Sadisme

enchantement » ancre ds un registre merveilleux Cclsion: être aux pouvoirs merveilleux et extraordinaires, héroïque avec registre épique: il est sublimé 1.15 à fin ~ uJ1- Q...UA. f};__,,\r,:> \~ - « les poux sont incapables de ... » atténue leur sadisme + focalisation interne : les connait très bien - encore adresse au lecteur avec hypothétique « si » : comme 13 et suivantes : l'auteur évoque des images, des scènes qu'il imagine, presque ds un monde onirique - « un pou dans votre route, passez

comment le conjurer, il s’en plaint, gémit … 1) Dénonciation de la cruauté de Salluste Pour lui Salluste est un diable. Il ne peut comprendre l’attitude de Salluste, cela lui apparaît comme un jeu gratuit pour le faire souffrir, il s’agit de sadisme. Aux vers 1448 à 1460 on peut observer une longue métaphore filée, il compare son stratagème, son mépris à une machine terrible, une machine qui est un instrument de torture. Il se compare à « une livrée, une chose un valet » et Salluste ne

dénonciation de la vénalité des charges. Le juge ce montre cruel plutôt que juste, le médecin est complice de ça « en présence d'un chirurgien qui lui tâte le pouls, jusqu'à ce qu'il soit en danger de mort, après quoi il recommence » (l.7-9) > perversion, sadisme. Le juge et sa femme prenne plaisir à parler des souffrances au diner. L'inhumanité d'un peuple avec l'exemple : de la Barre > où l'on s'est montrer cruel face a un innocent, ces délits ne sont pas condamnables > abus de pouvoir. (l.22-32) La

direct   pour   donner   +  d'importance à ce qu'elle dit.  L'IRONIE Voltairienne : dans l'opposition "mon petit cœur" : Magistrat et "Question" : la  torture. La tonalité ironique : permet la critique : comportement des Magistrats (caricature) : Sadisme  des juges blasés : " cela fait bien passer une heure ou deux >> référence à la comédie. 2)   Satire du pouvoir religieux   Au §4, Voltaire dénonce et informe les lecteurs sur la mort du Chevalier De La Barre et de ses  souffrances (torture ...) une seule phrase : insistance

comme la mer,
Qui vers elle montait comme vers sa falaise. Dans Le Léthé, la « crinière » ne laisse personne dupe : Je veux longtemps plonger mes doigts tremblants
Dans l’épaisseur de ta crinière lourde ;
Dans tes jupons remplis de ton parfum Le sadisme[->42] de À celle qui est trop gaie est sans détour et les lèvres[->43] en question trop sexuellement évidentes : Ainsi je voudrais, une nuit, (…)
Comme un lâche, ramper sans bruit,

(…) Et faire à ton flanc étonné
Une blessure large et creuse,

Et

regard dirige la libido et Freud explique que l’exhibitionnisme a pour but de pouvoir observer en retour. Il y a perversion lorsque l’acte sexuel se limite exclusivement aux parties génitales. Parmi toutes les perversions, la plus fréquente est le sadisme et le masochisme. Il s’agit d’infliger de la douleur à l’objet sexuel de façon active ou passive. La douleur s’associe souvent avec le dégoût et la pudeur afin de résister à la libido. Freud ne discerne aucune explication satisfaisante quant à la

muqueuses des lèvres et de la bouche 6 c) Importance des autres régions du corps 7 d) Substitut impropre de l’objet sexuel-fétichiste 7 B Fixations de buts sexuels préliminaires 7 a) Apparition de nouveaux objectifs 7 b) Toucher et regarder 7 c) Sadisme et masochisme 7 III Généralités concernant l’ensemble des perversions 8 a) Variation et maladie 8 b) Le facteur psychique dans les perversions 8 c) Deux résultats 8 IV La pulsion sexuelle chez les névrosés 8 a) La psychanalyse 8 b) Résultats

quelqu'un qui cherchait la bataille, et qui aimait avoir des gens qui le suivaient. Alors il promettait des choses qui semblent bonnes et les personnes le suivaient. On voit facilement le sadisme de premier niveau, mais considérant qu'il a laissé des dictatures communistes derrière lui (libération mon oeil), c'est un sadisme de deuxième niveau que de voir les gens souffrir sous le communisme et de répandre cette calamité. Soraya : Il ne faudrait pas perdre de vue qu'à partir de sa profonde révolte contre

la domination d’Agrippine et à assassiner son frère adoptif. Comme c’est le cas généralement chez Racine, Néron est poussé moins par la crainte d’être renversé par Britannicus que par une rivalité amoureuse. Son désir pour Junie est empreint de sadisme envers la jeune femme et envers tout ce qu’elle aime. Agrippine est une mère possessive qui ne supporte pas de perdre le contrôle de son fils et de l’Empire. Quant à Britannicus, il donne son nom à la pièce mais son personnage paraît un peu en retrait

s’il l’ignore ouvertement et ne la prend aucunement en considération. Malgré la douleur augmentant en crescendo chez l’Elève, traduite par les didascalies (« L’élève, qui aura l’air de souffrir de plus en plus »), le Professeur fait preuve d’un sadisme indéniable et ne s’arrête pas, il n’a que faire des souffrances de la jeune fille « Nous n’allons pas nous arrêter pour si peu de chose », son cours est plus important. // Durant son monologue, il utilise de nombreux mots et figure de style se rapportant