Salamanque

nous intéresser à son auteur et au contexte historique dans lequel s’inscrit le texte. Juan López de Palacios Rubios est né en 1450 et est mort en 1524 à Palacios Rubios, petite ville près de Salamanque, dans la région de Castille. De son vrai nom Juan López de Vivero, il a été juriste et étudié à Salamanque où il deviendra professeur de cette université. Il va occuper plusieurs postes de grande responsabilité, devenant ministre du Conseil des Indes et ambassadeur à Rome. Désigné par les rois Catholiques

embellissaient par des enluminures. D'autre part, la langue employée dans les manuscrits était le latin. Les universités disposaient d'un quasi-monopole dans l'éducation et la diffusion de l'information. Les puissantes universités de Bologne, de Paris, de Salamanque, d'Oxford, et de Cambridge, étaient seules habilitées à diffuser le savoir, selon les méthodes éprouvées de la scolastique. Le droit était l'une des principales disciplines dans ces universités. Le savoir était ainsi réservé aux clercs, qui disposaient

meurtre du père de Teresa l'assimile à nouveau au Cid : "Tuer un père est grave", lui dit don Garcia, "il y a bien des exemples pourtant, à commencer par le Cid"... Devenu un jeune homme, il va parfaire sa formation à la célèbre université de Salamanque. Ses aventures commencent avec la rencontre de don Garcia Navarro, éclatant jeune étudiant, avec lequel il se lie tout de suite d'amitié.       D’abord Don Juan est presenté comme une personne timide et naïve qui se transformera peu à peu à cause

toujours un moment incontournable. C'est notamment là qu'on pose le cadre spatio-temporel qui va permettre de replacer l'histoire dans son contexte. Ainsi, dans Gil Blas de Santillane on apprend que l'action se déroulera en Espagne, « Oviédo », « Salamanque », de même on sait que l'histoire se passe pendant ou après la monarchie espagnole « porté les armes pour le service de la monarchie espagnole [...] ». Dans l’Assommoir, on apprend que Gervaise Lantier est dans « une misérable chambre garnie » de

la nature humaine, et qu'ils seraient donc inhérents à chacun, indépendamment de sa position sociale, de son ethnie, de sa nationalité, ou de toute autre considération. Les premières formulations du concept de droit naturel viennent de l'école de Salamanque, et ont ensuite été reprises et reformulées par les théoriciens du contrat social (Hobbes, Locke, Rousseau). Au sens large, le droit naturel désigne toute recherche objective de normes de droit en fonction des seules caractéristiques propres à

Girard de Charbonnières. Son père, ayant fait de mauvaises affaires, abandonne sa femme et ses deux enfants pour s'engager dans les armées impériales qui envahissent l'Espagne[1]. Devenu Maréchal-des-logis-chef, il est admis à l'hôpital royal de Salamanque où il décède le 12 décembre 1810, par suite de fièvres. Le jeune Fialin, orphelin de père, est élevé par un oncle maternel, monarchiste convaincu. Il obtient une bourse et entre au collège de Limoges. Il fait le choix d'une carrière militaire

mal le latin, servait fort bien la messe, et maniait la rapière, ou l'épée à deux mains, mieux que ne faisait le Cid. Son père, jugeant qu'un gentilhomme de la maison de Marafia devait encore acquérir d'autres talents, résolut de l'envoyer à Salamanque. Les apprêts du voyage furent bientôt faits. Sa mère lui donna force chapelets, scapulaires et médailles bénites. Elle lui apprit aussi plusieurs oraisons d'un grand secours dans une foule de circonstances de la vie. Don Carlos lui donna une

Or, Monsieur, sachez avant toute chose qu’on me nomme Lazare de Tormès, fils de Thomas Gonzalès et d’Antoinette Perez, natifs de Téjarès, village voisin de Salamanque. Je naquis dans la rivière de Tormès, en raison de quoi me fut imposé ce surnom. Voici ce qui advint. Mon père (que Dieu absolve) avait charge de pourvoir la mouture d’un moulin sis au bord de cette rivière, où il fut meunier plus de quinze ans. Une nuit que ma mère, grosse de moi, se trouvait au moulin, le mal d’enfant la prit et

employée dans les manuscrits était le latin, et était donc réservée aux personnes instruites. Les universités disposaient d'un quasi-monopole dans l'éducation et la diffusion de l'information. Les puissantes universités de Bologne, de Paris, de Salamanque, d'Oxford, et de Cambridge, étaient seules habilitées à diffuser le savoir, selon les méthodes éprouvées de la scolastique. Le savoir était ainsi réservé aux clercs, qui disposaient de l'éducation nécessaire à la compréhension des textes. L'imprimerie

-Eugène Boudin : Un coucher de soleil (1892) -Edgar Degas : La classe de danse (1874) -Alfred Sisley : Bateaux à l'écluse de Bougival (1873) -Edouard Manet : Les étudiants de Salamanque -Auguste Renoir : Lise à l'ombrelle (1867) -Paul Césanne : L'enlèvement (1867) -Vincent Van-Gogh : Quatre fleurs de tournesol fannées (1887) Les écrivains impressionistes. -Stephane Mallarmée : L'après midi d'un Faune (1865) -Emile Zola