Salpêtrière

cet espace est largement mythique. b) Le contexte historique (La Régence : 1715-1723). Les déportations de prostituées en Louisiane : Dans ce roman, l'auteur s'inspire de la déportation, en 1719, de 180 filles de la prison Saint-Martin et de la Salpêtrière vers La Nouvelle- Orléans. 2. Le réalisme sociologique : a) La vie quotidienne. Les noms propres sont vraisemblables, certains sont même réduits à une initiale comme si l'auteur voulait masquer leur identité (ce qui suppose que ces personnages ont

philosophie. Il fait la connaissance, en 1882, de Martha Bernays (qu'il n'épousera qu'en 1886). En 1885, il est nommé Privatdozent en neuropathologie. Ayant obtenu une bourse d'étude (en 1885), il se rend à Paris où il va travailler avec Charcot à la Salpétrière pendant un an. Charcot travaille sur l'hystérie et utilise l'hypnose. En 1886, il ouvre son premier cabinet médical à Vienne comme spécialiste des maladies nerveuses mais s'aperçoit que les connaissances apprises à l'Université sont de peu d'utilité

polytechnique, centrale Paris…. En 1793 il est nommé par décret médecin des aliénés de Bicettre sur proposition de Cabanis. A Bicettre il observe le travail de Jean Baptiste Pussin, gardien à Bicettre, ancien patient. En 1795 il est nommé médecin chef à la Salpêtrière et JB Pussin le suit et en 1801 il écrit traité médico philosophique. Dans un premier chapitre il critique les idées que l’on se fait de la folie et surtout la manière de gérer cette folie. Dans un second temps il annonce ce qui va faire

avant tout : " La meilleure façon de comprendre la psychanalyse est encore de s'attacher à sa genèse et à son dvlpmt." Démarche expérimentale. Il ne trouve pas la cause des symptomes ( en tant que medecin ) en 1885 il fait un stage à la salpêtrière avc Jean Martin charcot qui est un medecin qui guerirait les patient (dont les autres medecins sont desenpares) par l'hypnose. il reçoit des personnes: rétissement du corp, pause extravagante, malaise, cris, pleures, rires bruillant, attitude

sont caractérisés par la référence centrale à la pathologie mentale, et à l’étude des fonctions psychiques normales. - Charcot, le plus grand neurologue de son époque (1870). Il découvre l’hystérie et étudie l’hypnose à l’hôpital de la Salpêtrière. - Bernheim, professeur de clinique médicale à Nancy (1883). Pour lui, l’intérêt majeur de la suggestion est dans ses possibilités thérapeutiques. - Ribot, fondateur de la psychologie scientifique française. Pour lui, fut créée en 1887

10- Combien de temps DG reste-t-il emprisonné ? comment se libère-t-il ? 11- Lors d’une visite de Tiberge, DG fait un grand discours dans lequel il parle de l’amour. A quoi le compare-t-il ? 12-Qui permet à DG de rendre visite à Manon à la Salpetrière ? 13- Qu’advient-il au frère de Manon à la fin de la première partie ? EL 2 (ORAL BAC) : "Une tromperie comique" p 78-80, de L1703-1732 III. Seconde partie. Du bonheur retrouvé à l’embarquement pour l’Amérique. p 125 à 201 1-Où s’installe le couple

notamment traduits par les comportements libertins des deux personnages. Montesquieu aurait même indiqué, après avoir lu le livre en 1734 : “Je ne suis pas étonné que ce roman, dont le héros est un fripon et l’héroïne une catin qui est menée à la Salpetrière, plaise, parce que toutes actions du héros, le chevalier des Grieux, ont pour motif l’amour, qui est toujours un motif noble, quoique la conduite soit basse”.

développe pour mettre au point des tests sérologiques chez des patients infectés. (Ce sont ces tests qui seront commercialisés en 1985). La collaboration s’étend bientôt à des immunologistes (Jean-Claude Gluckman et David Klatzman, de l’Hôpital Pitié-Salpêtrière) et des médecins, comme le Dr Vilmer (de l’Hôpital Necker), ce qui permet de démontrer que les lymphocytes T CD4 ( également appelés lymphocytes T auxiliaires, sont un genre différent des autres lymphocytes T, non cytotoxique c'est-à-dire non toxique

d'André Téchiné Les Sœurs Brontë (1979). Fauché par la camionnette d'une entreprise de blanchissage alors qu'il se rend au Collège de France, le 25 février 1980, Barthes meurt des suites de cet accident le 26 mars suivant à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris. Il est enterré auprès de sa mère, décédée en 1977, dans le cimetière d'Urt au Pays basque. Son journal a été publié de manière posthume. Son homosexualité y est évoquée. Roland Barthes est en outre le modèle d'un des personnages d'André

Sierra-Leone, l'épouse d'un des plus grands seigneurs d'Espagne. Elle se vengeait de lui de cette façon terrible, en souillant son honneur, car il avait fait tuer l'homme qu'elle aimait de l'amour le plus pur. Consumée par cette vie, elle mourut à la Salpêtrière.