Saltimbanque

mariée qui passe Le laid et le beau/Le sublime et le grotesque/ Le contraste (2) « Le thyrse » (32) : contraste entre la ligne droite et le sinueux Les êtres solitaires/La solitude « Les veuves » (13) ; « Le vieux saltimbanque » (14) : tendresse du poète pour lui (le saltimbanque, vieux et triste, se tient à l’écart d’une fête populaire) « Laquelle est la vraie ? » (38) : il enterre une femme qui représente l’idéal ; elle renaît toute petite et « canaille » ; son refus d’abandonner l’idéal «

mariée qui passe Le laid et le beau/Le sublime et le grotesque/ Le contraste (2) « Le thyrse » (32) : contraste entre la ligne droite et le sinueux Les êtres solitaires/La solitude « Les veuves » (13) ; « Le vieux saltimbanque » (14) : tendresse du poète pour lui (le saltimbanque, vieux et triste, se tient à l’écart d’une fête populaire) « Laquelle est la vraie ? » (38) : il enterre une femme qui représente l’idéal ; elle renaît toute petite et « canaille » ; son refus d’abandonner l’idéal «

d’être aimée « simplement » par ses enfants ou même sa famille. Un enfant ne peut soutenir sa mère comme un mari le ferait. On a également “Le vieux saltimbanque”, qui au milieu- même d’une fête ne trouve le moyen de se divertir. Justement grâce à cette image de fête et de foule, Baudelaire parvient à montrer l’isolement et le chagrin qu’éprouve le saltimbanque. Ce dernier se trouve en effet dans un monde qui ne lui plaît pas. Puis finalement “l’Horloge” dernier poème consacré au Spleen, présente une angoisse

remake du Costa Concordia, le gigolo allait se manger l’île Giglio si ça continuait comme ça! Vièch d’ase...! Bon c’est vrai, en ce début d’année il n’y eut pas que de mauvaises nouvelles en y regardant de plus prés. Souvenez-vous du départ du saltimbanque Depardiou hors de nos frontières alors qu’il était l’emblème de la viticulture Française vu la vitesse à laquelle il vidait les barriques dont il avait pris l’aspect par ailleurs. Pour justifier son geste, il déclarait qu’il ne supportait plus

Je vais te raconter l’histoire de son grand-père, le terrible Hassan El Mabrouk dont les exactions semèrent le trouble dans notre région »23. Le cinquième chapitre s’ouvre sur une analepse qui continue l’histoire du père et raconte l’épisode du saltimbanque et son ours « Oui, à l’apparition d’Omar El Mabrouk, nous fumes nombreux à nous remémorer les prédictions de cet étrange bohémien, mi-camelot, misaltimbanque»24. Le chapitre six, comporte un flash-back racontant l’enfance d’Omar El Mabrouk et un

forains, en filiation directe avec «Le Vieux saltimbanque » de Baudelaire. On n'y retrouve l'affirmation d'une analogie profonde entre le poète et le saltimbanque, et plus largement entre le monde social et un cirque ou une baraque de foire. Sur ce même thème voir également « L’orphelin » (1864) repris en 1891 sous le titre « Réminiscence » : ce poème met en scène un « enfant avec tristesse pressentant le Poëte », à cet enfant triste, un jeune saltimbanque en maillot lui révèle que « des parents sont

Landor road, la Dame, Mai, et tous les poèmes d’inspiration rhénane), le cycle de Marie (Zone, le Pont Mirabeau, Marie, Cors de chasse), le cycle des poèmes élégiaques (la maison des morts, Automne malade, les colchiques, Crépuscule, marizibill Saltimbanques, Le Vent nocturne, La Tzigane, Automne), Les Rhénanes (suite de 9 poèmes: « Nuit rhénane » jusqu’à « Les Femmes »), les arts poétiques (le Brasier, Cortège, Vendémiaire, Zone)III- Le thèmes du recueilLa mort, l’automne, la fuite du temps, le souvenir

les même mots, s’intercalent entre les paragraphes principaux « Mon âme ne répond pas […] Mon âme reste muette […] Mon âme serait-elle morte? » Ainsi Baudelaire donne un rythme à ces poèmes, parfois trépidant à l’aide d’hypotaxe comme dans Vieux Saltimbanque (XIV) « Il ne riait pas le misérable! Il ne pleurait pas, il ne dansait pas, il ne gesticulait pas, il ne criait pas » ou d’autres fois des rythmes plus mélodieux par des rythmes ternaires tel que dans Le confiteor de l’artiste (III) « sans arguties

non-voyants (aveugles) - Il est décédé (il est mort)| GRADATION n.f.|Succession de mots ou d'expressions de sens voisins et dont l'ordre traduit une progression croissante ou décroissante|- elles piaillaient, beuglaient, hurlaient.   Le Vieux saltimbanque[->4] de Baudelaire[->5]| HYPERBOLE n.f.|Exagération dans le choix des mots|- Un bruit à réveiller un mort| IRONIE n.f.|Dire le contraire de ce que l’on pense|- C’est malin ! (c’est idiot) - Surtout ne te presse pas !| LITOTE n.f.|Utilisation

poète de la même manière que le feront Lamartine et Hugo : Ancré dans son temps. -Voila pourquoi Gautier, dans ce corpus, semble marginal. Il prône en effet l’art pour l’art et l’intemporalité de l’oeuvre poétique. Le poème en prose : Le vieux saltimbanque : intro : Charles Baudelaire,poète à mi-chemin entre le romantisme et le symbolisme, dont l’enfance a forgé le caractère cynique, endosse tout le long de son oeuvre ( ref bénédiction et Albatros ) l’image du poète maudit. La misère, les critiques