Sacrement de mariage

etc... Dom Juan se voit comme le grand conquérant Alexandre le Grand qui lui a conquit des terre. II- Dom Juan, libertin Dans sa tirade, Dom Juan remet en cause le mariage. Au XVII siècle le mariage était un sacrement de l'Église qu'il ne faut surtout pas défaire. Pouvoir multiplier les mariages, c'est aller contre ce sacrement. «La fidélité est bonne que pour les ridicules», en disant cela Dom Juan joue les esprits forts. Il voue un culte à la beauté physique. Le regard compte beaucoup pour lui

seul chef est le Christ. »Les sacrements : signes visibles de la grâce de Dieu institués par le Christ. Cette définition empruntée à saint Augustin conduit Luther à ne retenir comme sacrements que le baptême et l'eucharistie (mais non la pénitence, la confirmation, le mariage, l'ordination et l'extrême-onction) et à comprendre le sacrement comme promesse de grâce reçue par la foi (et non plus comme un acte opérant par lui-même le salut).Une telle compréhension du sacrement bouleverse la doctrine et la

l’Église manifeste-t-elle sa présence dans le monde médiéval ? Le clergé séculier Les clercs qui le composent vivent « dans le siècle », c’est-à-dire au milieu des fidèles. Leur mission est de transmettre la foi, de célébrer la messe et les sacrements[1]. Parmi eux, les plus nombreux sont les prêtres, appelés curés quand ils ont la charge d’une paroisse[2]. Les évêques, qui ont autorité sur eux, dirigent les diocèses[3]. Certains évêques choisis par le pape deviennent cardinaux. Surnommés princes

importants : attaques, incendies, mariages… L’Eglise organise aussi la vie terrestre des hommes. Les sacrements, des rites qui rapprochent les croyants de Dieu sont indispensables à chaque moment de la vie. Dés la naissance le baptême marque l’entrée dans la vie chrétienne. La mortalité infantile étant très forte il fallait baptiser le nouveau né au plus vite pour garantir son entrée au paradis. La confirmation intervient à l’adolescence, le mariage est un sacrement qui lie un homme et une femme pour

l’écriture…) Laïcs : ceux qui n’appartiennent pas au clergé. Clergé divisé en 2 ordres : - Séculier (dans le siècle) : Leur rôles transmettre la foi, célébrer la messe, célébrer les différents sacrements. Les + nombreux sont les prêtres et curés avec à leur tête un évêque à la tête d’un diocèse. Sacrement : un acte par lequel un chrétien se voit attribué une grâce divine. Diocèse : territoire administré par un évêque. - Régulier : ceux qui vivent à l’écart du monde, selon une règle. Ils consacrent

Chapitre 2 La vie et la mort Vraie source: registres de paroisse qui permet de comptabiliser à partir du XVII. Grâce à ces sources, historiens ont pu calculer taux de natalité (40 pour 1000 au XVII), taux de mortalité (30-38 pour 1000). Age mariage 22ans pour les femmes au XVII, 26-27 fin du XVIII. Au-delà des réalités démographiques, essayer de comprendre ce qui se passe autour de la naissance, autour de la mort et pour cela il faut mobiliser d'autres sources comme religieux sur les rites qui

besoin d’un lien d’alliance de filiation. Le mariage et fondateur de la famille car cet acte est destiné à l’origine à l’accueil des enfants cette affirmation doit cependant être modéré au regard du conjoint qui occuper une position particulière au sein de la famille créée par le mariage. Sensible aux évolutions de notre société la conception de la famille à évoluée aujourd’hui il ne communique le résulter de la seule naissance de l’enfant sans mariage, ainsi une mère et son enfant forme une famille

(canode d'auxerre). Les souverains vont avoir une part importante dans l'expansion du christianisme (voir pdf les quelques étapes d'expansion).La vie du chrétienLa vie du chrétien jusqu'à la mort est rythmé par des pratiques guidant au salut d'où les sacrements :- le baptême qui marque d'adhésion à la communauté. Au départ des hommes adultes puis plus tard les plus jeunes par soucis de la mortalité infantile et donc sauver l'enfant de la damnation (à partir du Xie siècle on passe de l'immersion à l'aspersion

a permis la prise de mots. En ce qui concerne le mariage les gens ne remettaient pas en cause le mariage mais en revanche ce qu'ils n'admettaient plus c'était le caractère indissoluble du mariage. Les philosophes des Lumières étaient tous pour le divorce. Montesquieu qui a écrit sur l'empire romain que même si il y'avait beaucoup de divorces ça n'a pas empêché à l'empire romain de continuer. "L'église catholique a cru resserer les liens du mariage en interdisant le divorce mais elle les a resserer

albigeoise » qui dura près de 50 ans. Les rites étaient essentiellement composés de prières, de chants, de confessions publiques et de sermons pendant lesquels la doctrine était expliquée et discutée. Les cathares remplaçaient les sacrements de l’Eglise par deux sacrements, le « consolamentum » : « baptême » qui rend pur, et le « melioramentum » : demande de bénediction à un « Parfait ». Il était délivré à la demande du croyant s’il se trouvait en danger de mort ou s’il voulait devenir « parfait »