Say Marx Keynes

à Karl Marx, l'un des premiers et des plus importants historiens de la pensée économique. Celui-ci oppose clairement l'école classique d'Adam Smith et de David Ricardo, considérée comme scientifique, à ce qu'il appelle « l'économie vulgaire », jugée apologétique et qu'il associe aux noms de Jean-Baptiste Say, Frédéric Bastiat, Robert Malthus. De nature épistémologique, cette définition renvoie à l'opposition de la science et de l'idéologie. La deuxième est fournie par John Maynard Keynes, qui consacre

instrument de la domination capitaliste................16 Section2–Les analystes contemporains XX° siècle.........................................................................17 2.1 Justification macroéconomique de l’intervention publique chez Keynes ........................17 2.2 L'apport de Beveridge ............................................................................................................................ 18 2.3 L'économie du bien être :une analyse libérale des défaillances

classique moderne Smith et l’École Classique Une économie de production et d’échanges : l’offre est au coeur de l’activité économie. La Loi de Say : L’offre crée sa propre demande. → Il peut y avoir à chaque instant une surproduction sur un marché, mais pas de crises de surproduction générales et durables. → source des principales attaques de Marx, et Keynes par la suite La monnaie : un instrument d’échange et rien d’autre. → Principale faiblesse de l’économie classique. Damien DEJEUFOSSE Introduction

Lionel Robbins, eux aussi en 1933, ont également mis en avant la rigidité des salaires et les allocations chômage comme des causes importantes du chômage. La seconde grille de lecture est celle de John Maynard Keynes, qui a développé une analyse différente dans sa Théorie générale de 1936. Keynes a proposé une explication inverse de celle de la théorie néoclassique, à savoir que le chômage est involontaire et que la cause principale est une insuffisance de la demande effective. Pour remédier à cela

général), bien qu’issu d’un paradigme marginaliste, il est “essentialiste” (ne croit ni à l’équilibre ni à l’unicité des prix et s’intéresse à la dimension historique et aux institutions). Enfin, on utilise le terme de révolution keynesienne mais même si Keynes a abandonné l’individualisme méthodologique (sa fonction de demande n’est pas déduite du comportement rationnel du consommateur, elle est plutôt une inférence hardie fondée sur la relation supposée entre la consommation globale et le revenu national)

les agriculteurs et la classe stérile. De plus Q développe l’idée d’un lien entre les différentes périodes éco. Dans un sens le tableau éco de Q est l’ancêtre de toutes les comptabilités nationales modernes. Les classiques : Smith – Say, Ricardo – Malthus, Marx. Le développement des industries, les 1ères mutations démographiques et l’expansion des centres urbains => modification en profondeur de la vie éco en Europe à partir du 18ème. Source de l’éco dite classique. Ecole de pensée composée

grands courants de pensée qui structurent la pensée éco et qui vont donner naissance à deux méthodes d’approche du fonctionnement de l’éco, l’approche microéconomique et l’approche macroéconomique : - théorie classique (Quesnay, Smith, Ricardo, Say, Marx) selon laquelle il existe une macroéconomie sans microéconomie - théorie néoclassique ou marginaliste, de 1850 à 1920, (Walras, Marshall…) qui donne naissance à la microéconomie - théorie keynésienne, à partir de 1930, qui procède à partir d’une

les chasseurs-cueilleurs ont le même revenu que les ouvriers en travaillant seulement deux heures par jour. La loi de Malthus influencera tous les économistes qui vont adhérer à cette vision pessimiste de la société humaine, vouée à la pauvreté. Marx en est l’héritier et consacrera son œuvre à prouver que le prolétariat ne peut pas s’enrichir au sein du capitalisme. La loi de Malthus montre aussi que l’humanité subit une loi qui s’impose à elle mais qu’elle ne comprend pas. Darwin dédiera son livre

peuple sur la fausse route de la facilité. Constat : L'excès d'épargne engendre les crises (L'accumulation n'assure pas la demande) MALTHUS refuse de faire l'apologie de l'économie de marché. Il conteste la loi des débouchés de Jean Baptiste SAY "l'offre crée sa propre demande". Les crises de surproduction sont possibles, l'épargne n'est pas toujours féconde, son excès peut limiter les débouchés. "La capacité de consommation des classes laborieuses ne pourra jamais, à elle seule, constituer

dépend de sa rareté et non de son utilité. Ainsi le travail est la base de la valeur des biens. c) Jean Batiste Say : dit que l’offre détermine la demande et non l’inverse - Ecole néoclassique : Pour celle ci, la valeur des choses dépend de leur utilité et pas seulement du cout de leur production. ➢ La pensée marxiste : - La lutte des classes : Pour Karl Marx, l’histoire de notre société est marquée par la lutte des classes entre les capitalistes et les prolétaires.