Saltimbanque

dire ce que personne d’autre ne disait. Là le rire permettait la distraction des plus nobles. Quelques échelons sociaux plus bas on pouvait trouver certains plus doué que d’autres et qui avait fait du rire leur métier. Je parle là du métier de saltimbanque, à l’époque celui-ci consistait à amuser la galerie lors des fêtes, foires et autres marchés. De nos jours les personnes adoptant ce métier sont plus communément appelées des humoristes. Ils remplissent des salles de spectacle entières en mettant

I - Conditions de l’artiste : entre efforts et incertitudes a) Un travail incessant b) Des efforts ne garantissant pas le résultat c) L’image du sculpteur II - Poème évasif a) De douloureuses incertitudes b) Le poème saltimbanque c) Une condition à laquelle l’artiste ne peut échapper d) L’artiste, détruit par sa quête d’absolu III - Un espoir représenté par la mort a) Un objet mystérieux, l’œuvre en tant que symbole accessible b) La mort apparaît comme solution mais

laissait donc la culture seulement à la portée du clergé, de la noblesse ou de la haute bourgeoisie. Les femmes ne pouvaient pas non plus lire tous les ouvrages car certains leur étaient interdits. Molière, à ses débuts, eu donc l’idée d’imiter les saltimbanques et de jouer sur des tréteaux, sur une petite scène installée dans la rue. Il y jouait tous les soirs. Il jouait bien sûr des petites comédies au début, puis il commença à écrire de plus grosses pièces et finit par devenir très célèbre. Mais il

tonalités bleutées et verdâtres ont incité les historiens de l'art à inventer le terme de « période bleue ». Paris. Période rose (1904-1907) A la période bleue succède la période rose, où les thèmes abordés sont le cirque, les danseuses, les saltimbanques. Picasso, installé au Bateau-Lavoir, à Montmartre, rencontre Guillaume Apollinaire, qui commente ses œuvres. Plusieurs collectionneurs commencent à acquérir ses toiles, notamment le Russe Chtchoukine, et l'Américaine Gertrude Stein, dont l'artiste

langue espagnole, a était écrit par le romancier Gabriel Garcia Marquez en 1965. L’histoire se passe sur une période d’environ cent ans. Le cadre en est un pauvre petit village quasi abandonné de tous, sauf de quelques marchands arabes et des saltimbanques. Le roman relate l'histoire de Macondo, un village perdu dans la jungle colombienne et condamné à Cent ans de Solitude que Márquez utilise pour nous narrer l'histoire de la famille Buendía sur prés de sept générations. Poussée à vivre cent ans

Valentin Sardou, acteur comique de music-hall. Il passe une bonne partie de son enfance à suivre ses parents en tournée et dans le quartier Pigalle à Paris. A la suite d'une fugue qui tourne mal, son père lui impose de faire « sérieusement » le saltimbanque en prenant dans son cabaret un poste de serveur-artiste (il exécute des numéros d'imitation de Johnny Hallyday et des sketches de son père). Il se produit ensuite dans les cabarets de la Butte Montmartre (Le Tire-Bouchon, Chez Patachou). Rose

écrivain américain ayant publié de nombreux romans traduits dans plus de douze langues1. Il a écrit plus de 140 romans, plusieurs nouvelles, des travaux, dont certains sous les pseudonymes Morton Rhue et T. S. Rue. Il a eu une période de vie de saltimbanque en parcourant l'Europe, puis il a fait des études de littérature. Il est devenu journaliste, Il a écrit de nombreux romans primés, pour jeunes adultes et pour adolescents. Il choisit des sujets à controverse comme le nazisme, les tourmenteurs

L’histoire d’une de mes folies. Depuis longtemps je me vantais de posséder tous les paysages possibles, et trouvais dérisoires les célébrités de la peinture et de la poésie moderne. J’aimais les peintures idiotes, dessus de portes, décors, toiles de saltimbanques, enseignes, enluminures populaires ; la littérature démodée, latin d’église, livres érotiques sans orthographe, romans de nos aïeules, contes de fées, petits livres de l’enfance, opéras vieux, refrains niais, rythmes naïfs. Je rêvais croisades

méthodes d’entraînement ne sont-elles pas semblables aux méthodes d’autres disciplines dîtes plus « classique » de la sphère sportive ? Venons-en maintenant au spectacle lui-même. Celui pour lequel tous ces efforts ont été fournis. Ces athlètes-saltimbanques, ne ressentent-ils pas, avant d’entrer en piste cette boule au ventre que nous autres sportifs avons tous ressentis ? Ne sont-ils pas les étoiles d’un show donnant du bonheur à des spectateurs en quête de divertissement, à l’image de footballeurs

L'histoire d'une de mes folies. Depuis longtemps je me vantais de posséder tous les paysages possibles, et trouvais dérisoires les célébrités de la peinture et de la poésie moderne. J'aimais les peintures idiotes, dessus de portes, décors, toiles de saltimbanques, enseignes, enluminures populaires ; la littérature démodée, latin d'église, livres érotiques sans orthographe, romans de nos aïeules, contes de fées, petits livres de l'enfance, opéras vieux, refrains niais, rythmes naïfs. Je rêvais croisades