Sagesse Et Superstition

au Lycée Ango de Dieppe Du texte « Essay on Suicide », 1783, chez Smith, Londres (d’abord édité en 1777 sans nom d’auteur et nom d’imprimeur) L'un des avantages considérables de la Philosophie est qu'elle constitue un antidote souverain à la superstition et à la fausse religion. Tous les autres remèdes contre ce désordre pestilentiel sont vains, ou pour le moins incertains. Le simple bon sens et la pratique du monde, qui s'avèrent bien suffisants dans la plupart des problèmes quotidiens, sont soudain

à quelles conditions il est possible de se prémunir de l’illusion et quelle est la valeur du remède; et enfin à s’interroger sur la signification profonde du désir de lucidité qui commande la démarche même du philosophe. I. L’idéal de la sagesse consiste à vivre sans illusion. 1. Nécessité de sortir de la caverne . Dès son origine, avec Socrate, la tradition philosophique n’a pas cessé de valoriser la lucidité, comme capacité à “regarder la réalité en face” et, donc

étranger qui a plus de crédit = critique de la superstition, de la coutume. « déclara » : argument d’autorité, non motivé par réel diagnostic. « prédit » : relève de la croyance, voc religieux avec « funeste ». Ton sans appel, mais illogique, sans explication : absurde de la différence œil droit œil gauche : présent de vérité générale. « profondeur de la science » : jeu sur un puits de science ! Touche finale : écrit livre !! En contrepoint : sagesse de Zadig : ne le lit pas ! ironie voltairienne

une connaissances. La réflexion individuelle La réflexion individuelle correspond à la pensée personnelle, la méditation, l’introspection, donc le retour vers l’intérieur, voire le repli sur soi, sinon l’isolement. C’est aussi l’appel à la sagesse, et au silence avant de parler. Nous touchons là au « connais toi toi-même » ….et tu connaîtras les dieux. Cette inscription placée sur le fronton du temple de la pythie de Delphes est attribuée classiquement à Socrate. La citation de ce texte

comme modèle ds toute l'Europe, en 1715 au lendemain de la mort de Louis XIV, et qui a conduit tout le peuple à la Revolution française. • se caractérise en autre par la lutte VS obscurantisme pour faire reculer les pratiques religieuses et les superstitions grâce à l'usage de la raison / siècle des découvertes scientifiques avc l'empirisme/ siècle de la sensibilité/ siècle humanistes avc fondements de principes rationnels en rapport à l'homme => idée de progrès, de bonheur, de tolérance. • L'expression

manière plaisante les questions posées par les philosophes des Lumières : Zadig, Micromégas et Candide proposent une leçon de sagesse. ➢ Voltaire utilise souvent le pamphlet, bref et polémique pour ridiculiser ses adversaires et défendre ses idées. =>VOLTAIRE symbolise l’esprit des Lumières. Il dénonce les abus, les privilèges, les préjugés et tourne en dérision la superstition. Il s’oppose au pouvoir politique et religieux et propose une nouvelle vision de la société. En défendant un idéal de progrès

donc que la compréhension du monde relève de la seule raison, reniant, pour beaucoup, la notion de Créateur. Sur le plan politique, ils considèrent que les prêtres participent à la domination des princes sur les peuples, régnant sur eux par la superstition. L'école de Padoue conteste en particulier la notion de miracles et d'oracles, affirmant la seule existence du  déterminisme naturel. Le libertinage prône un relativisme moral, pour lequel la morale chrétienne n'est pas un absolu, mais un mode

s ) Ordonne à la femme d’agir pour tous ces droits sans exceptionsL’autrice dresse les avancés intellectuelles permises par la Révolutions. De préjugés, de fanatisme, de superstition et de mens.EnumérationMontre les vice de l’Ancien Régime Flambeau de la véritéPériphraseDésigne symboliquement la raisonA dissipé Passé ComposéLa sagacité est acquise sans retour possible (les femmes comme les hommes peuvent raisonner)Pour étayerappuyer

puisse être. » • « Votre salut est entre vos mains. Votre délivrance ne dépendrait que de vous, si vous saviez vous entendre tous. [...] Unissez-vous donc, peuples, si vous êtes sages. [...] Répandez partout, [...] les écrits [...] qui fassent connaitre à tout le monde la vanité des erreurs et des superstitions de la religion et que rendent partout odieux le gouvernement tyrannique des princes et des rois de la terre. » Le testament de Meslier se divise en huit parties. Chacune vise à prouver

intelligente » + 3 derniers vers) -> conclusion introduite par la femme de Chrysalde b) Quelques ambiguïtés -Arnolphe fait trop facilement appel à la religion de manière illogique. Ex : v.38 -> il mélange foi et expérience v84 -> mauvais présage = superstition (païens VS foi chrétienne ) -Arnolphe ne s'appuie pas tout le temps sur la raison : ce n'est pas un honnête homme. Il utilise un vocabulaire pseudo-religieux : ex -> le « moi » est au centre de son raisonnement. V38 -> « je vois » « je suis