Sappho

habituellement, mais pas nécessairement, des relations sexuelles avec une ou plusieurs de ces personnes. »2 Chez les femmes, l'homosexualité est appelée lesbianisme (ou plus archaïquement saphisme). Les deux termes font référence à la poétesse grecque Sappho de l'île de Lesbos, où elle tenait un collège de jeunes filles, et dont les poèmes passionnés envers ses amies, et la vie entourée d'autres femmes, lui ont valu la réputation d'homosexuelle. On disait aussitribadisme, mot qui désigne, de nos jours

traductions françaises, anglaises et allemandes. http://philoctetes.free.fr/ Littérature et philosophie de la Grèce Antique Retrouvez sur ce site toute la littérature et la philosophie de la grecque antique à travers ses imminents auteurs comme Sappho, Eschyle, Sophocle, Euripide, Thucydide, Aristophane, Platon ou Aristote. http://www.memo.fr/article.asp?ID=ANT_GRE_022# EtudesLitteraires Méthodologie pour la rédaction du commentaire composé. http://www.etudes-litteraires.com/methode-commentaire-litteraire

de RUBYS, Histoire véritable de la Ville de Lyon, Lyon, Nugo, 1606. Mellin de SAINT-GELAIS, Œuvres complètes, tome II, édition revue et annotée par Prosper BLANCHEMAIN, Nendeln (Liechtenstein), Kraus Reprint, 1970, d’après l’édition de Paris, 1873. SAPPHO, Le Désir, Paris, Arlea, 1993. Maurice SCÈVE, Œuvres Complètes, Paris, Librairie Garnier, 1927. Maurice SCÈVE, Délie, objet de plus haute vertu, Paris, NRF-poésie Gallimard, 1984. Les Souhaitz des hommes et des femmes, Lyon. [Texte anonyme trouvé

ont été crues possibles au début des temps. Les poètes de l'époque ont imaginé ces figures de la puissance, de l'enchantement et de l'exaltation divines. La Grèce vivait confinée dans ses dieux : Zeus-Taureau ; l'Apollon d'Alcée, l'Aphrodite de Sappho, ou encore le Pélops de Pindare, implorant dans le danger le majestueux Poséidon. C'est à ce dynamisme même des évènements sacrés que perçoit le poète grec. Une caractéristique qui mérite d'être notée au passage, est qu'on ne trouve que rarement,

Le distique. Des poètes grecs très anciens, du VII° s. av.J.-C. environ, Callinos et Tirtée, ont composé des exhortations morales ; Solon a composé des distiques politiques ; Théognis (fin du VI° s. av. J.-C.) aussi ; tout comme l’illustre Sappho de Lesbos ; etc. Ce mètre devient rapidement celui de la passion amoureuse. Cette vocation du distique élégiaque va se confirmer avec la poésie de l’époque alexandrine (dominée par le grand centre culturel qu’est Alexandrie, en Egypte — Athènes

qu’il faisait référence et s’appuyait sur toute une tradition orale de poésie, que certains font remonter jusqu’au IIe millénaire av. J.-C. On possède aussi quelques fragments d’Archiloque, de Théognis de Mégare, de Mimnerme de Colophon ou encore de Sappho. On peut encore citer Tyrtée, Sémonide et Callinos, ou encore Solon le célèbre législateur athénien. B.LA POESIE DE COUR : DU MOYEN AGE AU 18 SIECLE La cour a joué un rôle grandissant dans la vie intellectuelle. La place des poètes y est reconnue

être chanté ou dit avec accompagnement de musique (généralement composé en 7 strophes de 5 vers en décasyllabes. Par extension, une ode est un poème célébrant un personnage ou un événement.Poètes antiques célèbres pour ce type de poème : - en Grèce, Sappho, Pindare- à Rome, Horace (imitant les lyriques grecs) au XVIème siècle (Renaissance) Ronsard, appliquant le programme fixé par la Pléiade dans la Défense et illustration de la langue française , introduit ce terme

frère de Circé et » ; 111,1,2 « Minos épousa Pasiphaé, fille du Soleil et de Perséis »). Sur le plan étymologique, son nom rayonne de l'éclat de la lumière et l'apparente à d'autres personnages solaires comme Phèdre, sa fille, ou Phaon, l'amant de Sappho. Son nom se décompose comme suit : un radical Tiacri, de rcâaiç qui renverrait à la la domination, un second radical (pa, de (pàoç, la lumière. Son nom se traduire, comme le propose M. T. Camilloni5 auteur d'une étude synthétique sur le personnage

comme poli dans la vie réelle. Un autre exemple de valeurs inversées est le rituel de l’heure du coucher pour les enfants. Les parents lisent des histoires macabres pour endormir les enfants, comme celui du suicide de Cléopâtre, ou l’histoire de Sappho, une poétesse grecque de l’Antiquité, qui selon un mythe s’aurait jetée dans la mer pour l’amour. Au lieu de souhaiter de beaux rêves, la mère dit : « fais des cauchemars, ce sera plus intelligent. 31 » Dans la famille Tuvache, l’anniversaire

(1981), Ismail Kadare relate l'histoire de deux homéristes venus en Albanie enregistrer les épopées orales des rhapsodes, avec l'ambition d'élucider la question homérique. Peinture Rembrandt, Aristote contemplant le buste d'Homère (1653). Lafond, Sappho chante pour Homère (1824). Ingres, L'Apothéose d'Homère (1827). Auguste Leloir, Homère (1841). William Bouguereau, Homère et son guide (1874). Sculpture Antoine-Denis Chaudet, Homère (1806). Philippe-Laurent Roland, Homère (1812). Notes