Sagesse

Introduction Dans les Méditation Cartésiennes, Edmund Husserl : philosophe allemand du XIXème siècle, réfléchit sur les fondements et le sens de la science à travers la philosophie. Il traite ainsi dans cet extrait des moyens qui mènent à la sagesse et s’interroge sur les actes qui permettent de devenir un philosophe. L’apprentis philosophe doit , pour cela, rechercher a obtenir des certitudes en doutant de ce qu’il a appris par le passé et ainsi détruire toutes les opinions préétablies pour

que la définition d'un savant, d'un connaisseur est de pouvoir répondre à toutes les questions qui se posent. Cependant, ce texte de Kant nous invite à dépasser ce préjugé, puisqu'il nous apprend que l'important est d'avoir l'expérience menant à sa sagesse de pouvoir se poser les bonnes questions. Nous analyserons d'abord le premier temps du texte, l'exposition de la thèse de Kant, puis en deuxième temps les exemples la prouvant, et enfin sa conclusion et son aboutissement. Dans ce premier temps, Kant

composé d'un cochet et de deux chevaux dont l'un est de bonne race et l'autre fougueux, vicieux. => L'âme si elle est à cette image est difficilement conduite dans l'existence. .Les « ailes de l'âme » = l'âme s'élève vers l'intelligible, le beau, la sagesse... et inversement si les « ailes » sont abimées, « l'âme » tombe dans le monde sensible. .Pour Platon le désir de voler c'est le désir de s'élever au delà du monde sensible. Les ailes de l'âme se certifie lorsque l'âme va contempler la beauté

« intermédiaire » entre la ressource ou la richesse et la pauvreté, assez riche pour combler son dénuement mais trop pauvre pour être pleinement satisfait. Éros passe sa vie à philosopher. Les philosophes, dit le texte, ne sont ni sages ni ignorants. Les dieux ne philosophent pas car ils sont sages et ne désirent donc pas l'être. Les ignorants ne philosophent pas non plus car, croyant déjà connaître, ils ne désirent pas la connaissance. Fils d'un père sage et d'une mère pauvre, Éros ne peut être que philosophe

l’artistique que le scientifique, avec les phénomènes, que l’Homme en lui-même et ces comportements. L’Homme s’étonne de ce qu’il voit et cherche à se l’expliquer mais pour pouvoir chercher cette sagesse ce dernier doit accepter de ce pensé qu’il ne sait rien et s’il ne le fait pas alors à jamais ce savoir et cette sagesse lui seront cacher et jamais il n’essayera de rechercher le savoir car il sait (alors) absolument tout sur ce qu’il l’entoure. L’homme désir que ce qu’il ne possède pas (ou pas encore) et

METAPHYSIQUE, Livre A La philosophie est une discipline spécifique qui ne ressemble à aucune autre. Comment pouvons-nous l'introduire ? Qu'est-ce que la philosophie ? Etymologie : PHILO SOPHIE Grec : philia =amour Grec : Sophia= sagesse La philosophie elle-même est grecque. La philosophie est à plusieurs reprises définie par Platon comme étant en opposition avec les désirs « humains ». En effet le désir amoureux ne se satisfait pas du plaisir charnel. Le désir amoureux est

découle du 1er, d’ordre moral Si certaines choses m’échappent, puis-je en être tenu pour responsable ? I - La conscience formatrice du sujet A – Sagesse et conscience 1 – Moi et le monde On peut voir assez facilement qu’il y a un lien entre sagesse et conscience. Qu’est-ce qui fait qu’un être conscient est en voie vers la sagesse ? Il ne suffit pas d’être connaisseur ou connaissant pour être sage. Le sage est aussi celui qui est capable de se rendre compte qu’il y a un certain nombre

Amour de la sagesse, amour du savoir Philia : amour au sens de l’amitié Sophia : sagesse b) Utile : Utilitaire= intérêt pratique, matériel Avantageux= intéressé Sert à qqe chose Inutile -> désavantageux ⇒ ne sert pas ⇒ désintéressé=positif (ne recherche pas son profit personnel) 3 – Axes de réponse 1 – La philosophie est inutile car en tant que savoir, elle ne vise pas d’intérêt matériel 2 – La philosophie est utile en tant que quête de sagesse car elle

réputé pour sa grande sagesse. C' était un philosophe avant l'heure. Ses écrits, le livre des proverbes, certains psaumes, le livre de l' Ecclésiaste, le cantique des cantiques, sont de pures merveilles, poétiques, humoristiques et bien sur philosophiques. Sa royauté s'ouvre sur deux récits riches en enseignement. Une nuit dans un songe il lui est proposé le choix entre, recevoir la sagesse, ou la richesse et la gloire. Ce dernier, qui n'est pas sot du tout, choisi la sagesse. Son histoire nous

agir et aimer Idée principale : qu’il ne faut pas vivre ou plutôt espérer mieux vivre dans l’avenir, mais que la sagesse consiste à vivre pour de bon, avec les plaisirs et les joies du présent, en ne désirant que ce que l’on a au moment présent. BUT : Pour André Comte-Sponville, c’est la philosophie qui peut nous mettre sur la voie du bonheur, car son but est la sagesse La sagesse, c’est un savoir-vivre, un savoir-penser. Philosopher, c’est apprendre à être heureux en ne désirant que ce qui est