Say Marx Keynes

de l’épargne et croissance économique 2. D’autres auteurs « classiques » * Avantages comparatifs D. RICARDO (1772-1823) * Loi des débouchés J-B SAY (1767-1832) B. L’école historique allemande * Le protectionnisme éducateur de F. LIST (1789-1846) * La loi de A. WAGNER (1835-1917) C. K. MARX (1818-1883) * Théorie de la valeur et exploitation : valeur-travail, plus-value * Dynamisme du capitalisme : paupérisation, baisse tendancielle du taux

théorie quantitative de la monnaie, en lien ac la chereté des choses L’abondance d’or/argent est respon de l’augm des prix Éq de Fisher : MV+PT Mercantilistes tels que Locke ou Child veulent des tx d'int bas pr stimuler l'I (anticipe théorie de Keynes). 2 manières de les concevoir : court / long Tx d'int = prix de l'épargne (ce que me coutera l'attente; ce que je gagne si je ne dépense ps tt de suite mon argent). Ajd en Europe: tx d'int presque nuls: BCE délivre bcp de M. Ratio de sacrifice

EPARGNE=> INVESTIR => PRODUCTION -Offre = demande 2 théories s'opposent : 18eme siècle 19eme 20eme N.E.C classiques néoclassiques KEYNES néolibéraux libéraux WALRAS MIRDA FRIEDMAN SMITH MARSHALL RICARDO -les classiques, néoclassques, néolibéraux = >offre la base de la croissance JB Say : « l'offre crée sa propre demande » =>pour Keynes, la demande est la base de l'éco. « la production est la combinaison du facteur travail et du devoir capital » C*T=P evaluée en valeur

d’instruction et de réflexion, ne peuvent être issus que de familles aisées. Le courant libéral se compose en deux branches: • l'une, classique, apparaît lors de la révolution industrielle de la fin du 18ème siècle avec Adam. Smith et . Jean- Baptiste Say, Ricardo. • puis, de la fin du 19ème siècle jusqu'à nos jours, s'est développé le courant néo-classique avec. Walras, Pareto... Les principaux fondements économiques du courant libéral sont 1°) - L'individualisme • Chaque individu est un

III. David Ricardo : la théorie classique III.1 La théorie de la valeur travail III.2 Une croissance limitée III.3 Les bienfaits du commerce international III.4 Une étude de la redistribution et de l'impôt p. 43 p. 44 p. 52 p. 65 p. 68 IV. Karl Marx : la théorie classique au regard du matérialisme historique IV.1 De la théorie de la valeur aux prix IV.2 La possibilité des crises IV.3 Le commerce international : capitalisme contre le féodalisme IV.4 L'absence de solution politique interne au système

du libéralisme économique et politiques. Auteurs : Ricardo. Smith. Say. L’hétérodoxie : est marquée par une démarche à « contre-courant » qui peut être déductive ou inductive. Cette pensée à pour caractéristique principale le fait de rejeter une conception faisant état de lois éco, comme par exemple l’idée de pragmatisme des Keynésiens. On prend en compte les caractéristiques individuelles des acteurs. Auteurs : Marx. Keynes. Veblen. 3. Il y a 3 grandes familles au sein des hétérodoxes :

Joseph Aloïs Schumpeter (1883/1950) Présentation : économiste d’origine allemande, il est classé parmi les hétérodoxes (pensée libre et originale, ne s’alignant sur aucun des courants principaux). Il est très marqué par la lecture de Marx et a contribué à l’analyse de l’évolution du capitalisme. Résumé Cours : I) Progrès technique et évolution économique selon Schumpeter A : Innovation et dynamique du capitalisme Par un processus de destruction créatrice, l’innovation imprime au capitalisme

proprio (de terre) Leur analyse sur la circulation des richesses dans l’éco représente circuit éco dont les flux constituent un zigzag d’une classe à l’autre. CLASSIQUE 1770-1870 A. Smith : La Richesse Des Nations, 1776, D. Ricardo 1818, JB Say 1803, K. Marx 1867 - Agriculture n’est plus la seule source de richesse. SMITH: “c toutes les choses nécessaires et commodes à la vie»permises par le L d’une nation. -Théoricien de la valeur : la valeur des marchandises est déterminée par la quantité de

suffit de découvrir les lois qui le régissent. Pour Jean-Baptiste Say (1767-1832) “l’économie politique est une science, c’est à dire qu’elle expose les lois générales et les éclaircit par des exemples dont chaque lecteur peut constater la réalité” 4. Cette unanimité ne doit pas cacher les nombreux débats et désaccords entre économistes de ce début de l’ère industrielle. Le débat sur la loi de Say mettant aux prises Ricardo et Say contre Malthus et Sismondi, le débat sur la loi de population

rendu d'un service (ex. travail d'un domestique).Il pense une conception de la sphère productive plus vaste que celle de Quesnay, car il prend en compte l'ensemble de l'activité secondaire. Conception deKarl Marx, économiste du 19e siècle, a repris l'analyse de Smith. Conception deJean-Baptiste Say, économiste français de la fin du 19e siècle ; il appartient à l'école des Classiques. Pour lui, la production n'est pas seulement la création de matières, c'est aussi la création d'utilités : introduction