Saltimbanque

première femme : Fernande Olivier, une artiste peintre qui deviendra une de ses muses. Le couple profite d’une jeunesse faite de fêtes, d’excès, de voyages et rencontres. Avec ses amis, Picasso va aller au cirque et s’en inspirer. Il peindre des saltimbanques, ou encore des acrobates. C’est le début de la période rose. Les thèmes abordés restent mélancoliques et dominés par les sentiments mais on sent tout de même un apaisement dans les peintures. « La Célestine", est un tableau toujours sinistre. Mais

atelier de Montmartre, au Bateau-Lavoir. C’est devant cet atelier que Picasso rencontre Fernande Olivier. Avec elle, il fréquente Gertrude Stein, Guillaume Apollinaire. Cette époque heureuse marque le début de sa période rose avec ses peintures de saltimbanques, aux couleurs adoucies. En 1907, Picasso travaille à la composition des Demoiselles d’Avignon. Il se rapproche de Georges Braque. Ensemble, ils se consacrent à la formulation du cubisme. C’est alors qu’en 1917 les Ballets russes lui proposent

mis sur la beauté presque irréelle des démons, appuyée par les expressions « visages étranges » (l.24) et « beauté fatale » (l.25). Et dans « Le Vieux Saltimbanque », on note un net contraste entre l’univers de fête de la ville, marqué par l’expression « Tout n’était que lumière, poussière, cris, joie, tumulte » (l.36), et l’attitude du saltimbanque, qui inspire la pauvreté et la tristesse (« misère absolue » (l.55) ; « douleur » (l.80)). On peut donc dire que dans ces quatre poèmes, qui traitent

s'affirme comme un nouveau meneur. Le soir, il rend le plan complété par ses soins à Meaulnes. Après leur avoir fait juré un serment étrange, il leur donne l'adresse d'Yvonne à Paris. -Au printemps, au cours d'un spectacle donné par les deux saltimbanques, le jeune bohémien révèle sa vértitable identité : il enlève son bandeau, il n'est autre que Frantz de Galais! Malheureusement, le lendemain, les bohémiens ont disparu ; Meaulnes perd ainsi l'espoir de retrouver le sentier perdu et une semaine

qu’elle suscite le rire de ses camarades. Le deuxième texte appartient au mouvement du romantisme qui peint la misère et les injustices sociales à l’époque. Bien répandu au XIXème siècle, Gwynplaine est victime des foires et des saltimbanques. Dans un cadre spatial ruelle et parisien, la violence est tout d’abord évoquée une dis figuration du visage afin de gagner l’attention d’une audience et son rire. Ainsi, Hugo défile une scène humoristique par la réaction du spectateur envers le

-Comment le langage ordinaire, quotidien, est-il poétisé ou transfiguré par les images? Donnez un exemple pour chaque figure de style de la comparaison, métaphore ; personnification et allégorie. -Relevez quelques effets rythmiques dans « Le vieux saltimbanque » et le Confiteor de l’artiste » · La ville de ParisRelevez quelques références à des lieux parisiens du quotidien, puis quelques situations ou anecdotes du quotidien · Le Spleen et l’Idéal: Etudiez

| XIV. Le Vieux Saltimbanque | Un homme (« je ») voit une scène de fêtes peuplés de gens du monde et de fanfarons. Il est distant de la scène, et voit isolé des autres saltimbanques, un ancien de ce métier, seul et attristé. Thème de la solitude, de la misère (le « pauvre saltimbanque » qui forme un contraste par rapport aux joies du peuples en fête. | Récit. Texte narratif et descriptif (description de la foule de gens et du « Vieux Saltimbanque »). | Là encore Baudelaire

bénévolat...) d'où l'importance des intentions. Cabale des dévots oblige Molière a censuré Tartuffe. II) Le contexte théâtral A Paris, il n'y a que trois salles pour quatre troupes, plus Versailles. Comédiens et les dramaturges ne sont que des saltimbanques (jongleurs, etc.) puisque le conservatoire n'apparaît qu'au XXème siècle. La farce, la comédie et la tragédie sont les trois genres théâtraux dominant de l'époque. Les codes du théâtre classiques sont les trois unités (temps, lieux et action)

strophes de longueur inégale qui comportent chacune une unité narrative.) ; le mètre utilisé est le plus souvent le décasyllabe ; les vers étaient assonancés. Le poème était récité par un jongleur qui s'accompagnait d'un instrument de musique ; des saltimbanques mimaient les scènes racontées. La poésie lyrique domine la production littéraire du début du XIIème siècle : les troubadours et les trouvères chantent des chansons d'amour. L'amour et la nature sont les thèmes privilégiés de ces poèmes composés

heureux, insouciant Je croyais jouer au brigand Nous avions volé le trésor de Golconde Et nous allions, grâce au Transsibérien, le cacher de l’autre côté du monde Je devais le défendre contre les voleurs de l’Oural qui avaient attaqué les saltimbanques de Jules Verne Contre les khoungouzes, les boxers de la Chine Et les enragés petits mongols du Grand-Lama Alibaba et les quarante voleurs Et les fidèles du terrible Vieux de la montagne Et surtout contre les plus modernes Les rats d’hôtels