Samuel Labarthe

est en train de mourir. Un homme gris, fleurs de cimetière à la main, accroupi. L’Homme gris : Ma maman est morte Petite pause. Née en novembre Prénom Bernadette Petite pause. Une grande gigue Petite pause. Un mariage un électricien 299 BECKETT, Samuel, Comment c’est, Paris, Minuit, 1961, p. 80. 158 Pas d’échange rien la routine Petite pause.300 Contrairement à la profération de la parole par une seule voix monocorde, certains passages présentent des éclats de dialogue donnant des parcelles

prose au détriment de la poésie. Jusqu’à la fin du XVIIIe siècle, on parle effectivement de poésie et rarement de littérature quand il s’agit de l’aspect esthétique des œuvres écrites : Diderot disserte sur la poésie dramatique, non sur le théâtre, Samuel Johnson raconte des vies de poètes, non d’écrivains. Forme noble de l’expression littéraire, la poésie, fidèle à son étymologie, est la création par excellence. Ce qui n’est pas écrit en vers est considéré comme vulgaire et donc incapable de la dignité

01-15.618) La Cour : (...) Attendu, selon l'arrêt attaqué qu'en 1990, M. Samuel Beley, président du conseil d'administration de la société Établissements Beley et fils (la société Beley), a constitué, avec d'autres actionnaires de cette société, la société Financière Beley, dont il est également devenu président du conseil d'administration ; qu'au cours d'une « réunion de famille » tenue le 23 janvier 1993, M. Samuel Beley a proposé aux actionnaires de la société Beley de céder leurs actions à

Derrida (ENS). J.-T. Desanti (Paris I). E. de Fontenay (Paris I). M. Hocquet-Tessard (Doc. École normale, Bonneuil). V. Jankélévitch (Paris I). H. Joly (Université Grenoble). G. Kaléka (Lycée Pothier et IREM, Orléans). G. Labica (Paris X). Ph. Lacoue-Labarthe (Université Strasbourg). M.-L. Mallet (Lycée Récamier, Lyon). J.-L. Nancy (Université Strasbourg) . P. Ricœur (Paris X). H. Védrine (Paris I). F. Godet (Lycée technique Vauban, Courbevoie). B. Graciet (Lycée de l'Isle-Adam). Les États Généraux

nerfs trop tendus ne donnent plus que des vibrations criardes et douloureuses. »4, le processus de création d’art, les recherches du beau apparaissent enfin comme un véritable duel. Au terme de cette lutte, la quête du beau débouche sur 1 2 3 4 LABARTHE, Patrick, Baudelaire et la tradition de l’allégorie, Genève : Droz, 1999, p. 563. BAUDELAIRE, Charles, « Le confiteor de l’artiste », in Œuvres complètes, tome I, op. cit., p. 279. Ibid., p. 278. Ibid., p. 278. 80 la douloureuse impuissance

gare » et qui campe une Ilva vibrante, jamais perdante, à la fois romantique, violente, presque sauvage. Si le charmant chanteur Raphaël fait ses débuts de comédien, la belle et grande surprise du film s’appelle Laurent Couson. Les autres, Samuel Labarthe, Gilles Lemaire, Jacky Ido, ont su, eux aussi, se plier à la méthode Lelouch qui demande à ses acteurs une part d’improvisation. Bien sûr, on ne se refait pas. Lelouch en fait toujours un peu trop dans le foisonnement des sentiments, abuse parfois

liée aux incessants mouvements migratoires : c machine à égrener le coton inventé par Eli Whitney en 1793 ; c moissonneuse-batteuse par Mac Cormick en 1831 (brevetée en 1834) ; c alphabet Morse en 1838 puis télégraphe en 1844 par le même Samuel Morse ; c procédé de la vulcanisation en 1840 par Goodyear ; c l’ascenseur par Otis en 1854 ; c le téléphone par A.G. Bell en 1875 ; c le phonographe et la lampe à incandescence par Thomas Edison en 1878. 5. UNE CROISSANCE

de fer à partir de 1850, et plus tard à partir de 1870 et 1880, le charbon, le sel, la sidérurgie, les cordages, le whisky et le tabac, ont été régulés par des pools. Le trust est un mécanisme d’une légalité moins douteuse que le pool, imaginé par Samuel Dodd, principal conseiller du président John Rockefeller. Le trust désigne le transfert des titres détenus par les actionnaires de plusieurs entreprises à un petit nombre d’hommes de confiance (trustees) moyennant un certificat de dépôt. Il est étroitement

de fer à partir de 1850, et plus tard à partir de 1870 et 1880, le charbon, le sel, la sidérurgie, les cordages, le whisky et le tabac, ont été régulés par des pools. Le trust est un mécanisme d’une légalité moins douteuse que le pool, imaginé par Samuel Dodd, principal conseiller du président John Rockefeller. Le trust désigne le transfert des titres détenus par les actionnaires de plusieurs entreprises à un petit nombre d’hommes de confiance (trustees) moyennant un certificat de dépôt. Il est étroitement