Salinisation

milieux très souvent endoréiques. De par le drainage déficient et l'extension des surfaces irriguées vers les parties basses du paysage et le nombre élevé de puits illicites, ces milieux sont confrontés à de graves problèmes d’hydromorphie et de salinisation des sols qui mettent en cause leur pérennité (Mtimet et Hachicha, 1995). LA GESTION DE L’EAU ET DU SOL Les principaux aquifères du Sud sont des nappes fossiles dont le taux de renouvellement ne dépasse pas 15 % des prélèvements qui sont de

chimiquement un sel ou un ester de l'acide phosphorique, résultant de la combinaison avec une base. Salinisation : c'est une accumulation de sels solubles à la surface ou en dessous de la surface des sols, à des niveaux nuisibles pour la croissance des plantes et/ou les sols. Elle est due à l'évaporation de l'eau qui laisse sur place les sels qui étaient dissous dans l'eau. La salinisation est le résultat de l'ascension capillaire des eaux souterraines salines ou de l'irrigation avec des eaux

présente un réseau hydrographique dense formé de cinq (5) grandes rivières (Massacre, Canary, Sable, Jassa, Lamatry). Ces cinq (5) rivières présentent des débits allant de 0.080m³/s à 4.624m³/s et peuvent faire l’objet d’utilisations sans problèmes (salinisation) pour l’agriculture d’après des analyses physico-chimiques. On a effectué des analyses sur trois (3) puits de la plaine et du point de vu microbiologique, l’eau de ces puits n’est pas de très bonne qualité dans 33.33% des cas à cause de la pollution

rongeait les briques de fondation des maisons. 1.3.2. Impact social Cette salinisation d'eau entraîne des maladies cérébrales et cutanées pour ceux qui la consomment à cause de sa pauvre teneur en iode. Les personnes qui récoltent le sel dans le lac mer le font sans protection. Ils doivent s'enduire de beurre de Karité pour diminuer les effets nocifs. 1.3.3. Impact économique À cause de la forte salinisation des terres, la pêche qui est une des premières activités économiques du pays

nouvelle a profondément modifié les réflexions : dans le Punjab, là où la Révolution Verte avait commencé 20 ans auparavant, des signes inquiétants de plafonnement des5 rendements étaient visibles. Très vite, les causes en ont été analysées : salinisation des sols due à l'excès d'utilisation des eaux d'irrigation issues des nappes phréatiques, réduction des doses d'engrais due à l'accroissement des prix (résultant lui-même de la baisse des subventions aux engrais imposée par les politiques

bassin de la mer d’Aral. Des affluents mineurs ont cessé de contribuer au débit des deux fleuves et la faible efficacité de l’irrigation imputable à la perméabilité des canaux, faute de revêtement et de drainage, a conduit à l’engorgement et à la salinisation de 40 % des sols. Les experts soviétiques étaient conscients de la nécessité de compenser les pertes d’eau causées par ce pompage excessif et la conquête des terres vierges devait s’accompagner d’un projet de détournement des fleuves sibériens

m3/an (graph 2) 2,7 M eau de surface 2,1 M eau souterraine * Inégalement répartie : 0,3 % des ressources totales au sud contre 92 % au nord, on a de plus un plus forte salinisation des eaux au sud qu’au nord (graph 3) * Salées : 74% des eaux de surface ont une salinité de moins de 1,5 g/l 20 % seulement des eaux souterraines ont une salinité de moins de 1,5 g/l Ainsi seuls 54 % des ressources en

d’origine continentale amenée par le fleuve Fiherenana et à l’accroissement des rejets polluants urbains (domestiques et industriels) de Toliary, une ville côtière à forte croissance démographique. Les principaux problèmes y rencontrés sont la salinisation des sols et l’extension de grandes surfaces dénudées généralement stériles. La sédimentation est d’autant plus spectaculaire en saison des pluies, pendant laquelle le débit des cours d’eau peut atteindre 3.000 à 4.000 m3/s contre 40 à 60 m3/s

biologique liés à la destruction irréversible de milieux et d'espèces.De plus cela pourrait entraîner un risque de pollution grave due aux agricultures périurbaines utilisant intensivement les engrais chimiques et les pesticides et un risque de salinisation des sols, dû à l'irrigation, et risquant d'entraîner une baisse des rendements et même la stérilité des sols. D'autre part des problèmes économiques avec l’investissement massif de l’Etat dans la révolution verte qui a été remis en

communautés habituées à consommer du poisson et autres produits marins. Le secteur agricole a été affecté par des pertes en vies humaines, mais aussi par des pertes de récoltes (particulièrement de riz), de productivité des terres causée par la salinisation et aussi des pertes de bétail. Le riz étant le principal aliment consommé dans les pays touchés, et comme la récolte principal de riz a été faite avant le tsunami, tout a été ravagé. Les animaux de ferme ont été tués, les plantations agricoles