur pierres : les tables de la loi. Dieu guide Moïse en permanence avec un aide constante. Ensuite vient le temps des Juges puis celui des rois. Dieu fait connaitre aux prêtre celui qui deviendra roi et le fait sacralisé pour le changer en un autre homme : David puis Salomon. Début de la royauté sacrée. Histoire emblématique : Groupe d'homme unis par un ancêtre unique commun et un Dieu. Cette histoire fait constamment intervenir un être transcendant que les hommes

Pouvoir suprême - Pouvoir un et indivisible - Pouvoir absolu Ordonnance : expression de la volonté du souverain, commandement, qui vise à organiser la société. La Révolution va sacraliser la Loi = Religion = Arche sainte. La loi est sacrée et représente la vérité ; les législateurs révèlent la vérité. §1 – La majesté de la Loi A) La loi, acte de commandement Le législateur ordonne, commande ou interdit. Hobbes : la loi contraint, limite la Liberté. C’est un ordre, non un conseil

mais aussi une mise en mouvement, ce qui la rend « initiatique »2. Je n’ai pas de dogme à défendre. J’ai simplement vécu, grâce à la Franc-maçonnerie, une démarche féconde et qui, me semble-t-il, m’a rendu plus libre. Je ne la partage ni comme une vérité, ni comme allant de soi pour tout le monde, mais comme un chemin possible pour réenchanter le monde et travailler à quelques questions indécidables, dont les fameuses questions du sens, des sens et de l’essence de notre vie. Il faut prendre ces questions

donc moralisée et socialisé. En écoutant la voie de la raison. De son côté le législateur qui ne fait que des lois de Raison bien sur le législateur prendra des lois conforme à la raison. L’individu est en apparence contraint par la loi. La loi en vérité ne s’impose pas de l’extérieur mais la loi rappelle un impératif moral que les individus connaissent par définition. Le droit traduit les principes moraux. La loi ne fait que déclarer des règles qui préexistent. Précisément la raison peut conduire

jamais exprimé son opinion) Avec F. le romancier disparaît de son oeuvre, mais pour être partout (cfr: Mme Bovary). L’exigence de soigner le style et, en même temps, d’analyser le réel sont en contraste, à l’apparence: il veut ramener le roman à la vérité de la vie & lui conférer la dignité d’une œuvre belle; il veut entrer dans la médiocrité de l’existence & se soucier de la beauté. La relativité des points de vue L’immatérialité de l’écriture : le moins de matière Les singularités de son style -

prisons, dont la maison d'arrêt de Fresnes. Il y écrit ses premiers poèmes et ses quelques ébauches de roman, sans cesse reprises, refondues, rejetées. Genet est un perfectionniste, un éternel insatisfait, un obsédé de la beauté du mot. Lui qui sacralise le geste, la signification de l'acte, n'admet la viabilité du verbe que lorsque il est beau, puissant, racé. Ses premiers romans paraissent. Censurés, car jugés pornographiques, ils se distribuent sous le manteau. Le Journal du voleur décrit ses

loi appelé ordonnance, ʺordreʺ = la loi est un commandement du souverain, ʺordonnerʺ = la loi vise à organiser la vie en société, à imposer des normes de conduite aux individus, elle vise à constitué, changé l'ordre despotique. La révolution va sacraliser la loi et la déclaration de 1795 est significative, dans le chapitre des devoirs il est dit que le bon citoyen est soumis à la loi, ce qui est important est qu'il doit être religieusement un observateur de la loi. Elle n'est pas sacrée car elle

fuir, attaquant au passage leurs voisins, ce qui ajoute à la confusion. La carte ethnique de la région est bouleversée (ce processus est nommé Mfecane, « mouvement tumultueux de populations). La tradition tend à rendre Chaka coupable du Mfecane. En vérité, ce mouvement de migration avait déjà commencé avant sa prise de pouvoir, avec, entre autres, les combats entre Zwide et Matiwane. Trois des généraux de Chaka le quittent pour conquérir l’Afrique australe en appliquant ses méthodes brutales : Moselekatse

presque plus. Sa plume doit le nourrir. Souvent, il vend sa liberté littéraire en se faisant journaliste. C'est pourtant à ce moment-là que le poète paraît incarner, relayant la religion, une nouvelle instance sacrée. L'écrivain est donc à la fois sacralisé et maudit. L'alternative pour les écrivains est simple : ou ils s'adaptent à la société bourgeoise et adoptent ses codes, ou ils décident de se constituer en marge de cette société Le "Mal du siècle" se traduit par un ennui inquiet provoqué par

les discours politiques antagonistes) dans un même culte des morts. L’amalgame apparaît à travers les croix, parfois chrétiennes, ou le plus souvent sous la forme consensuelle de la croix de guerre. L’espace autour du monument, parfois clos, était sacralisé : seuls les anciens combattants le foulaient pendant les cérémonies. Enfin, au nécrologe prononcé au cours des cérémonies religieuses répondait le nécrologe républicain du 11 novembre (la litanie des « enfants morts pour la France »). Un troisième