Sans-culottes

l’instabilité et l’instauration d’une nouvelle dictature (II). [...] Le premier résidait dans le fort activisme persistant des mouvements populaires qui réclament une démocratie sociale idéale et dont on craint les insurrections (à l’image des sans-culottes qui, malgré leur dissolution n’avaient pas pour autant disparu et de leurs mouvements contre la Convention nationale). Le second provenait, quant à lui, de la menace royaliste et du possible appel à une contre-Révolution, même s’il faut souligner

deux partis qui s'opposent sont les girondins et les montagnards. Les sans-culottes parisiens vont intervenir dans le conflit... En Juin 1793, les sans-culottes envahissent la convention et force à voter l'arrestation des chefs girondins, et portent les montagnards au pouvoir. La Dictature de Salut public ( été 1793- été1794 ) Durant l'été 1793, lors de l'arrivée des Montagnards au pouvoir, soutenus par les sans-culottes des sections parisienne et le club des jacobins, les problèmes s'accumulent

remèdes à la disette. Des bagarres opposent jeunesse dorée et sans-culottes. Après une pose de quelques jours, le mouvement reprend entre le 27 et le 29 mars. Dans les faubourgs et dans les quartiers populaires on réclame du pain, la convention démocratique, la libération des patriotes et la réouverture des sociétés populaires. Le 1 avril au matin, les femmes provoquent des attroupements dans les boutiques et incitent les sans-culottes à se rassembler à Notre- Dame, bientôt rejointes par un flot de

Le peuple doit permettre de faire la Rév° mais n’est pas fait pour diriger un pays. Ils représentent la bourgeoisie d’affaires et éclairée. Ils sont partisans de la liberté (économique…) Robespierre et les Montagnards sont soutenus par les sans-culottes. Ils sont prêts à admettre des mesures exceptionnelles pour garantir l’égalité (restriction liberté). B- Le sort du roi : conflit et conséquences * La convention est divisée sur le sort du roi : Les Girondins préfèrent éviter un jugement du roi

Au lendemain du 10 aout 1792, la France n'a plus de gouvernement. Il s'agit d'une République sans constitution. Les sans-culottes, révolutionnaires issus du peuple, ont réussi à provoquer la chute de Louis XVI. Celle-ci provoque un événement capital : la création d'une commune insurrectionnelle, à Paris, dominée par les révolutionnaires les plus extrémistes. La nouvelle commune administre Paris, et elle seule, à la possibilité de recourir à la force armée. A la suite de ces événements, la nouvelle

inégalitaires entre les individus. 2. L’impulsion de la sans-culotterie En 1789, les petit-bourgeois, les petits-paysans et les sans-culottes se sont soulevés contre la féodalité. Dans un pays prospère, l’Etat était au bord de la faillite à cause des privilégiés qui refusent de consentir à l’égalité devant l’impôt. Les aspirations sociales des sans-culottes manquent de cohérence et de précision mais peuvent cependant être décrites. L’égalité est un thème majeur de revendication ; le moyen d’aboutir

politique moderne à l’Assemblée et la structuration droite /gauche, le glissement à gauche et radicalisation •des citoyens pas si passifs : l’importance des Clubs (ex couvents) où se forgent les idées et rôdent les discours, la rue et le mouvement sans-culotte -le faux semblant de la Fête de la Fédération (14 juillet 1790) cf. module -du faux semblant à la trahison : •la fuite de Varennes (20 juin 1791) : la monarchie discréditée ; pétition et manifestations, •Le double jeu et la déclaration de guerre

les Cordeliers. La monarchie constitutionnelle ne dura pas longtemps. En effet, la fuite du roi le 20 juin 1791 puis son arrestation à Varennes et son alliance secrète avec les autres monarchies d'Europe provoquent une agitation chez les sans-culottes. En plus des difficultés économiques et des défaites militaires, ces derniers assiègent alors le 10 août 1792 le palais des Tuileries; dans cette circonstance les députés votent alors l'arrestation du roi qui sera guillotiné la 23 janvier 1793, marquant

Le culot c'est oser des choses folle, vivre sa vie a fond sans reflechir au lendemain, dire ce que l'on pense, s'exprimer ouvertement sans gene, etre sois meme en toute sirconstance, etre grossier aimer vivre, parler fort, etre parfois hors la loi, OSER tout simplement, ne pas etre exploiter, le culot et pour moi sinonime de liberte, mais peut etre parfois ressentie par les autres comme etant une honte, ou quelque chose de scandaleux C'est ca le culot d'ou le mythe du bac pour repondre a cette question

présence d’une Contre-Révolution active à éliminer qui donne lieu à la Terreur. • Enfin, des mesures politiques sont prises, qui annoncent déjà la Terreur. Pour cela, les Montagnards s’appuient sur des activistes qu’il faut canaliser : les Sans-Culottes. En mars 1793 sont adoptés le Tribunal Révolutionnaire, les Comités de Surveillance et voté le délit d’émigration. Une dictature des comités est ainsi progressivement mise en place. Saint-Just, thermidorien, justifie même la Terreur par la “force