Sarah Bernhardt

théâtralité, éditions Aléas, 1990. – « Théâtre et télévision », Dossier de l’audiovisuel n° 49, La Documentation française, mai 1993. – Dire et représenter la tragédie classique, coll. « Théâtre aujourd’hui » n° 2, CNDP, 1993 (avec un CD, diction de Sarah Bernhardt, Marie Bell, Jean Vilar…). – Les Pratiques théâtrales à l’école, CDDP de Seine-Saint-Denis/OREP, 1984. – Du théâtre à l’école, CRDP de Lyon/Hachette Éducation, coll. « Ressources formation », 1994. – Devenir spectateur, CRDP du Limousin, 2000

Louvre, 1984 Argenteuil. In De l’impressionnisme à l’expressionnisme [Diapositive]. Réunion des musées nationaux, 1984. Les Coquelicots. In La Tête à Toto. 12 [Vidéocassette]. CNDP ; La Cinquième, 1996. I.5. Photographie  Nadar : Portrait de Sarah Bernhardt ou de Baudelaire (XIXème siècle) Barret, André. Nadar : 50 photographies de ses illustres contemporains [Livre]. Trésors de la photographie, 1975. Neumann, Stan. Nadar, photographe [Vidéocassette]. Arte vidéo ; Musée d'Orsay ; Films d'ici, 1994

Contemplations, VI, 26 : « La clarté montera dans tout comme une sève ; On verra rayonner au front du bœuf qui rêve Le céleste croissant. » Mais ce thème de la lumière n’est pas seulement emprunté à V. Hugo, on trouve Shakespeare sur le vase offert à Sarah Bernhardt à l’occasion de son attitude dans l’Affaire : « de la lumière ! de la lumière ! de la lumière ! Hamlet ». Sur le célèbre vase Les Hommes noirs, c’est une citation de Pierre Jean de Béranger : « Hommes noirs, d’où sortez-vous / Nous sortons /

de son frère Paul pour faire jouer la pièce se soldent par un échec. Il faut attendre 1896 pour que Lorenzaccio, mis en scène par Armand Artois qui ampute le texte du dernier acte, puisse voir le jour. Dans le rôle-titre, l'immense comédienne Sarah Bernhardt, qui instaure, du même coup, la tradition de faire interpréter Lorenzaccio par des femmes - de Falconetti en 1927 à Marguerite Jamois, dirigée par Gaston Baty, en 1945. Ce n'est qu'avec Jean Vilar en 1953 qu'une adaptation s'impose avec un homme

cherchait à évincer les œuvres romantiques de la Comédie-Française. Tout le long du Second Empire, les pièces de Hugo furent interdites. Il fallut attendre le 20 juin 1877 pour que la pièce soit rejouée, à la Comédie-Française, avec Mounet-Sully et Sarah Bernhardt, et, pour la première fois, dans sa version entière non censurée. En 1832, d'après un livret de Felice Romani, Vincenzo Bellini écrivit quelques scènes pour un opéra intitulé ‘’Hernani’’. Mais la censure en empêcha la représentation. En 1844

Emile Goudeau. Ensemble ils se réunissent dans le cabaret que celui-ci a créé en 1878. Là-bas, Rollinat exécute ses poèmes en musique avec un piano. En 1882, Marie ne supporte plus cette vie et le quitte pour retourner à Lyon. Cette même année, Sarah Bernhardt l'aide à se faire connaître en le présentant, le 5 novembre 1882, à quelques personnalités du Tout-Paris. Lors de cette séance au Chat Noir, il fait forte impression et Albert Wolff parle de lui en première page du Figaro le 9 novembre 1982. Rencontre

Hamlet, et aussi Le Roi Lear, qui a même été transposé au Japon dans une adaptation cinématographique : Ran (乱) d'Akira Kurosawa. La pièce préférée de nombreux comédiens est Hamlet dont les plus grands acteurs ont souhaité interpréter le rôle. Sarah Bernhardt l'a incarné elle-même en 1899. Ensuite, c'est devenu le rôle fétiche notamment de Richard Burton, Laurence Olivier, Jean-Louis Barrault, Vittorio Gassman, Mel Gibson. Macbeth a également été projeté dans le Japon médiéval, par Akira Kurosawa,

Rostand est né à Marseille, en 1868, dans une famille bourgeoise. Il fait ses études à Paris. Il a 21 ans quand sa pièce Le Gant rouge est jouée au théâtre mais elle n’est pas très appréciée. En 1897, il écrit La Samaritaine pour la grande actrice Sarah Bernhardt. C’est avec Cyrano de Bergerac qu’il va connaître un véritable succès : quatre cents représentations attirent un public enthousiaste pendant plus d’un an. Puis, en 1900, L’Aiglon connaît un très bon accueil. Edmond Rostand est élu à l’Académie

vedette disparait/Love Is Better Than Ever), avec qui elle a une aventure[19], Charles Vidor (Rhapsodie face à Vittorio Gassman), William Dieterle (La Piste des éléphants pour lequel elle remplace au pied levé Vivien Leigh, son modèle[19]), Curtis Bernhardt (Le Beau Brummel aux côtés des Britanniques Stewart Granger et Peter Ustinov) et Richard Brooks (La Dernière Fois que j’ai vu Paris en 1954) avec qui elle a aussi une brève liaison[19]. Une sensualité révélée Géant (1956) Elle participe ensuite

lors de la seconde abdication de Napoléon Ier en 1815. Son surnom de l'Aiglon lui a été attribué à titre posthume et a été popularisé par la pièce de théâtre d'Edmond Rostand L'Aiglon, le rôle-titre étant créé le 15 mars 1900 par la tragédienne Sarah Bernhardt. Sommaire 1 Roi de Rome, prince impérial et héritier de l'Empire français (1811-1814) 1.1 Naissance 1.2 Maison 1.3 Titre 1.4 Demeures 1.5 Éducation 1.6 L'enfant tardif d'un « météore » 2 Prince disputé par la France et l'Autriche (1814-1815)