Scénographe

théâtre est un art vivant qui déploie toute sa force dans le jeu direct d'un texte. Ce sera une préoccupation qui ira en s'approfondissant au fur et à mesure du XXème siècle. Déjà visible à travers de nouveaux métiers : le metteur en scène, le scénographe et tous ceux chargés du son, des costumes, des lumières... c. La symbolique des objets Dans cette scène un objet est particulièrement important, tant sur le plan scénique que dramatique. Il s'agit de la lettre. Sur le plan scénique,

1923 à Paris dans la mise en scène de Georges Pitoëff et dans plusieurs villes d’Europe : Cracovie, Prague, Amsterdam, Barcelone, New York... En 1934 son o euvre est récompensée par le prix Nobel. 14 Stéphane Braunschweig metteur en scène et scénographe Après des études de philosophie, il rejoint l’École du Théâtre national de Chaillot dirigé par Antoine Vitez. Depuis 1988, sur les scènes françaises (Odéon-Théâtre de l’Europe, Théâtre national de la Colline, Festival d’Automne à Paris, Festival

mois voire plusieurs années pour les plus célèbres!), choix du chef d’orchestre, casting des chanteurs du choeur, embauche éventuelle de musiciens supplémentaires dans l’orchestre. D’autre part, la mise en scène : choix du metteur en scène, du scénographe (décor), du créateur costume et du créateur lumière. Le metteur en scène travaille souvent avec des collaborateurs de longue date connaissant son travail et son univers et en qui il a une entière confiance. Dans un premier temps, c’est ce deuxième

Tableau 4 : costumes - p.11 II - Carnet de création 1 -Note d’intention d’Eric Lacascade - p.12 2 - Eric Lacascade: biographie - p.13 3 - Le costume - p.14 4 - Interview de Marguerite Bordat, costumière - p.15 5 - Interview d’Emmanuel Clolus, scénographe - p.17 6 - Pistes pédagogiques, après le spectacle - p.20 III - Pour aller plus loin 1 - Interview d’Eric Lacsacade - p.21 2 - Tartuffe selon Louis Jouvet - p.24 3 - Tartuffe selon Ariane Mnouchkine - p.25 I - Pour commencer 1 - Introduction Ce

le spectateur se trouve face à un gigantesque escalier en pierre, aux montants en fer forgé, qui ne mène nulle part et se noie dans l’obscurité du fond du plateau. Il est au centre du plateau, comme on peut le voir sur l’esquisse ci-dessous du scénographe… Est-ce celui où Dorante vit Araminte pour la première fois : « Madame, ce fut un jour que vous sortîtes de l’Opéra, qu’il perdit la raison ; c’était un vendredi ; il vous vit descendre l’escalier, à ce qu’il me raconta, et vous suivit jusqu’à votre

techniciens, acteurs... Les films se font collectivement. « Il fallait trouver une solution au sein de toute l'équipe pour faire ce qu'on voulait. Chose peu courante, la conception du film se faisait avec les techniciens » Alfred Hirschemeier, scénographe. Horst Hartwig, disait avoir plaisir à participer aux discussions enflammées mais très productives. Aujourd'hui, la documentariste Helke Misselwitz, témoigne « Avant, il fallait se battre contre les bureaucrates du parti pour trouver des

le voir dans La jalousie du barbouillé, Le médecin volant et Macbeth sur les places de villes et villages de Bourgogne dans des mises en scène de Karl Eberhard. Au cinéma, il a joué sous la direction de Alix de Maistre. Jean Haas décorateur-scénographe Il a débuté comme graphiste au Théâtre National de Strasbourg, avant de se consacrer à la scénographie sous la direction de nombreux metteurs en scène dont Didier Bezace, Jean-Louis Benoît, Hans Peter Cloos, Jacques Nichet, Claude Régy, Bernard

Isabelle Larivière (costumes), Angelo Barsetti (maquillage), Anne Lorraine Vigouroux (France) - Maryse Beauchesne (Québec) (pour la production), Laurent Copeaux (direction technique), Alain Roy (assistant à la mise en scène) et Emmanuel Clolus (scénographe). Son équipe originale était : Avec Steve Laplante – Wilfrid, Gilles Renaud – le père, Claude Despins – chevalier Guiromelan, Isabelle Leblanc – Simone, Pascal Contamine – Amé, David Boutin – Sabbé, Miro – Massi, Manon Brunelle – Joséphine. Lucie Janvier

se transforme en spectacle véritable. Nous pouvons également nous intéresser aux différents métiers qui gravitent autour de la mise en scène : au-delà de l’auteur, du metteur en scène et des comédiens, on trouve l’éclairagiste, le costumier, le scénographe, le décorateur...Tous apportent quelque chose au spectacle, et permettent de construire sa dimension visuelle, non verbale, autrement dit celle que le texte ne pouvait pas vraiment contenir et que l’auteur ne pouvait pas vraiment diriger. Là encore

dans le cabinet de tendances Carlin « Ce qui est neuf c’est que le polysensoriel devient stratégique ! L’offre est tellement peu différenciée qu’on se bat pour renforcer son territoire. Les parfumeurs et designers sonores, services marketing et scénographes fusionnent leurs compétences. Le sensoriel vient renforcer l’impact du message et du service. Il redonne émotion, intuition et créativité ». [3] Etude signée Millward Brown & Martin Lindstrom « Notre étude a porté sur 13 pays dont le Japon, Les