Sage-femme

DEDICACE Toutes les lettres ne sauraient trouver les mots qu’il faut … Tous les mots ne sauraient exprimer la gratitude, l’amour, le respect, la reconnaissance. Aussi c’est tout simplement que je dédie ce dit rapport de stage à … Dieu Tout Puissant qui à tout moment et en tout lieu m’a soutenu durant ma formation et mon rapport de stage. Aussi à tous mes encadreurs particulièrement à M. KOFFI Sylvain et à tous ceux qui me sont chers. Que DIEU par sa grâce vous bénisse.

VADEMECUM DE L'ETUDIANT DE MEDECINE – PHARMACIE Statistiques de réussite aux concours de fin de 1ère année MEDECINE – ODONTOLOGIE – KINESITHERAPIE – ERGOTHERAPIE – SAGES-FEMMES En 2007/2008, 2754 étudiants sont inscrits en PCEM1 dans les quatre facultés de médecine de Lyon dont 1109 redoublants. L’année dernière il y avait 418 places en médecine, 44 en odontologie, 63 en kinésithérapie, 28 en ergothérapie, 47 (31 à Lyon, 16 à Bourg) à l’école de sages-femmes et 54 pour l’ESSA (Ecole de Service

* ASPECTS DEONTOLOGIQUES DES DROITS DU MALADE EN TUNISIE * à la protection de la santé * au respect de la dignité * au respect de la vie privée et au secret des informations * à recevoir des soins les plus appropriés et traitements dont l’efficacité est reconnue * Droit à l’information sur son état de santé  * Dispense en cas d’urgence ou d’impossibilité d’informer * Respect de la volonté d’être tenu dans l’ignorance d’un diagnostic ou pronostic

|[pic] | |[pic] | | |Université de Poitiers | | | | | | | |Faculté de Médecine et de Pharmacie

NPDC. Le certificat doit être remis directement à l’adulte concerné, quand il s’agit d’un enfant, il faut faire attention. → Autre exemple, l’épouse demande un certificat car son mari est alcoolique, en vérité ils étaient en instance de divorce, la femme sort le certificat devant le juge, mais le médecin va être puni, il n’avait pas à remettre de certificat à un tiers. 4) Loi du 4 mars 2002 : loi Kouchner Kouchner était ministre des affaires étrangères, il a totalement changé le droit de la santé médicale

Auteur: John Irving Titre: L'oeuvre de Dieu, la part du Diable Titre original: The cider house rules Traduit de l'américain par Françoise et Guy Casaril Editeur: Le Seuil (1986) ISBN: 2-02-025780-7 733 pages Le Dr Larch dirige un étrange établissement, dont la mission unique, la délivrance des femmes enceintes, recouvre deux réalités différentes. En effet, le Dr Larch est à la fois un accoucheur et un avorteur. Mais, dans les deux cas, les femmes qui arrivent dans son hôpital repartent

Article 449 Quiconque, par aliments, breuvages, médicaments, manœuvres, violences ou par tout autre moyen, a procuré ou tenté de procurer l'avortement d'une femme enceinte ou supposée enceinte, qu'elle y ait consenti ou non, est puni de l'emprisonnement d'un à cinq ans et d'une amende de 200[159] à 500 dirhams. Si la mort en est résulté, la peine est la réclusion de dix à vingt ans. Article 450 S'il est établi que le coupable se livrait habituellement aux actes visés par l'article précédent

GOGNIAT V, RAE MC, SERAPHIN MA, DE ROSSO A, R.HERMANN F. Incontinence Urinaire : connaissances, représentations et pratiques des soignants. Enquête aux Hôpitaux universitaires de Genève. Recherche en soins infirmiers, décembre 2011 ; 107 : 85 – 97. Objectif et hypothèse de la recherche Cette recherche menée aux Hôpitaux universitaires de Genève a pour objectif d’analyser les obstacles et les ressources des soignants pour la prise en charge de l’incontinence urinaire chez leurs patients.

Le secret médical Article 226-13 du code pénal « La révélation d’une information à caractère secret par une personne qui en est dépositaire soit par profession, soit en raison d’une fonction ou d’une mission temporaire est punie d’emprisonnement et de 15000€ d’amende. » A cette règle juridique, s’ajoute l’article 4 du code de déontologie « Le secret professionnel institué dans l’intérêt des patients s’impose à tout médecin dans les conditions établies par la loi. Le secret couvre tout ce qui

Secret bancaire La notion du secret bancaire est consacrée par la loi qui fait de sa divulgation un délit de violation du secret professionnel prévu et puni par l’article 254 du code pénal où il est notamment stipulé : « Sont punis de six mois d'emprisonnement et de cent vingt dinars d'amende, les médecins, chirurgiens et autres agents de la santé, les pharmaciens, sages-femmes et toutes autres personnes qui, de par leur état ou profession, sont dépositaires de secrets, auront, hors le cas où la