Sakalava

redynamiser les ressources humaines de l’Entreprise, tout en tenant compte des appartenances culturelles de l’ensemble des agents. Parmi ses publications en anthropologie sociale, mentionnons : « Un aspect du Fitampoha (bains des reliques des rois sakalava) » in, Omaly sy Anio, Revue d’Etudes historiques, N° 13-14, Université d’Antananarivo, 1981, pp. 307 -317 ; « Du chien comme anti-métaphore de l’humanité à Madagascar », in Cahiers Ethnologiques de Bordeaux II, 1987, , pp.123-168 ; La poule de Dieu

|langue bantoue |République démocratique du Congo | | |Sakalava | |sakalava |Madagascar |ou Saclave, Sakalavas, Sakalave, Sakalaves, Séclave | |Sakata |Bantous |sakata |République démocratique

L'intercompréhension d'un groupe à l'autre est facile pour des locuteurs habitués à voyager dans l'archipel, plus difficile pour des populations sédentaires. En outre, un tiers environ des habitants de Mayotte a comme langue maternelle un dialecte sakalava originaire de Madagascar. Voir Lafon 1979, Blanchy 1987, Gueunier 1986. 10 SOPHIE BLANCHY La classification consiste à nommer de manière identique des parents de catégories ou d'ordres différents. La bifurcation consiste à nommer différem

1879, pp. 35-39. Traduction fr. reproduite d'après : P. Delarue et M.-L. Tenèze, Le Conte populaire français. Paris : Maisonneuve et Larose, 1997, II, pp. 568-570.) III. Cinq versions orales africaines 5. Le langage des bêtes Conte malgache sakalava Il était une fois un pauvre homme qui n'avait pour tout troupeau que deux brebis. Un jour, alors qu'il gardait ses brebis dans la vallée, il aperçut un petit menarà23 qui se débattait sous une pierre, essayant vainement de se dégager. Le petit

descendants gardent des liens étroits avec leurs ancêtres et surtout leurs anciens rois appelés souvent « Andriamanitra » ou princes vénérés. En raison de la nécessité de garder ce lien entre la vie sur terre et celle de l’au-delà, les Merina, les Sakalavas honorent ponctuellement leurs morts par le biais des soins qu’ils apportent aux reliques de leurs ancêtres. Quant a la culture malienne, elle a la croyance en les êtres surnaturels tels que les « Djinnés » et les « N’gotés ». Les djinnés sont des

au nord et à l’ouest du pays, avec plus d’1,6 millions d’individus et les Merina également présents sur les hauts plateaux avec plus de 3 millions d’individus. Cependant, nous pouvons encore citer (entre autres) les Tsimihety, les Antaisaka ou les Sakalava comme des ethnies influentes au sein du territoire malgache. Au-delà des ethnies « locales », on retrouve certaines minorités provenant de l’étranger. Tout d’abord, il convient de souligner l’importance de la minorité française à Madagascar, présente

de la grande île de Madagascar : 130 (1661)(dial. Tanosy), mentionné également par DECORSE en 1900 in Sched. Chez les Tanosy émigrés, tongatse ou trongatse, nom également employé en dial. Antandroy de Tsihombe à Ambovombe. Tsimatiririnina (dial. Sakalava) Vonenina (dial. Merina, nom réservé à l’origine au Catharanthus lanceus, mais qui maintenant, tend à s’étendre à toute l’île pour les roseus sous l’influence des cadres administratifs. compris en matièe commerciale à Madagascar pour tous les Catharanthus

Andranomavo : culture de rente 1.1.2.1.3- Les répartitions ethniques La population de la région est constituée par les dix huit ethnies de Madagascar, ainsi que les comoriens dans la ville de Mahajanga. Toutefois la prédominance de l’ethnie sakalava sur les zones côtières est plus marquée, par contre des immigrants de hautes terres prédominent la partie centrale à Marovoay et Ambato-Boeny 1.1.2.2- La situation économique de la Région[2] Une capacité agricole inestimable de la

groupes ethniques apparurent donc pour dessiner la carte des ethnies malgaches d’aujourd’hui qui sont au nombre de 18 (cf. carte 3). Ainsi, les traits asiatiques dominent chez les Merina et les Betsileo des hautes terres du Centre tandis que les Sakalava de l’Ouest et les Bara du Centre-Sud témoignent de leur origine africaine. Concernant la côte est plus précisément, elle est peuplée par la plus jeune des ethnies malgaches : les Betsimisaraka ou « les nombreux inséparables », confédération de plusieurs

dans les milieux ruraux et beaucoup moins dans les milieux urbains. * La femme objet : la femme est le « fanaka malemy » et l’homme le «  lehilahy mahery ». * La femme objet de procréation : la femme stérile est maudite. Dans la mentalité Sakalava, l’homme est le chef de la famille et il n’est jamais mauvais, « ny lehilahy tsy mba vamba » signifie que l’époux ne trompe jamais son épouse même s’il se permet de changer de partenaire et est attrapé en flagrant délit d’adultère. * L’homme