Sadisme

médecin-bourreau §1 -l’intolérance religieuse : de la Barre est condamné pour impiété, à des supplices horribles disproportionnés par rapport au « crime » -le sadisme, présenté comme motivation essentielle de la torture : Du magistrat (par l’omission du motif de la torture : §1) De sa femme §2 : le sadisme est contagieux Des Français §3 : la torture constitue un spectacle divertissant (cf. citation de Racine)  Il s’exprime par : -le

ce qui constitue une apparition du tragique. Dickens s’arme également du registre tragique pour montrer le caractère corruptible de la société britannique et la violence mise à exécution pour faire régner l'ordre ; notamment à travers le sadisme des spectateurs et leur animalisation. Comme nous venons de le voir, dans l’exemple du paragraphe précédemment, Dickens utilise l’humour noir pour instaurer un cadre tragique et faire la satire de la barbarie sociale. On le relève notamment

la vérité à travers des indices réels. Dans l'article “Torture”, Voltaire dénonce égale l'horreur de la torture “arrachât” “coupât”, “brulât” (l.22-23). Puis sa banalisation “va conter à dîner à sa femme ce qui s'est passé le matin” (l.10), le sadisme des juges “le plaisir de l'appliquer” (l.5) et “elle y a pris goût” (l.11). Dans la condamnation de la torture, Camus dénonce la lutte armée et la torture. D'abord il avance qu'il n'y a aucune justification possible de ces pratiques “c'est une humiliation

d’une civilisation remarquable - à un magistrat d’une chambre criminelle.  Le conseiller est associé à « hâves », « pâles », « cachot » (version dévalorisée de la prison) le mot « plaisir » (4) forme une antithèse avec les autres qualificatifs : sadisme.  Vie Privée : -la torture entre dans les mœurs : sujet de discussion banal : pendant les repas.  Problème de la vénalité des charges : achat de la charge : affaiblissement de la fonction : « conter à dîner ».  Acceptation tranquille de la

« amoureuse »-Souffrance de Raphaël. L’extrême cruauté de la femme de plus en plus mal. La femme exerce une forme de sadisme (la recherche du plaisir dans la souffrance volontairement infligée à autrui). Métaphore « déchirer le cœur »=intensité de la souffrance. Ces images=la détresse mentale de Raphaël qui vit un véritable supplice. F.est femme perverse : elle éprouve un plaisir malsain à accomplir des actes cruels (sadisme)manipulation psychologique (Raphaël est une victime). Métaphore filée de la souffrance amoureuse=la

l’emploi du singulier « un morceau » / pluriel « les dents ». ) - DJ fait preuve de sadisme- Après avoir humilié l’homme en lui rappelant sa triste condition, il va l’achever en le privant de tout ce qui a un sens à ses yeux : il propose un « louis d’or » contre l’abjuration de sa foi. III) 3ème mouvement : La tentative de corruption : 1) La proposition : - blasphème contre de quoi manger. - sadisme de DJ : insistance, il répète « si » à deux reprises : « si tu veux », « si tu jures »

commettre par l’entremise de Valmont. c) Le sadisme L’épistolier rejette sur la destinataire sa propre cruauté (dont il ose lui faire reproche) par la violence de l’oxymore « ton impitoyable tendresse ». Il ose aussi lui reprocher son « obstination ». Il va jusqu’à devancer ses reproches : « Je sens bien que voilà une belle occasion de crier au parjure. » La lettre est donc aussi d’une redoutable habileté dans l’art de faire mal : elle annonce le sadisme. III. Le libertinage a) L’inconstance

de pouvoir - le narrateur-prsg de HAMM est cruel [HAMM] = tt puissant. Conseille au père d'entre à son service (et dc d'ê nourri) et d'abandonner son enfant. Au final le père = à genoux, implorant. - domination qui régit les rapports CLOV/HAMM. Sadisme de HAMM III- Un contrepoint comique 1) un motif trivial - bassesse de se nourrir - dérision de NAGG qui demande sans cesse sa bouillie (enfant) 2) un traitement grotesque, au service de la dérision - cuisine où CLOV en sort plrs objets

marquante : « A mon tour tour de poser une équation : colonisation =chosification »Il refuse des arguments proclamés par les colonisateurs : « Sécurité ? Culture ? Juridisme ? Pour lui, la Sécurité fait référence à « la brutalité, la cruauté, la sadisme, le heurt », la Culture est une « parodie de la formation culturelle », et le juridisme fait écho à «  la fabrication hâtive de quelques milliers de fonctionnaires subalternes, de boys, d’artisans, d’employés de commerce et d’interprètes nécessaires

commettre par l’entremise de Valmont. c) Le sadisme L’épistolier rejette sur la destinataire sa propre cruauté -dont il ose lui faire reproche- par la violence de l’ oxymore « ton impitoyable tendresse ». Il ose aussi lui reprocher son « obstination ». Il va jusqu’à devancer ses reproches : « Je sens bien que voilà une belle occasion de crier au parjure. » La lettre est donc aussi d’une redoutable habileté dans l’art de faire mal : elle annonce le sadisme. III. Le libertinage a) L’inconstance