Samuel Beckett

théâtre de l'absurde est l'image même de ces questionnements, des questionnements qui remettent en question dans ce contexte d'après guerre toutes les idées et conceptions déjà existantes avant. Les auteurs les plus connus sont Ionesco , Adamov ou Beckett. Mais comme tout genre qui se respecte, le théâtre de l'absurde n'échappe pas à la règle et possède ses propres caractéristiques, mais aussi ses propres idéaux ainsi que des valeurs qui lui sont singulières...  Ainsi, cette multitude de facteurs

Par ex. pour Hugo la mission de l'art => « réveiller le peuple », c'est-à-dire de le sortir de la torpeur où le maintiennent le mensonge, la propagande, la peur, la lâcheté.... La littérature a souvent été utilisée par les auteurs afin d'exprimer leurs avis et souvent de dénoncer les injustices, les problèmes... III- Lorsque la littérature fait réfléchir : plaire et instruire Hugo, Voltaire et d'autres écrivains ont ainsi souvent eu l'idée éduquer leur lecteur, de le faire réfléchir

|Synthèse | Qui était Beckett ? A la question « Pourquoi écrivez-vous ?» posée par le quotidien Libération en 1985, Beckett répond : « Bon qu’à ca. ». De fait, l’auteur de Fin de partie compte parmi les écrivains les plus discrets du siècle. Saùiem Barclay Beckett est né le 13 Avril 1906 à Dublin, un village des environs de Foxrock. Il est issu d’une famille aisée et protestante. I fait ses études à Earlsford House School et obtient un poste de lecteur d’anglais à l’Ecole normale

C’est en 1952, lors de la remise en question de la condition humaine, que Beckett nous surprend avec la représentation de sa pièce, qui ne présente aucun sens, « En attendant Godot ». Dix en après, il met en scène « Oh les beaux jours ». On retrouve un vieux couples de personnages, Winnie et Willie, ainsi que la même simplicité dans le décor. Winnie est enfoncée jusqu’à la taille sur le haut de la colline tandis que Willie est caché, allongé derrière. Quelques accessoires tels qu’un sac et un parapluie

Fin de partie était la pièce préférée de Beckett. Il n’a pas dit pourquoi, mais on peut supposer qu’elle est l’œuvre qui représente le mieux son activité littéraire, ce qu’est l’ criture selon lui Ŕ davantage qu’En attendant Godot, pièce antérieure de huit ans, à propos de laquelle Beckett a affirmé avoir fait des concessions, afin qu’elle puisse être jouée à Paris, pour des raisons notamment financières. Aussitôt que l’auteur eut constaté, non sans une certaine surprise, le succès

En attendant Godot, écrit entre octobre 1948 et janvier 1949 (Birkett, 1987, p. 5) fut publiée en 1952 (Beckett, 1952, p. 125). La première mise en scène fut réalisée en janvier 1953 par Roger Blin au Théâtre de Babylone à Paris (Birkett, 1987, p. 10). À cette époque, les pièces absurdes ne furent ni comprises, ni définies car elles faisaient partie d’une forme de théâtre en train de développer de nouvelles conventions. Les pièces écrites selon ces nouvelles conventions furent considérées

Samuel Beckett, Fin de Partie « Associé, malgré son refus d’étiquettes, au théâtre dit de l’absurde, il est considéré comme un auteur dramatique phare dont les pièces renouvellent radicalement l’écriture théâtrale. » Grande famille de sujet : - Sur le titre : - La structure et l’organisation (Dans quelle mesure peut-on dire que le mouvement dramatique de fin de partie repose sur une action unique ?) - Peut-on vraiment parler d’action dans fin de partie ? (action est une intrigue

1) « Né retraité » ? Samuel Beckett naît dans la banlieue de Dublin en 1906, dans l’Irlande catholique. D’une famille protestante de la petite bourgeoisie aisée, il reçoit une éducation puritaine, nourrie de lectures de la Bible, qui développe chez lui une hantise du péché et de la culpabilité, autant qu’un dégoût profond pour tout ce qui touche le corps. Brillant élève, doué pour les langues (il apprend le français, l’italien, l’allemand), il découvre dès l’adolescence Pétrarque, l’Arioste

L’espace dans Fin de partie Introduction : l’espace un enjeu à part entière. Il fonde le sens de l’œuvre et présente le lieu à titre de question : « que faisons-nous ici, voilà ce qu’il faut se demander » EAG. « Tu sais une chose ? », « Je n’ai jamais été là » dit Hamm à Clov. Etre ici, être là, ce serait des preuves de notre inscription dans l’existence, être-là de Heidegger, dasein… Absence de Hamm = non-existence. I. UN LIEU CLOS ET VIDE 1. La claustration, l’incarcération, thème dominant

 1. Les noms donnés au théâtre de Beckett sont : "théâtre de l'absurde" "nouveau théâtre" "théâtre de dérision" 2. Le théâtre de l'absurde désigne "l'absence de sens logique de la condition humaine". Il l'a met en scène en rompant avec le théâtre bourgeois. Il entremêle le comique et le tragique ce qui rend le tout insolite, illogique, absurde. Le personnage sont des anti-héros, des marginaux ou des aliénés. Les textes, dialogues, sont pauvres ne riment à rien, car il n'y a rien. L'auteur