Saltimbanque

Victor Hugo, L'homme qui rit, II, 1 (1869) A la fin du XVIIIe siècle, un jeune lord est enlevé sur ordre du roi et atrocement défiguré, la bouche fendue jusqu'aux oreilles. Il est recueilli par Ursus, un philosophe saltimbanque… La nature avait été prodigue de ses bienfaits envers Gwynplaine. Elle lui avait donné une bouche s'ouvrant jusqu'aux oreilles, des oreilles se repliant jusque sur les yeux, un nez informe fait pour l'oscillation des lunettes de grimacier, et un visage qu'on ne pouvait regarder

intelligent, vif et curieux. Eustache : trouvère, ami d’Amaury. Lisa : funambule dont Amaury va tomber amoureux. Baldr : il va servir de modèle pour la statue qu’Amaury doit sculpter ; personnage mystérieux, qui va s’avérer être le mage de la troupe de saltimbanques de Lisa mais aussi le père de Nicolas. (adjuvant) Grégoire de Croy : Echevin d’Amiens (adjuvant : soutient Amaury ; il a confiance en lui) Chanoine Clari : représentant de l’évêque. (opposant : soupçonne Amaury d’être coupable des meurtres) Adèle

l’alcool. Comme dans le poème « Saltimbanques », il va écrire ce poème en 1901 et 1902 durant son voyage en Espagne. Ce poème évoque de nombreux thèmes avec l’évocation des tziganes et donc le voyage et l’errance. Dés la première strophe, on peut voir le thème de l’errance dés le premier vers avec «Dans la plaine les baladins » qui signifie qu’ils n’ont aucune limite avec l’infinité de la plaine. Puis au vers 3, il y a l’évocation « des auberges grises » où les saltimbanques s’arrêtent pour y boire de

Etude d’une œuvre intégrale : Guillaume Apollinaire, Alcools Anthologie poétique : « La Nature spontanée » -Automne malade -Le vent nocturne -Les saltimbanques -Les sapins G.Apollinaire Préface : Voici une anthologie de quatre poèmes, tous venant de « Alcools », recueil de poèmes de Guillaume Apollinaire. Ils traitent tous le thème de la nature. Guillaume Apollinaire (1880-1918) est un poète et écrivain français, l’un des plus reconnus. Une de ses œuvres les plus connues : le

Explication linéaire n°1 : Le portrait de GwynplaineMouvements du texte :1- le talent du saltimbanque : un véritable don et un succès fou (l. 1 à 8)2- un rire automatique, un rire inhumain (l.9 à 19)3- un rire tragique (l.20 à la fin)Explication linéaire :1- le talent du saltimbanque : un véritable don et un succès fou (l. 1 à 8)Gwynplaine était saltimbanque. Il se faisait voir en public. Pas d’effet comparable au sien. Il guérissait les hypocondries rien qu’en se montrant. Il était à éviter pour

la personnification réprésente une chose ou un animal sous les traits d'une personne. ex : Le piano solitaire se plaignit. - la réification transforme un humain en objet. ex : Je vis un pauvre saltimbanque, voûté, caduc, décrépit, une ruine d'homme. ( Baudelaire, Le Spleen de Paris, "Le vieux saltimbanque" ) - la prosopopée donne la parole aux morts, à la nature ou encore aux objets. ex : "Elle me dit: "Je suis l'impassible théâtre Que ne peut remuer le pied de ses acteurs;" ( Alfred de Vigny

écrit au bord du Rhin en 1902 et dont les vers sont imprégnés par le sentiment de l’irrévocable : le poète était assuré de la vanité de sa passion pour Annie Playden au moment où il mettait le plus de fougue à la conquérir. Le poème fait écho à "Saltimbanques", tous deux suggérant le voyage et l'errance. L’automne Ce poème, paru pour la première fois dans la revue “La plume” du 15 juin 1905, apparemment impersonnel et descriptif, est en fait personnel car c’est une chanson de l’amour déçu. L'automne

visiblement inspiré par les deux tableaux de Picasso: "Famille de bateleurs" et "Famille de Saltimbanques". Ce poème est dédié à Marie Laurencin qui était une jeune peintre avec qui Apollinaire a eu une liaison tumultueuse. C'est un poème assez classique dans sa composition (5 quatrains à vers octosyllabes). Ce poème va représenter une scène de genre qu'on pourrait qualifiée de spectacle de Saltimbanques. Cepoème peut s'avérer assez hermétique par les images qu'il propose ainsi que par son lexique

qu’il dessine pour certains spectacles. Mais le monde du spectacle, celui du cirque particulièrement, est avant tout pour Chagall une source d’inspiration intarissable. Le Cirque bleu apparaît donc emblématique d’une œuvre où acrobates, clowns et saltimbanques reviennent de manière récurrente. Le marchand d’art Ambroise Vollard met à sa disposition une loge au Cirque d’hiver ; Chagall peut nourrir sa fascination pour le cirque et réalise en 1927 plusieurs gouaches sur le sujet, dont il tirera bien plus

une heure du matin » où l'homme dit « Horrible ville ! » nous ne sommes pas non plus persuadés qu'il s'agisse de la capitale ; « Les veuves », poème dans lequel Baudelaire cite « la musique des régiments gratifie le peuple parisien » ; « Le vieux saltimbanque » où il est écrit, « je ne manque jamais, en vrai Parisien, de passer la revue de toutes les baraques qui se pavanent solennellement à cette époque » ; « Le crépuscule du soir », où on lit, « dans les labyrinthes pierreux de la capitale » ; supposément