Salindres

les mains de sociétés capitalistes qui passaient des baux d’affermage avec des propriétaires privés, incapables de faire face aux charges d’exploitation. La réussite la plus exemplaire fut, en 1855, la création d’une nouvelle usine de soude à Salindres (Gard) qui était associée au développement d’un salin à Giraud en Camargue pour l’alimenter en matière première. En 1857, fut créée la puissante Compagnie des Salins du Midi qui regroupait plusieurs sociétés capitalistes. Leurs deux principaux

positionnées en partie haute des salles où reposent les malades. Laissées ouvertes, elles étaient censées permettre aux miasmes de s’échapper. | Hôtel-Dieu de Tournus. © Photo : Françoise Miller | | Filature de soie Volpellière, Pont de Salindres (Gard) © Photo : Françoise Miller | | Dans l’architecture utilitaire des filatures de soie du XIXème siècle, l’impératif est de faire pénétrer au mieux la lumière naturelle indispensable à la pratique d’une activité bien spécifique, sur un matériau

industrialise la région : 70 fours à coke à La Grand-Combe, 5 hauts fourneaux et des fonderies à Bessèges (atteint par le chemin de fer en 1857) et Tamaris (Compagnie des mines, forges et fonderies d’Alais), etc. La chimie moderne a son chef-lieu à Salindres, où la première élaboration industrielle mondiale de l’aluminium a lieu en 1860 et où est fondée, au début du xxe siècle, la firme Pechiney [9]. Alès prend un nouveau visage, particulièrement sur la rive droite du Gardon, au faubourg, industriel

industrialise la région : 70 fours à coke à La Grand-Combe, 5 hauts fourneaux et des fonderies à Bessèges (atteint par le chemin de fer en 1857) et Tamaris (Compagnie des mines, forges et fonderies d’Alais), etc. La chimie moderne a son chef-lieu à Salindres, où la première élaboration industrielle mondiale de l’aluminium a lieu en 1860 et où est fondée, au début du xxe siècle, la firme Pechiney [9]. Alès prend un nouveau visage, particulièrement sur la rive droite du Gardon, au faubourg, industriel

OO / Commune de Brest e t sa banlieue industrielle : Guipavas e t le Relecq-Kerhuon : 12 Reste du département : 7,5 Ga rd. OO / OO / Communes d'Alès, Beaucaire, Bessèges, la Grand'Com bel Marguerittes, Nîmes, Saint-Hilairede-Bretmas, Salindre, Salles-de-Gardon : 15 % Reste du département : 1 0 Garonne (Haute). Communes de Toulouse e t sa banlieue industrielle : Blagnac, Cugneux, Luchon : 17 Reste du département : 1 0 Gers. Commune d'Auch : 1 0 OO / OO / Oo / OO / Reste du département

département : 10 % Finistère. Commune de Brest et sa banlieue industrielle : Guipavas et le Relecq-Kerhuon : 12 % Reste du département : 7,5 % Gard. Communes d’Alès, Beaucaire, Bessèges, la Grand’Combe, Marguerittes, Nîmes, Saint-Hilaire-de-Bretmas, Salindre, Salles-de-Gardon : 15 % Reste du département : 10 % 80/141 Mise à jour 2009 Garonne (Haute). Communes de Toulouse et sa banlieue industrielle : Blagnac, Cugneux, Luchon : 17 % Reste du département : 10 % Gers. Commune d’Auch : 10 % Reste du

contrôle de l'Etat depuis 1981. L'aluminium. La production d'aluminium est contrôlée par le groupe Pechiney-Ugine-Kuhlmann, nationalisé en 1981. La bauxite est transformée en alumine dans 4 usines: agglomération marseillaise (2 usines), Gardanne et Salindres. L'électrolyse s'est fixée dans les régions riches en hydro-électricité (Alpes, Pyrénées) et à Noguères, où la première usine du Marché commun est alimentée par une centrale thermo-électrique fonctionnant au gaz naturel de Lacq. La chimie de base