Satire Bourgeoisie Cantatrice

inventif, il mêle, avec une étonnante inventivité verbale, tous les registres de langue, sans craindre d'emprunter les procédés des écrits populaires - alliance du merveilleux et du réalisme, recours à l'exagération comique et au grotesque, ton de la satire, scènes de farce et gauloiseries - pour aborder les grandes questions de son temps: l'éducation, la guerre, la liberté de pensée confrontée à l'obscurantisme religieux. La liberté de ton de Pantagruel (1532) et de Gargantua (1534 ou 1535), ses écrits

Molière, Le Malade imaginaire (1673) : mise en scène d’un monomane hypocondriaque. a. Quels rapports Argan entretient-il avec sa famille et ses valets ? b. Quelle image des médecins cette pièce nous donne-t-elle ? Dans quelle mesure est-elle une satire de la médecine ? Donnez des exemples précis. c. En quoi peut-on parler de monomanie concernant le personnage d’Argan ? d. Quelles autres pièces de Molière font référence à la médecine ? Pourquoi a-t-il choisi cette référence, selon vous ? À quelle

d'ailleurs? Décrire pour comprendre La première tâche est de comprendre: qu'on a changé de monde, qu'il y a de nouveaux sujets, de nouvelles forces, que l'histoire bouleverse les conditions et les mentalités, que les villes se transforment, que la bourgeoisie n'a pas les mêmes valeurs que la noblesse... Peindre la vie moderne, face obscure et face lumineuse. Donc parler d'argent, puisque l'argent mène le monde, monstre dont rien n'égale la violence destructrice et la puissance inventive, métaphore du

généralise et l’éternise. La Muse propose au poète des sujets d'inspiration et même des genres littéraires précis (la poésie plastique, la poésie lyrique, l'épopée, le drame, l'églogue, la poésie philosophique, les poèmes d’inspiration médiévale, Ia satire, etc.). Mais pour le poète, «La bouche garde le siIence Pour écouter parler le coeur.» La Muse répète son vibrant appel, indique qu’elle comprend la douleur du poète, se lance dans une ample évocation d’un grand symbole de cette douleur, le pélican

généralise et l’éternise. La Muse propose au poète des sujets d'inspiration et même des genres littéraires précis (la poésie plastique, la poésie lyrique, l'épopée, le drame, l'églogue, la poésie philosophique, les poèmes d’inspiration médiévale, Ia satire, etc.). Mais pour le poète, «La bouche garde le siIence Pour écouter parler le coeur.» La Muse répète son vibrant appel, indique qu’elle comprend la douleur du poète, se lance dans une ample

Beaumarchais, Le Mariage de Figaro Marivaux, Le jeu de l’amour et du hasard, L’île aux esclaves Musset, Lorenzaccio Rostand, Cyrano de Bergerac Anouilh, Antigone Giraudoux, La guerre de Troie n’aura pas lieu Ionesco, Le roi se meurt, Rhinocéros, La Cantatrice chauve Sarraute, Pour un oui, pour un non Roman : Madame de La Fayette, La Princesse de Clèves Laclos, Les liaisons dangereuses Balzac, Le Père Goriot Stendhal, Le Rouge et le Noir Hugo, Les Misérables Flaubert, Madame Bovary Maupassant

leur expliquer, il préféra se retirer.») ; il y montra quel alliage bizarre d’anarchisme gauchisant, de fascisme virulent et de fantasmagories spirites était le surréalisme. Ce milieu décevant n'est pas seulement un pittoresque décor de roman : la satire est précise et souvent mordante. Les contemporains n'eurent pas de mal à mettre un nom sur chaque personnage de ce roman à clés, dont certains se laissent encore reconnaître aujourd'hui : Anglarès est évidemment André Breton, Chènevis est Aragon

la ville (l. 37), la canaille qui s’attroupe (l. 37), les représentants de l’autorité (« bourgmestres », « lieutenant de prévôt »). Le conteur joue sur les conditions intermédiaires : « moitié ville, moitié campagne » (l. 14), le monde de la bourgeoisie qui se situe entre le peuple et l’aristocratie. 8. On note trois interventions du conteur : lignes 7 et 8 (« pour parler plus humainement et plus intelligiblement »), lignes 32 à 35 (« Quelque critique murmurera… »), ligne 35 (« Retournons

imagine la scène ; c’est un processus de révélation : « ôte sa fourrure et s’avance à la lumière ». La mère de Vronski : « on ne te voit plus du tout ». Sarcasme et ironie. Anna a éclipsé la cantatrice. Opposition filliée entre lui et la vue. Vronski écoute d’une oreille et promène sa lorgnette. La satire mondaine : Tolstoï dénonce l’uniformité d’un monde régi par des modèles. Énumération cumulative et anaphore de l’adjectif défini. p.668 : « même uniforme, même foule ». Ensemble qui montre

la ville (l. 37), la canaille qui s’attroupe (l. 37), les représentants de l’autorité (« bourgmestres », « lieutenant de prévôt »). Le conteur joue sur les conditions intermédiaires : « moitié ville, moitié campagne » (l. 14), le monde de la bourgeoisie qui se situe entre le peuple et l’aristocratie. 8. On note trois interventions du conteur : lignes 7 et 8 (« pour parler plus humainement et plus intelligiblement »), lignes 32 à 35 (« Quelque critique murmurera… »), ligne 35 (« Retournons