Sartre Vs Freud

attachement aux biens matériels (richesse…) et par une absence d’idéal Philo : théorie selon laquelle la matière est soit la seule réalité existante (monisme), soit la réalité fondamentale à partir de laquelle s’explique la vie spirituelle (Marx, Freud), soit une réalité indépendante de l’esprit, régie par des lois propres ou autonomes (dualisme). Dans le 1er cas, matérialisme s’oppose à idéalisme. Dans le 2e cas, matérialisme s’oppose à spiritualisme et immatérialisme. 1. Le mot matérialisme est

poésie et réalité à cause de la suspicion au sujet des poètes. Les poètes méconnaitraient les principes de réalité, qui vivraient dans des chimères. Relation étroite entre la poésie et le rêve. Jeux langagiers de la poésie qui sont analogues à ce que Freud appelle « le travail du rêve ». On retrouve dans la poésie la condensation, on fonde plusieurs représentations dans une seule : équivalent de la métaphore poétique. Loin de se complaire dans le vague et dans la rêverie, la poésie s’enracine dans le

1960. Ce récit de la vie d’une famille pauvre mexicaine à la fin des années 50 est l’un des premiers recueils de récits croisés enregistrés sur magnétophone. Au XXe siècle, l’édition d’autobiographies d’intellectuels engagés, comme celle de Jean-Paul Sartre, favorise de nouveaux usages sociaux du récit personnel et les moyens employés ne s’arrêtent plus à l’écrit. L’interdisciplinarité propre aux histoires de vie s’explique de par ses multiples filiations, puisque presque toutes les disciplines en sciences

vérité, s’y double en l’occurrence du dualisme de la forme et du contenu. L’énumération de ces lieux communs débouche sur des analogies qui ne sont ni vérifiées ni sanctionnées. Ainsi, la terminologie hjelmslevienne qui compliquerait le rapport forme vs contenu d’une dialectique entre la forme et la substance poursuivrait une « généalogie » d’« oppositions catégorielles » (n. 7, p. 421) qui remonterait à Frédéric Cossutta, « Discours littéraire, discours philosophique : deux formes d’autoconstitution

é-mouvoir). Depuis Platon qui considérait les émotions comme perturbatrices de la raison, en passant par Kant pour qui elles étaient maladies de l'âme, Darwin pour qui elles s'intégraient dans de précieux comportements adaptatifs et évolutifs des espèces, Sartre pour qui elles étaient " un mode d'existence de la conscience ", et pour beaucoup d'autres encore, le champ des émotions se présente cacophonique en philosophie comme dans les représentations populaires. Tantôt on recherche les émotions, tantôt on

distance analytique et critique. Ce caractère sacré du mythe offre à la littérature un modèle exceptionnel de pouvoir de la parole. Le discours mythique est doté d'une efficacité magique, qui suscite l'identification, la reconnaissance et l'affect. Freud ne dit pas autre chose, lorsqu'il définit pour la première fois, dans une lettre du 15 octobre 1897, le personnage tragique d'Œdipe comme incarnant un complexe nucléaire de la personnalité. Il écrit de la tragédie de Sophocle qu'elle a saisi une compulsion

parvenir un savoir dfinitif, compar la conscience humaine avec dventuels tats de conscience des minraux, des vgtaux et des animaux. Et que ce soit Aristote (384-322), R. Descartes (1596-1650), E. Kant (1724-1804), M. Heidegger (1889-1976), J-P Sartre (1905-1980), pour nen citer que quelques-uns, ces philosophes ont plutt insist sur la diffrence de nature absolue entre la conscience humaine et ces autres ralits. Cette attitude, qui peut, surtout si on pense la ralit animale , passer aujourdhui

chez lui. On part d’une situation spontanée, il se passe quelque chose, nous touche jusqu’à la souffrance, en même temps sensation délicieuse, mais force, intensité. « Moi », grande obsession du XIXe siècle, aboutira à la théorie du narcissisme de Freud. Dieu littéraire de Baudelaire : Poe. Les Foules, Baudelaire a traduit « L’homme des foules » de Poe. Vivre est un art, mettre de l’art dans sa vie, utiliser des formes particulières dans le comportement, la pensée et l’expression. Vivre est une jouissance

joli (Schopenhauer et Nietzsche) 7 3. La norme du goût (Hume) 8 C. La création artistique 8 1. Le mythe de l’inspiration (Kant) 8 2. La création est le fruit d’un travail (Nietzsche) 9 3. Le créateur selon la psychanalyse (Freud) 10 4. La création artistique est un acte de communication 11 5. La création et la réception artistiques selon Nietzsche 11 II. Les fins de l’art 12 Introduction : La diversité des sentiments esthétiques 12 A. Le beau 13

volonté : le beau et le joli (Schopenhauer et Nietzsche) 1 3. La norme du goût (Hume) 1 C. La création artistique 1 1. Le mythe de l’inspiration (Kant) 1 2. La création est le fruit d’un travail (Nietzsche) 1 3. Le créateur selon la psychanalyse (Freud) 1 4. La création artistique est un acte de communication 1 5. La création et la réception artistiques selon Nietzsche 1 II. Les fins de l’art 1 Introduction : La diversité des sentiments esthétiques 1 A. Le beau 1 1. La seule règle est de plaire (Molière)