Saint-Valery-sur-Somme

nécessaire, A réuni l’un et l’autre hémisphère. » Synthèse : Par quels arguments Voltaire justifie-t-il les bienfaits du luxe ? 223 12/07/11 16:10 Français 2e – Livre du professeur Texte 2 : Voltaire, Zadig (1747) Écho du xxe p. 309 siècle : Valéry, Variété II (1930) p. 311 OBJECTIFS ET ENJEUX : – Découvrir l’apologue, sa structure et ses enjeux. – Donner à lire un extrait long qui dispose d’une unité interne. – Percevoir et comprendre l’ironie. Lecture analytique 1 La structure du récit

l’autre, à l’éreintement, pratique qui explique la mauvaise réputations des critiques depuis leur naissance en tant que professionnels : « Le plaisir de la critique nous ôte celui d’être vivement touchés de très belles choses » Les Caractères, I,20. Valéry,( Ego scriptor, ) réduit le geste de la critique « au geste de jeter, souiller, brûler un objet ». De nombreux écrivains et critiques vont même jusqu’à remettre en question l’acte même de juger. Selon Jean Rousset, pour qui seul est acceptable

Contemplations (1856) de Victor Hugo – recueil qui est présenté dans la préface comme les mémoires d'une âme. Devons-nous au contraire traiter le je lyrique comme une fiction, ainsi que nous y inclinent des poèmes comme La Jeune Parque (1917) de Paul Valéry, où le je qui parle est clairement un personnage fictif? Faut-il chercher un statut intermédiaire du je, quelque part entre sujet réel et sujet fictif? Il y a eu beaucoup de débats autour de cette question fondamentale. IV.1. L'hypothèse du sujet

pas qu'on le sache, mieux vaut encore ne pas le faire." [ proverbe chinois ] " L'architecture, c'est de la musique figée." [ Goethe ] "Un secret consiste à ne le répéter qu'à une seule personne à la fois." [ Michel Audiard ] "Conscience collective : somme des inconsciences individuelles." [ Georges Elgozy ] "Aussi grand que soit un trou, il y a toujours quelque chose autour." [ François Cavanna ] "Le temps porte conseil : en général celui de ne rien faire." [ Claude Roy ] "Pour dire oui, il faut pouvoir

Congo, 1927, p. 809). − [D'un ensemble, d'une collectivité] Toute la récolte; toute la classe; tout le quartier (« les habitants du quartier »); toute la population; toute la somme; tout le monde*. Tout l'hôtel, en un moment, fut sur pied. On courut chercher du secours (Bourges, Crépusc. dieux, 1884, p. 339). ♦ Loc. Somme toute (v. somme1). − [D'une masse (concr. ou abstr.)] Toute la soupe; toute l'eau (est polluée); tout l'argent (a été remis); toute la chaleur. Expr. Pour tout l'or du monde (v

Cependant, il ne faut pas en abuser car, « tout ce qui est de trop, nous dit Boileau, est rebutant et fatigue »le correcteur. Donc, 3 à 4 citations et 5 au maximum, suffisent pour renchérir et crédibiliser son devoir de dissertation ou d’argumentation. Somme toute, la dissertation littéraire n’est pas un foisonnement de citations encore moins un entremêlement de critiques littéraires .Ce qui fait que, lorsqu’on est en court d’idées ou lorsque le nom d’un auteur nous échappe, ce que j’appelle «  court circuit

« soi-mêmisme » forcené nous tient maintenant lieu de vertu. Mais, pour évident et bon qu'il nous paraisse, est-il exempt de tout présupposé, et parmi les plus fâcheux ? Car enfin, faut-il véritablement être fier d'être ce que l'on est ? Comme le disait Valéry : « être soi-même… mais soi-même en vaut-il la peine ? ». À bien y réfléchir, en effet, ce moi que je suis, cet individu particulier avec ses goûts et ses dégoûts, ses envies et ses menus plaisirs, a-t-il de quoi me rendre fier ? En l'affirmant, je

toute tranquillité, comme ç’a été le cas par exemple pour Les Thibault de Martin du Gard, je crois que je serais entré plus intimement en contact avec cet ouvrage de Gide, — sans pouvoir toutefois me dissimuler que nous ne sommes pas, lui et moi, somme toute, domiciliés sur le même hémisphère et que nous sommes, en art, aux antipodes l'un de l'autre. Une petite description extraite de son livre sur le Congo — que je ne connais pas en entier — où il est question de l'amitié et de la mort d'un petit

besoin de l'amour comme du moteur puissant des grandes transformations de l'existence qu'il transcrit avec prédilection dans ses pseudo-états civils » [Marthe ROBERT(13) p. 38] « Un "bon" roman, depuis lors [Madame de La Fayette et la « sacro-sainte analyse psychologique »], est resté l'étude d'une passion -ou d'un conflit de passions, ou d'une absence de passion- dans un milieu donné » [ROBBE-GRILLET(8) p.15] LE VECU, LE VIVANT « ROMAN. La grande forme de la prose où l'auteur, à

Ruquier, On n’est pas couchée, a lancé à Valéry Giscard d’Estaing, invité par rapport à la sortie de son roman, La victoire de la grande armée, en 2010 : « ça doit vous changer des autres émissions. Mais nous lisons les livres avant de recevoir nos invités. C’est un petit peu la marque de fabrique de l’émission ». L’ex président de la République était d’ailleurs très surpris par cette déclaration. La politique fuit le monopole journalistique La présence de Valéry Giscard d’Estaing, bien qu’invité, dans