Saltimbanque

lointaine région Pakistan actuel, autour de Karachi. Le peuple des "Roma" formait une caste "impure" et ne pratiquait que certains métiers spécifiques, tels que bouchers, tanneurs, bûcherons, fossoyeurs, éboueurs, chiffonniers, ferronniers ou saltimbanques. Habiles musiciens, ils sont envoyés par leur Sultan vers l'an 900 pour aller divertir le Roi de Perse (l'Iran actuel), qui est l'un des hommes les plus puissants de son époque. Les Roms se trouvent si bien en Iran qu'ils décident d'y rester. Refusant

en province (1648-1658) Après l'échec de la création d'une salle de théâtre à Paris, Molière n'abandonne pas ; il rejoint les Béjart, une troupe itinérante, celle de Dufresne. Pendant treize ans, Molière et ses amis mènent l'existence des saltimbanques (jongleurs qui font des tours en public) passant de ville en ville, dans le sud de la France : de la Guyenne au Languedoc, en remontant jusqu'à Lyon, En 1650-1651 ils jouent devant le prince de Conti (titre de noblesse français, porté par les branches

o personnification avec utilisation répétée de « il…il ». o Création d’une existence humaine: "sa jeunesse", "son adolescence", o Attribution de caractéristiques physiques: "poils", "bras", "mains", "corps" , Arbre comparé à un saltimbanque: o métaphore de l'acteur = au centre d’un "amphithéâtre" naturel, au creux des "gradins"= montagne o métaphore du danseur o métaphore du jongleur, "il jonglait avec des balles multicolores ", "ses cent mille mains c) L’arbre identifié

longue date que Marc peut dire ce qu’il pense, sans se gêner. – Analyse du document 1 : extrait de L'Homme qui rit, Victor Hugo Document 1 Idée 1 : constat : succès du rire Succès de Gwynplaine : les spectateurs rient à gorge déployée lorsque ce saltimbanque « tête de Méduse gaie » se produit devant le public. Idée 2 : pourquoi le rire ? La raison de l’hilarité générale est le visage de Gwynplaine, sa physionomie exprime une joie perpétuelle, un rire figé. Idée 3 : qui fait rire ? (les acteurs du rire)

volets? Sentant ta bourse à sec autant que ton palais, Récolteras-tu l'or des voûtes azurées? Il te faut, pour gagner ton pain de chaque soir, Comme un enfant de choeur, jouer de l'encensoir, Chanter des Te Deum auxquels tu ne crois guère, Ou, saltimbanque à jeun, étaler tes appas Et ton rire trempé de pleurs qu'on ne voit pas, Pour faire épanouir la rate du vulgaire. Sed non satiata Bizarre déité, brune comme les nuits, Au parfum mélangé de musc et de havane, Oeuvre de quelque obi, le Faust de

premier tableau de la série qui se nomme « La mort de Casagemas ». Puis entre 1904 et 1907, la couleur qui domine est la teinte « rougée », c’est la période rose. Il représente la joie mais aussi la mélancolie et l’amour. Il peint notamment « Les saltimbanques » et « Les trois hollandaises ». Avec Georges Braque notamment, il développe le cubisme synthétique à partir de 1907 et introduit divers matériaux dans ses toiles (sable, papier, tôle, bois...). Les œuvres sont caractérisées par la géométrie

père artiste de cirque itinérant et d'une mère chanteuse de rue, Edith Gassion vit une enfance misérable, d'abord brinqueballée entre ses grand-mères avant de finalement rejoindre son père à la fin de la guerre et de commencer avec lui une vie de saltimbanque. Elle découvre alors progressivement le pouvoir de sa voix sur le public et dès l'âge de 15 ans elle décide de tenter sa chance seule dans les rues de la capitale, interprétant de façon instinctive les grands succès des chanteuses réalistes à la

‘’Le voyageur’’ (page 16), ‘’Marie’’ (page 18), ‘’La blanche neige’’ (page 19), ‘’Poème lu au mariage d’André Salmon’’ (page 19), ‘’L’adieu’’ (page 20), ‘’Salomé’’ (page 21), ‘’La porte’’ (page 21), ‘’Merlin et la vieille femme’’ (page 22), ‘’Saltimbanques’’ (page 24), ‘’Le vent nocturne’’ (page 25), ‘’Lul de Faltenin’’ (page 25), ‘’La tzigane’’ (page 27), ‘’L’ermite’’ (page 27), ‘’Automne’’ (page 30), ‘’L’émigrant de Landor Road’’ (page 30), ‘’Rosemonde’’ (page 34), ‘’Le brasier’’ (page 34), ‘’Nuit

Clotilde (page 13), Cortge (page 14), Le voyageur (page 16), Marie (page 18), La blanche neige (page 19), Pome lu au mariage dAndr Salmon (page 19), Ladieu (page 20), Salom (page 21), La porte (page 21), Merlin et la vieille femme (page 22), Saltimbanques (page 24), Le vent nocturne (page 25), Lul de Faltenin (page 25), La tzigane (page 27), Lermite (page 27), Automne (page 30), Lmigrant de Landor Road (page 30), Rosemonde (page 34), Le brasier (page 34), Nuit rhnane (page 38), Mai (page 40), La

C’est aussi le poète belluaire qui révèle au grand jour le déguisement du singe : il « déchira cette peau comme on déchire un linge, / Mit à nu ce vainqueur ». La répétition du verbe « déchirer » et le mot « linge » nous ramènent au thème du saltimbanque : cette peau n’est qu’un oripeau de montreur de foire, facile à retirer. En outre, évoquant ce dévoilement Hugo en précise les moyens : l’ironie. C’est au moment où il est découvert et humilié que le singe est désigné comme « ce vainqueur ». La